Un jeune Européen sur deux serait pour le rétablissement de la peine de mort pour certains crimes. C'est ce que conclut un sondage sur la radicalisation effectué auprès de 12 000 jeunes de 14 à 24 ans originaires de 12 pays européens et publié ce 19 juin dans Le Figaro.
Il s'agit, pour les auteurs de l'étude, l'institut Kantar, d'effectuer un panorama du discours radical en Europe, en ne se concentrant pas uniquement sur la radicalisation religieuse islamiste.
De manière générale, les jeunes Européens tendent vers des valeurs conservatrices, note l'étude. Ainsi, concernant d'autres thématiques abordées, près de la moitié des 14-24 ans interrogés estiment par exemple que le droit à l'avortement devrait être limité à certains cas. Pour 65% d'entre eux, «les jeunes d'aujourd'hui ne respectent pas suffisamment les valeurs traditionnelles» de leur pays ni «les valeurs religieuses». Pourtant, la religion est l'une des valeurs les moins importantes pour eux, rapporte l'étude. Ainsi, seuls 17% des jeunes Français interrogés estiment que l'attachement à sa religion est «très important». Les Italiens sont en tête du classement.
Près d'un adolescent sur cinq connaîtrait une personne radicalisée
47% des 14-24 ans affirment par ailleurs que la radicalisation violente est répandue dans leur pays. Dans le détail, ces chiffres sont les plus élevés en Grèce, en France et en Espagne. Plus de 80% des jeunes Européens pensent que ce phénomène s'amplifiera ou restera au moins au même niveau.
Parmi les jeunes Européens consultés, ce sont les Français, les Espagnols et les Grecs qui se disent les plus concernés par le discours radical. 23% des Européens expliquent d'ailleurs connaître «au moins une personne radicalisée». En France, ce chiffre est de 18%.
Extrait de: Source et auteur
»Un jeune Européen sur deux serait pour le rétablissement de la peine de mort pour certains crimes ».
Cette jeunesse européenne a »une faible confiance dans les médias, une acceptation de la violence, des doutes sur la démocratie »
– La peine de mort concernant une frange bien précise des délinquants : djihadistes, meurtres d’enfants, d’adolescents ou de personnes âgées, auteurs d’attentats, etc …
– »une faible confiance dans les médias », c’est tout à fait normal, les merdias à la solde des gouvernements félons et corrompus répandent des informations trafiquées ou pratiquent la rétention volontaire d’informations … La jeunesses d’aujourd’hui n’est pas dupe !
– »une acceptation de la violence » c’est une acceptation de dépit, car elle fait partie depuis le début de leur vie; nous plus âgé, nous avons vécu toute l’évolution de cette violence que nous rejetons catégoriquement (détournement avion Swissair à Zarka 1970, jusqu’aux attentats du Bataclan, stade de France, etc …)
– »des doutes sur la démocratie », encore une fois, les dénis successifs de la part des gouvernements corrompus et félons concernant le non respect des votations populaires (exemple :9 février 2018 contre l’immigration de masse). C’est une réaction saine de la jeunesse. Notre pays s’apparente de plus en plus à une république bananière !!
La naturalisation facilité qui galvaude la valeur du passeport est aussi je pense un sujet faisant partie des doutes de la démocratie, la fabrication de citoyen »de papier » ne passe pas inaperçu ! Le non respect des lois en vigueur par les juges qui appliquent 2 poids et 2 mesures nous fait aussi fortement réagir !
Et le nombre augmenterait si ces jeunes étaient réellement informés des horreurs criminelles qui s’accomplissent chaque jour . A quand des reportages honnêtes sur les assassins et pédophiles ?