Christian Hofer: Lorsque les enseignants, majoritairement de gauche, refusent de prendre la responsabilité de leur propre propagande qu'ils imposent à longueur d'année dans les classes...
L'habituelle hypocrisie de gauche alors que ces mêmes enseignants ne se privent jamais pour procéder à la police de la pensée lorsqu'ils le peuvent, de sanctionner toute velléité patriote lorsque cela concerne les Suisses, tout en faisant l'apologie de la haine contre Trump ou l'UDC.
Bien entendu, personne n'est dupe, surtout à Genève: le terme de "radicalisation" cache la crainte de ce que l'islam peut engendrer dans notre pays, spécifiquement, ce n'est qu'à l'heure actuelle que de telles mesures sont prises, face à l'immigration de masse musulmane et aux nombreuses tentatives d'attentats en Europe.
Mais le dire signifierait reconnaitre la réalité, ce qui serait insupportable et "discriminatoire" pour la gauche.
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Le plan d'action national de lutte contre la radicalisation inquiète les enseignants romands. Ceux-ci refusent de devenir des délateurs, alors qu'ils devront être formés à la détection précoce de jeunes sombrant dans l'extrémisme.
Le plan d'action national contre la radicalisation veut permettre aux enseignants de comprendre ce phénomène pour mieux repérer les jeunes qui sombrent dans différentes formes d'extrémisme violent, y compris le djihadisme.
Les autorités espèrent, avec l'aide des professeurs, identifier plus en amont des jeunes qui se radicalisent, pour rapidement les en sortir. Ce rôle dérange Jean-Marc Haller, secrétaire général du syndicat des enseignants romands (SER). "On a l'impression qu'on est en train de vouloir faire de nous des surveillants de la pensée des élèves."
"Le danger c'est qu'on en arrive, excusez-moi l'expression populaire, au délit de sale gueule", craint Jean-Marc Haller. "On focalise sur des signaux négatifs au lieu d'aborder avec tous les jeunes ces questions et de les former à avoir un respect de l'autre, même s'ils pensent différemment." Il s'agit là du véritable rôle de l'école, selon plusieurs enseignants.
On est en train de vouloir faire de nous des surveillants de la pensée des élèves
A l'heure actuelle en Suisse romande, seul le canton de Genève va former 250 enseignants à la détection précoce de la radicalisation. "C'est plutôt un enseignant qui pourrait s'inquiéter, autant qu'il ait quelqu'un qui puisse l'aider à analyser les cas", explique Anne Emery-Torracinta, conseillère d'Etat genevoise chargée de l'Instruction publique. "Et, au fond, on a relativement peu de situations."
Interrogé dans La Matinale, le délégué du Réseau national de sécurité André Duvillard dirige ce plan d'action national de lutte contre la radicalisation. "Ces craintes sont compréhensibles, mais il s'agit simplement de voir des signes avant-coureurs avant de prendre des mesures. Le fait de penser qu'on passe dans la délation est exagéré."
Et si il s’agissait de dénoncer des jeunes ultranationalistes ?
Ce rôle les dérangent mais de dénoncer d’autres cas systématiquement au SPJ et souvent pour des pécadilles et de briser ainsi des familles ne les dérangent nullement. C’est juste une question de peur des représailles. Les bons suisses ne se vengeront jamais d’un tel comportement, les islamistes oui, ils l’on déjà prouvé à mainte reprises.
Ce genre d’enseignants est à vomir !
Pauvre enseignant il faut pas trop leur demander .a part le salaire que font ils ?
De toute façon les filles seront sous la coupe des males (mariées de routine)il est inutile aux enseignants de se mettre en quatre pour les désislamiser se serait peine perdue .Qu’ils se consacrent plutot sur les petits nationneaux qui produiront de la richesse plus tard
“On a l’impression qu’on est en train de vouloir faire de nous des surveillants de la pensée des élèves.”…… hihi… ils veulent bien influencer, mais surveiller, non ! Mdr