Allemagne : un réfugié syrien avait mis le feu à son magasin pour récolter l’argent des assurances et des dons tout en prétendant être la cible de “xénophobes”

Un détaillant en alimentation doit être placé en prison durant trois ans. Le tribunal de district de Hagen considère qu'il est prouvé que l'homme de 35 ans a mis le feu à son magasin de Wetter en 2018 afin de récolter l'argent des assurances et des dons.

L'histoire de Mohammad Moussa A. avait secoué la population de Wetter en 2018 : "Incendie criminel d'un marchand de fruits et de légumes syrien". Avant cela, il prétendait avoir reçu des lettres de menaces.

 

https://www.youtube.com/watch?v=sWOvh60VNnQ

 

Une attaque xénophobe (aucune attaque xénophobe en réalité)

C'est lui-même qui a dénoncé publiquement une attaque xénophobe. Les gens l'ont cru. Depuis avril 2018, il y a donc eu une grande vague de solidarité dans la ville de Wetter. De nombreuses écoles et clubs ont fait des dons à la famille du commerçant. Des bénévoles ont aidé à reconstruire la boutique.

La société civile avait clairement exprimé son opposition à la xénophobie par le biais de nombreux événements et les politiciens étaient également présents : les maires et l'ensemble du conseil municipal, tous partis confondus, sont venus pour exprimer leur solidarité avec l'homme.

Un marchand de fruits et légumes douteux

Le problème : le Syrien qui s'était réfugié en Allemagne en 2015 avait lui-même mis le feu. Le tribunal de district de Hagen en est convaincu et l'a condamné à trois ans de prison : Simulation de crime, fraude, lésions corporelles simples et dangereuses, selon le verdict.

Les enquêteurs ont découvert le mensonge parce qu'il prétendait se trouver dans la ville de Gelsenkirchen au moment des faits. Mais en réalité, il se trouvait sur les lieux du crime avant l'arrivée des pompiers et il transportait des bouteilles de gaz propane hors de son magasin en feu.

Détail frappant : un fusible avait été dévissé, ce qui a permis d'éteindre les lumières et la surveillance vidéo. - L'homme a fini par s'empêtrer de plus en plus dans les contradictions. Pour aggraver les choses, il a obtenu par la fraude des prestations sociales s'élevant à plusieurs dizaines de milliers d'euros, et a menacé et même frappé d'autres personnes.

La ville de Wetter est choquée

A Wetter, de nombreuses personnes ont été choquées depuis le verdict. Par exemple, Rilana Avranidis. Elle habite au premier étage, juste au-dessus de l'ancien magasin de fruits et légumes. En 2018, elle a été surprise par l'incendie nocturne. Elle et ses deux enfants ont souffert d'un empoisonnement par la fumée et ont dû être hospitalisés. Plus tard, elle a aidé le commerçant à reconstruire la boutique.

Aujourd'hui, la mère de deux enfants est claire : l'homme était manifestement indifférent à la vie de sa famille lorsqu'il a mis le feu à son magasin. Le tribunal de district de Hagen parle d'un "motif égoïste".

L'association : Nous allons continuer

Cette affaire est également une amère déception pour l'association de citoyens "Wir in Wetter".

Après la fausse attaque, l'association avait organisé de nombreuses actions en faveur du Syrien et pour davantage "d'ouverture sur le monde". Et ce faisant, elle s'est laissé piéger par un escroc qui a abusé de ses origines pour se mettre en scène comme victime d'une attaque xénophobe.

Le Syrien a non seulement encaissé plus de 30'000 euros d’assurance, mais également des dons de plusieurs milliers d’euros.

L’association "Wir in Wetter" veut poursuivre son travail pour une plus grande ouverture sur le monde.

Surtout maintenant, disent-ils. Pour que l’affaire de l’arnaqueur et du pyromane ne nuise pas à ceux qui en ont vraiment besoin.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Www1.wdr.de

 

Congo. Coronavirus : les touristes “blancs” attaqués car considérés comme des propagateurs du virus

Après l'échec du confinement de la capitale, Kinshasa (l'épicentre de l'épidémie au Congo), la situation est sur le point d'échapper au contrôle des autorités congolaises.

Ce matin, un bus transportant des citoyens occidentaux en route vers l'aéroport international pour être rapatriés a été attaqué par une foule en colère de centaines de jeunes qui voulaient lyncher les "Blancs" accusés de propager le coronavirus au Congo. Pour le moment, les nationalités des Occidentaux ne sont pas connues. Les photos et vidéos recueillies par des témoins oculaires et envoyées à la rédaction décrivent explicitement la situation.

Le bus, avec une escorte de police à son bord, a été intercepté par une foule en colère accusant les "Mundele" (les blancs en lingala) d'avoir amené le COVID-19 au Congo et par conséquent la mort. La foule était principalement composée de jeunes chômeurs. Dans les vidéos, les dialogues (en lingala) contiennent une forte dose de xénophobie. "Non contents de nous exploiter, à présent les Blancs apportent la mort avec le coronavirus" ; "Après nous avoir apporté le virus les lâches s'enfuient ! "Les Mundele ne veulent pas de nous dans leur maison, mais ils apportent le coronavirus chez nous ! ».

