Christian Hofer: Je vous laisse juger d'un tel texte, où les aberrations se succèdent aux insultes à l'encontre des électeurs UDC, soit quasiment 30% de la population suisse qui se voit ainsi salie par cet individu. Prétendre que comprendre les circuits électriques signifie aussi appréhender les problèmes sociaux est des plus caustiques et c'est là un argument qui est des plus "pertinents". Peut-être faudrait-il rappeler à ce personnage que ce sont deux domaines totalement différents dont l'un n'est pas sa spécialité? Mais visiblement "ses grandes facultés" ne sont pas aussi affutées qu'il le croit.
De toute évidence, ce personnage est très fier de son diplôme et pense ainsi être bien plus intelligent que le peuple votant en faveur d'une initiative UDC. On ne saurait être plus prétentieux et méprisant. Mais il est vrai aussi qu'il ne doit pas souvent se mélanger avec la diversité. Il laisse cela au bas peuple, auquel il sert sa morale dégoulinant de bien-pensance. Et gare à vous si vous ne votez pas selon son désir: vous serez alors considéré comme un imbécile de la pire espèce. De toute évidence, il vaut mieux être aujourd'hui un criminel étranger multirécidiviste qu'un Suisse votant UDC.
Par ailleurs, on retrouve ici toute l'inégalité de traitement si chère à la gauche: D'une part, une compréhension illimitée pour les actes des délinquants étrangers, jusqu'à trouver la moindre explication dans leurs faits et gestes les plus immondes. Et de l'autre, des insultes et du mépris à un peuple qui ne veut plus de cette criminalité mais qui doit en supporter les effets. Le fait que seules 46% des procédures de renvoi ont abouti ne lui pose aucun problème, même si d'après le mensonge de Sommaruga, "une personne qui représente un risque pour la sécurité est renvoyée". Il est vrai que les Suisses sont là pour subir les viols et autres agressions sans avoir le droit de se protéger ou pire, voter pour expulser de tels indésirables. Bien évidemment, dans son texte, il n'y a nulle place pour les victimes de viols et autres agressions issus des criminels étrangers. Non, dans la tête de ce genre d'individu, les victimes n'existent tout simplement pas. Seuls les droits de la racaille font office de référence morale.
Jacques Neirynck peut fanfaronner : son pays d'origine, si fier de son multiculturalisme est aujourd'hui reconnu comme étant une pépinière de jihadistes. Oui c'est vrai Jacques Neirynck, vous pouvez en être très satisfait et il faut à tout prix exporter ce modèle de société. C'est même votre intelligence qui vous le dit.
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Confession d'un étranger complice des criminels
Jacques Neirynck
Grâce aux toutes-boites envoyée par l’UDC afin de soutenir son initiative pour le renvoi des étrangers criminels, je viens de découvrir que j’ai commis sans même m’en rendre compte. Ainsi, selon une lettre signée « comité de sauvetage de la place industrielle suisse », j’ai participé à une contre-propagande massive, parce que je me crois plus intelligent que les autres à cause de mes diplômes. Il y a là une vérité élémentaire que j’ai toujours ignorée.
J’avoue que j’ai été à l’université pour décrocher un diplôme d’ingénieur et que je l’ai utilisé tantôt dans l’industrie, tantôt dans la recherche et la formation. Je n’aurais pas dû. Si j’avais évité le piège d’une école d’ingénieurs, je serais resté plus intelligent. J’ai subi cinq années d’études qui ont abîmé mon intelligence initiale. J’ai appris à mal calculer des circuits électriques, pire je l’ai enseigné à d’autres. Si tout cela n’avait pas été arrangé, j’aurais mieux calculé ces circuits en utilisant simplement mon intelligence initiale, celle que partagent tous les électeurs de l’UDC. Quel gâchis ! Je me suis fatigué pour rien. J’ai corrompu la jeunesse à l’EPFL. Par suite de cette perte de l’intelligence initiale, les circuits électriques suisses sont moins bons qu’ils ne pourraient l’être. Je m’en repens et je suis prêt à m’inscrire dans un vaste mouvement national pour la fermeture de l’EPFL et de l’ETHZ. Cela fera une économie de deux milliards par an.
Pire. Dans le toutes-boites signé cette fois de l’UDC, il est écrit que j’ai soutenu au parlement « une clause de protection des malfaiteurs empêchant l’expulsion de criminels dangereux ». Là je succombe. J’ai voté sans m’en rendre compte une loi concoctée par Simonetta Sommaruga qui vise à garder en circulation dans notre aimable contrée des assassins, des violeurs et des cambrioleurs. Cette conseillère fédérale m’avait toujours paru une personne honnête et de bon sens. J’apprends maintenant qu’elle est de mèche avec la maffia des malfaiteurs. Je suis donc prêt à soutenir toute initiative visant à la suppression du Conseil fédéral et du parlement, ces repaires de complices du crime. Cela fera une autre économie.
