C’est l’armée que le GSsA veut supprimer!

Crédit photo : DR / Article publié le 05.09.2013

Kevin Grangier, UDC Vaud et adjudant EM, dans le 24 Heures du jour.

"Le 22 septembre, le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) soumet au peuple une initiative visant à supprimer l'obligation de servir. Bien qu’il s’en défende, cette initiative n'est qu'une étape vers son objectif final: la suppression de l'armée.

Aux yeux du GSsA, l'armée suisse n'est qu’une relique des XIXe et XXe siècles, faisant partie du folklore et servant de joujou à Uli Maurer et à ses généraux. Les casernes lui semblent des lieux lugubres où des officiers autoritaires lavent le cerveau de jeunes citoyens innocents. Il soupçonne l'armée de favoriser la pensée d’extrême droite.

[...] Le GSsA s’accroche à son dogme. Il ne peut admettre que le mot «solidarité» puisse se conjuguer avec «armée».

[...] En combattant l’armée, le GSsA combat toutes ces valeurs. Malheureusement, beaucoup de jeunes Suisses ne s'intéressent plus au pays dans lequel ils vivent. Les causes de ce mal sont nombreuses et profondes."

Source: 24 Heures

J’ai voté NON, car je ne fais pas confiance aux GSsA. Dans son comité d’initiative, on trouve des anciens de la Ligue marxiste révolutionnaire et de la IVème internationale, une personne ayant dû quitter sa charge publique pour cause d’ivrognerie et de scandale sur la voie publique, un fumeur de joints soutenant la libéralisation du cannabis et ayant participé à des occupations de bâtiments illégales etc … sans parler d’une sympathisante que la vie des pirates de l’air meurtriers passionne. Cherchez sur Internet !
Les arguments du GSsA sont totalement fallacieux et déforment savamment la vérité. Le Parti socialiste soutient ces marginaux du bout des lèvres semble-t-il, car aucune affiche de ce partis n’est visible sur nos murs. Même le Parti suisse du travail (POP) recommande le NON, ce qui est significatif.
La disparition de la conscription obligatoire entraînerait obligatoirement la perte de notre armée, mais aussi de la Protection civile et du Service civil, si utile dans les EMS, par exemple. Le sport en souffrirait également (Jeunesse et sport – sociétés de tir). Les arguments du GSsA flattent l’individualisme, l’égoïsme, la paresse, le non-engagement craintif, tout le cocktail qui forme des citoyens irresponsables. Une armée de volontaires est totalement irréaliste, en comparant avec d’autres pays qui appliquent ce système, notre armée ne dépasserait guère 6’000 hommes. Toute aussi stupide, l’idée de l’armée de métier qui, pour l’équivalant du budget militaire total actuel ne nous permettrait d’avoir que la moitié de l’effectif de maintenant, sans aucun matériel. De plus, durant les « périodes creuses » que ferions-nous de ces soldats ? Voyant que cette initiative est en train de sombrer, les Socialistes nous remouillent la compresse en exigeant un registre central des armes, déjà refusé en votation populaire en 2011. Ces gens sont sans vergogne ! Le recensement des armes est probablement un moyen détourné pour saisir ensuite lesdites armes au moyen d’une future loi, que les partis de gauche ne manqueront pas de faire voter, en utilisant des arguments toujours aussi mensongers. Personne ne dit qu’il y a plus de morts sur les voies CFF que par les armes à feu, que des erreurs d’ordonnances médicales causent environ 200 morts par an (Stat. Hôp. de l’Ile à Berne) ou qu’il n’y a pratiquement jamais aucun blessé dans les stands de tir, alors qu’on en trouve à chaque match de football. Pour la 9ème fois depuis 1989, les partis de gauche nous relancent une initiative qui n’aboutira pas plus que les autres. Cependant, avec nos impôts, nous payons à chaque fois les frais inhérents à ces votations inutiles. Quand ces gens comprendront-ils enfin que les Suisses veulent rester maîtres chez eux et non pas se soumettre à une philosophie de « tout le monde et beau et gentil » que les socialistes essayent de nous faire avaler, alors qu’eux-mêmes sont prêts à détruire nos institutions à leur seul profit. Votez et faites voter NON.

Un commentaire

Posté par André Blanc le 6 septembre 2013 à 13h35

J’ai voté NON, car je ne fais pas confiance aux GSsA. Dans son comité d’initiative, on trouve des anciens de la Ligue marxiste révolutionnaire et de la IVème internationale, une personne ayant dû quitter sa charge publique pour cause d’ivrognerie et de scandale sur la voie publique, un fumeur de joints soutenant la libéralisation du cannabis et ayant participé à des occupations de bâtiments illégales etc … sans parler d’une sympathisante que la vie des pirates de l’air meurtriers passionne. Cherchez sur Internet !
Les arguments du GSsA sont totalement fallacieux et déforment savamment la vérité. Le Parti socialiste soutient ces marginaux du bout des lèvres semble-t-il, car aucune affiche de ce partis n’est visible sur nos murs. Même le Parti suisse du travail (POP) recommande le NON, ce qui est significatif.
La disparition de la conscription obligatoire entraînerait obligatoirement la perte de notre armée, mais aussi de la Protection civile et du Service civil, si utile dans les EMS, par exemple. Le sport en souffrirait également (Jeunesse et sport – sociétés de tir). Les arguments du GSsA flattent l’individualisme, l’égoïsme, la paresse, le non-engagement craintif, tout le cocktail qui forme des citoyens irresponsables. Une armée de volontaires est totalement irréaliste, en comparant avec d’autres pays qui appliquent ce système, notre armée ne dépasserait guère 6’000 hommes. Toute aussi stupide, l’idée de l’armée de métier qui, pour l’équivalant du budget militaire total actuel ne nous permettrait d’avoir que la moitié de l’effectif de maintenant, sans aucun matériel. De plus, durant les « périodes creuses » que ferions-nous de ces soldats ? Voyant que cette initiative est en train de sombrer, les Socialistes nous remouillent la compresse en exigeant un registre central des armes, déjà refusé en votation populaire en 2011. Ces gens sont sans vergogne ! Le recensement des armes est probablement un moyen détourné pour saisir ensuite lesdites armes au moyen d’une future loi, que les partis de gauche ne manqueront pas de faire voter, en utilisant des arguments toujours aussi mensongers. Personne ne dit qu’il y a plus de morts sur les voies CFF que par les armes à feu, que des erreurs d’ordonnances médicales causent environ 200 morts par an (Stat. Hôp. de l’Ile à Berne) ou qu’il n’y a pratiquement jamais aucun blessé dans les stands de tir, alors qu’on en trouve à chaque match de football. Pour la 9ème fois depuis 1989, les partis de gauche nous relancent une initiative qui n’aboutira pas plus que les autres. Cependant, avec nos impôts, nous payons à chaque fois les frais inhérents à ces votations inutiles. Quand ces gens comprendront-ils enfin que les Suisses veulent rester maîtres chez eux et non pas se soumettre à une philosophie de « tout le monde et beau et gentil » que les socialistes essayent de nous faire avaler, alors qu’eux-mêmes sont prêts à détruire nos institutions à leur seul profit. Votez et faites voter NON.