Les policiers à l'intérieur du bus ont donné l'ordre au chauffeur de continuer. Le bus a pu atteindre l'aéroport international avec peine. La foule en colère n'a pas pu y entrer. Le commandement de la police, averti de l'assaut, a décidé de ne pas envoyer d'unités pour défendre les Occidentaux afin de ne pas faire aggraver la situation. Certaines de nos sources soupçonnent que la décision de ne pas intervenir a également été prise sur la base du fait que les policiers partageaient la colère et les sentiments xénophobes exprimés par la foule en colère. Tous les passagers du bus ont subi un choc émotionnel profond mais sont indemnes. Personne n'a été blessé malgré les jets de pierres importants qui ont brisé plusieurs vitres du véhicule.

Cet épisode extrêmement grave est le premier signe d'une possible escalade de la violence xénophobe en Afrique contre les Européens et les Occidentaux en général. Dans le monde entier, le COVID19 est devenu un catalyseur pour des problèmes préexistants mais jusqu'ici ignorés ou sous-estimés qui apparaissent de manière spectaculaire et violente.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Lindro.it

Nos remerciements à Panterina


Rappel :

Coronavirus : quand l’Afrique dénonce la «maladie des blancs»

Xénophobie entre Africains : 12 morts à la suite d’attaques en Afrique du Sud

N'oubliez pas : les Africains sont porteurs d'enrichissement pour l'Europe selon les propagandistes de gauche.

 

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Après une semaine de violences en Afrique du Sud, dirigées contre les étrangers, et qui s'est soldée par la mort d'une dizaine de personnes, le consul du Nigeria à Johannesburg a annoncé, lundi, le rapatriement de quelque 600 compatriotes.

 

 

 

Attention vidéos très choquantes mais nécessaires pour démontrer le mensonge de la gauche avec son idéologie multiculturelle prétendant que l'Europe a besoin de cette diversité.

 

 

 

 

Les émeutes des derniers jours ont causé émotion et colère dans toute l'Afrique. Quelque 600 Nigérians doivent être rapatriés après la vague de violences xénophobes en Afrique du Sud, qui a fait 12 morts depuis la semaine dernière, a annoncé lundi le consul nigérian en poste à Johannesburg.

"Ils sont environ 600 maintenant" à s'être présentés au consulat pour demander à être rapatriés au Nigeria, a indiqué à l'AFP Godwin Adamu. "La compagnie aérienne Air Peace commencera l'évacuation mercredi avec les 320 premiers", a-t-il ajouté. "Et un autre avion sera affrété aussitôt après".

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France24.com

Être accusé de racisme: La nouvelle lutte des classes

Christian Hofer: Article qui fait écho à l'analyse du professeur de sciences politiques Merkel, qui décrit lui aussi cette rupture de la gauche bobo avec la couche populaire.

En vociférant et en menaçant sans cesse le peuple laborieux qui ne veut pas ingurgiter le multiculturalisme, cette gauche méprisante réinvente la lutte des classes qu'elle est censée combattre. Pour elle, cette diversité n'est synonyme que de plaisirs nouveaux, d'échanges fructueux entre "personnes éduquées" alors que le peuple doit faire face à des revendications religieuses et des violences ethniques d'un autre ordre.

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Quand j’étais jeune et qu’une discussion politique s’enflammait, la pire insulte était de traiter l’autre de «fasciste» ou de «réactionnaire».

Aujourd’hui, quand on veut faire un maximum de mal, on dit à l’autre qu’il est «xénophobe» ou «raciste».

Les deux mots ne sont pas synonymes.

La xénophobie, c’est la méfiance, voire l’hostilité envers les étrangers.

Il est normal d’être mal à l’aise, au premier contact, avec des gens qui ne vous ressemblent pas.

La suite dépendra du caractère positif ou négatif des rapports, s’ils s’établissent.

Le racisme, c’est la croyance en la supériorité d’une race sur une autre, ce qui n’a pas la moindre justification scientifique ou morale.

Choix

Regardez maintenant comment est utilisée l’accusation de «xénophobie».

Généralement, elle va du haut vers le bas.

Le Haut-commissaire de l’ONU aux réfugiés inquiet du “climat de xénophobie” en Europe

Le Haut-commissaire de l'ONU pour les réfugiés, Filippo Grandi, s'est inquiété du "climat de xénophobie" en Europe dans un entretien accordé à l'AFP à Téhéran avant la célébration lundi de la journée mondiale des réfugiés.

"La responsabilité des hommes politiques devrait être d'expliquer que l'immigration, par certains aspects, contribue en fait au développement des sociétés et que les réfugiés (...) ont besoin de protection, car ils ne constituent pas un danger mais fuient des endroits dangereux", a affirmé M. Grandi, venu en Iran pour évoquer la situation des réfugiés afghans dans ce pays.

Pour lui, "ceux qui font le contraire et montent l'opinion publique contre les réfugiés et les migrants créent un climat de xénophobie qui est très inquiétant dans l'Europe d'aujourd'hui". Et cela "donne un mauvais exemple aux pays" qui ne sont pas dans l'Union européenne (UE).

Source

RSA : l’échec sanglant de la société « post raciale »

Par Bernard Lugan

En Afrique du Sud, les dernières violences « xénophobes » ont pris une telle ampleur que le Malawi a décidé d’évacuer ses ressortissants et que le Mozambique a demandé fermement aux autorités sud-africaines d’assurer la protection de ses nationaux. Quant au président Zuma, il vient d’annuler une visite officielle à l’étranger afin de suivre l’évolution de la situation.

« Un peu plus d’un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les événements. »

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