Je suis prêt à soutenir l’élection d’un président à vie dans la mesure où il prouve qu’il n’a jamais fait d’études et qu’il était dernier en classe obligatoire.Je donnerais la préférence à un candidat qui ne saurait ni lire, ni écrire, ni parler une langue nationale, mais uniquement un dialecte.
Source
Sacré Prof Neirynck, toujours le mot pour nous faire rire! Humour belge sans doute… La vieillesse est un naufrage, dans son cas cela se vérifie.
Merci Monsieur Perrin, tout est dit et j’adore particulièrement les deux dernières phrases!
Comme disait Albert Einstein :
“Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.”
Jacques neirynck ou les premières manifestations visibles des dégâts causes par les benzo diazepines sur un cerveau déjà quelque peu embrumé….
S’il pouvait encore lire et comprendre il se serait rendu compte de ce qu’est devenu son pays d’origine (moellenbeek, schaerbeek etc).
Je plaide la démence sénile et demande que la cour se limite à l’expulser définitivement vers la Belgique car le fusiller relèverait du pur gaspillage.
C’est ce genre de personnage, dégoutant, qui ne fait pas honneur à l’espèce humaine.
Puis-je ?
L’Hebdo; 2005-06-16
Imprécision «Lettre ouverte à Mgr Grab» par Jacques Neirynck L’Hebdo No 22
Il est parfois rassurant de voir que même les grands hommes ont leurs petites faiblesses. Dans une lettre ouverte parue dans vos colonnes du 2 juin 2005, le Professeur Jacques Neirynck s’en prend à Monseigneur Amédée Grab coupable d’avoir sur le PACS le même avis que l’Antéchrist, à savoir l’UDC. Au passage et comme à son habitude, le donneur de leçons en profite pour déverser sa bile sur notre parti.
Se réclamant du message chrétien, le Professeur précise qu’il a «en conscience» voté cette loi au Conseil national. Cette conscience à laquelle le personnage fait référence ne doit pas peser bien lourd puisqu’elle l’autorise manifestement à prendre quelque liberté avec la vérité.
La Loi sur le partenariat enregistré a été étudiée par le Conseil national les 2 et 3 décembre 2003 puis adoptée le 18 juin 2004 après élimination des divergences avec le Conseil des Etats. Or, M. le Conseiller national Neirynck a été remercié par les électeurs en automne 2003, ce qui lui a valu de siéger pour la dernière fois à Berne lors de la session d’automne 2003. Le grand homme ne peut donc avoir voté en conscience puisqu’il avait déjà pris sa veste depuis plusieurs semaines lorsque cette fameuse loi a été examinée en première lecture au plénum.
Comme le disait Ambrose Bierce dans son Dictionnaire du Diable, l’imagination est un entrepôt d’idées dont le poète et le menteur sont copropriétaires. Le Président d’honneur du PDC vaudois est-il un poète?
Yvan Perrin, conseiller national UDC, La Côte-aux-Fées
Je me rappelle de ce grand con qui déblatérait à un débat sur les accords internationaux, qu’il fallait laisser les connaisseurs (soit lui en particulier) décider pour le peuple ! Ben mon colon, il manque pas de culot Toutankamon ! Laisser une once de notre avenir à pareil politicien ridicule, prétentieux, orgueilleux et cuistre, confine à la gageure. Jamais ô grand jamais, je ne laisserai un pareil tabouret présider à l’avenir de qui que ce soit. Dans ce cas, mieux vaut laisser mourir d’inanition le malheureux candidat, sa souffrance sera plus brève.
C’est tout ce qu’il reste au PDC, des vieux rabougris, séniles et rancuniers. Un parti qui sent le sapin, je vous le dis…..
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’argument extrêmement primaire ,lui, ne révèle témoigne pas d’une intelligence nécessairement intacte.Objection rejetée , parole à la défense.
Put1 de rire!
Il aurait pu rajouter “foi de grabataire!” 🙂
Pour moi, l’intelligence serait de respecter ceux qui subissent la délinquance, ceux qui n’ont pas la chance d’habiter dans les beaux quartiers dont les seuls étrangers sont des millionnaires !
Mais à la vitesse où les choses évoluent, vous subirez vous aussi, M. Neirynck, cette délinquance, et vos tonnes de diplômes dont vous semblez si fiers ne vous serviront pas à grand-chose pour vous défendre !
L’ex colon belge est devenu senile, alors…
Jacques Neirynck.
Mince, je croyais avoir vu des momies, mais là, il n’y a même plus l’excuse des énarques qui doivent en survivre…
C’est moche, j’en conviens. A Lausanne, une fois nourris les pigeons, les cygnes et les lobotomisés, il faut pouvoir envisager un avenir.
Moche.
Que c’est triste de voir un être humain se dégrader à ce point. Malgré les quelques sons qui sortent de son gosier, je me sens de saluer l’esprit critique de la jeunesse qui disposera de ce monde (comme le préambule de notre Constitution l’impose), qu’elle soit éclairée et libre des carcans que cette putribonde génération de politiciens semble vouloir leur laisser.