Eskom, première compagnie sud-africaine d’électricité et dixième fournisseur au monde a reçu un ultimatum pour réduire son nombre d’employés blancs de 44,3 % au cours des cinq prochaines années. Cela signifie que 3 389 blancs devront prendre la porte. Cette demande fait partie du programme fédéral « Black Empowerment ».
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J’ai connu en Afrique des compagnies de distribution d’électricité gérées à vau-l’eau sans les affreux « colonialistes ». Résultat : Jurassic Night. Il était prévisible qu’à terme les accords entre de Clerck et Mandela seraient dénoncés et que l’économie sud-africaine, jadis la seule viable du continent, s’effondrerait. Nous y sommes, grâce à la bienveillance des bien-pensants occidentaux qui s’imaginent que les hommes sont interchangeables. Bref : les Africains qui resteront dans le pays n’auront pas la « liberté » qu’on leur promettait et vont connaître la misère, la vraie. Voilà où mènent l’idéologie iréniste et la très courte vue des empathiques naïfs.
Comme dans la pub du taxi qui, en lui montrant un dessin d’avion, demande à son singe d’amener le client à l’aéroport. Attendons que le grand remplacement concerne tous les pilotes et tous les ingénieurs pour assister au grounding du Black Power. Ces braves gens n’échapperont pas à la dure réalité du QI.
Et le contingent de pédales on se le met sous le bras ? Discriminatoire.