“Tu ne peux pas te voiler?”: des enseignants berlinois parlent de leur travail avec les élèves musulmans

"J'ai des enfants dans mes classes qui sont pour la peine de mort, qui qualifient d'autres enfants de "haram", ou les filles de salopes si elles portent une jupe ou un jean moulant." – Birgit Ebel, enseignante

Antisémitisme, misogynie, homophobie: des enseignants de Berlin parlent de leurs expériences avec les élèves musulmans. Un imam explique ce qu’on peut faire contre la haine et les préjugés.

"Il a piétiné l'islam, il a eu ce qu'il méritait." Ainsi parle un élève berlinois de septième après le meurtre à motivation islamiste du professeur parisien Samuel Paty. […]

Le quotidien berlinois Tagesspiegel de Berlin a interviewé trois enseignants de la capitale au sujet de leurs expériences avec les élèves musulmans. Dans leur travail quotidien, ils sont confrontés à des déclarations de plus en plus misogynes, antisémites et homophobes. Par exemple, dans une école secondaire intégrée à Schöneberg, certains élèves ont refusé d'observer une minute de silence pour Samuel Paty.

Israël est également un sujet critique. Un élève de septième a soutenu qu'Israël n'avait pas le droit d'exister en tant que pays et devait être retiré des atlas. "Bien sûr, il dit cela parce qu'il l'a entendu à la maison", estime l’enseignant. "Les élèves qui racontent ce genre de choses sont incapables d’approfondir, incapables d'expliquer pourquoi ils haïssent Israël."

Que faire alors contre une telle haine? L'imam Ender Cetin, de l'"Académie allemande de l'islam", accompagné d'un rabbin, parle activement de ces préjugés avec les enfants des écoles "hotspots" dans le cadre de son projet "Meet2Respect". "Je ne ferais jamais de généralisations", explique-t-il à Focus Online. Il ne croit pas que les enfants répètent ce qu'ils entendent à la maison. "Ils répètent plutôt ce qu'ils entendent de leurs pairs. Souvent, les parents ne savent même pas ce que leur enfant dit."

Un enseignant a également parlé au Tagesspiegel de l'attitude des musulmans envers les femmes et les filles. Quand une policière a voulu présenter un projet à l'école, un de aws élèves a dit: "Mais c'est une femme, elle n'a de toute façon rien à dire. La violence des garçons musulmans a également "une qualité particulière". Une jeune musulmane qui avait été battue a dit: "C'est tout à fait normal qu'un garçon frappe une fille". Quant à l'homosexualité, elle est qualifiée par certains élèves de "contre nature" et "dégoûtante".

Tilmann Kötterheinrich-Wedekind, directeur d'un lycée de Neukölln, se dit particulièrement préoccupé du fait que certaines valeurs fondamentales sont contestées. Environ 95 % de ses élèves ont des racines arabes, turques ou bosniaques. "Ces qui relève de l'éducation moderne est reçu avec une grande réserve, voire parfois ouvertement rejeté".

Ainsi, lorsque les cours d'éducation sexuelle s'approchent, de nombreux enfants sont subitement malades.

Dans les couloirs, le directeur entend sans cesse des remarques du genre "Tu ne peux pas te couvrir?", "Tu ne peux pas porter le voile?"

L'imam Cetin confirme. Il ne veut pas minimiser cela, mais pas non plus dramatiser. Ces fortes déclarations sont en décalage avec ce que les enfants disent dans les entretiens individuels. Ces déclarations sont très problématiques, mais ce n'est pas de l'extrémisme. C'est plutôt un appel à l'aide (sic) de ces enfants pour qu'on reconnaisse  leur identité musulmane, "mais ils ne savent pas comment l'exprimer. Par ces déclarations extrêmes, ils attirent l'attention, c'est ainsi qu'ils veulent montrer leur force."

Dans leur interview au Tagesspiegel, les trois enseignants ont souligné que leurs tentatives d'intervention n'étaient pas toujours efficaces.

Le directeur Tilmann Kötterheinrich-Wedekind, par exemple, a déclaré : "Beaucoup de mes élèves vivent dans deux mondes" [leur milieu familial musulman et l'école allemande]. L'imam Cetin dit même: dans trois mondes: ils obtiennent beaucoup d'opinions par les réseaux sociaux. Il pense aussi qu'il y a des conflits de générations à la maison. Quant à l'école, "l'enfant y est toujours l'autre, le musulman, et ne se sent pas vraiment chez lui".

C'est pourquoi il estime prioritaire d'"amener des projets qui s'adressent avant tout aux élèves musulmans. L'école offre la possibilité d'une plate-forme de discussion."

Tilmann Kötterheinrich-Wedekind, mentionne encore une autre solution possible: un meilleur mélange, c'est-à-dire amener davantage d'enfants issus de ménages à éducation bourgeoise, de langue allemande, dans des écoles ayant une composante de migration. L'imam pense également que c'est une bonne solution. (Les parents, peut-être moins, n.d.t.)

Source : Focus online

Résumé Cenator

Pillages, agressions : le vivre-ensemble à l’épreuve des faits

le 17 mars 2020 - par

Hier soir, à Trappes, une supérette de quartier a été pillée par une quinzaine de jeunes. Je vous laisse bien sûr le soin d’imaginer le profil de ces personnes. De nombreux témoignages indiquent que dans des grandes surfaces, des gens se sont battus pour du papier toilette, de l’eau, agressant là encore les employés des magasins. Des groupes de personnes, comprenant de nombreuses femmes voilées, trustent les rayons et chargent leur caddy, bloquant l’accès aux autres. Dans les hôpitaux, des médecins et infirmiers sont déjà pris à partie, souvent par des jeunes de la diversité, qui trouvent qu’il y a trop d’attente, qu’on ne s’occupe pas assez d’eux…

Bonjour le civisme, la solidarité, le respect des autres et des consignes qui siéent à la situation. Bien sûr, les médias taisent ces cas, mais leur multiplication probable dans les semaines à venir, et le relais des réseaux sociaux amènera tout cela à la une de l’actualité, n’en déplaise aux doctrinaires des plateaux télé.

Et nous n’en sommes qu’au début. Quand la situation économique va s’aggraver, que les gens n’auront plus d’argent, que les trafiquants resteront avec leur came sur les bras, dans quelques semaines, quelques jours, nous verrons bien comment tout cela tournera. Le général de Villiers avait alerté, dans l’indifférence générale, sur le surarmement des caïds de cités et l’incapacité qu’auraient nos forces de l’ordre à prendre le dessus en cas d’insurrection générale. Les généraux Martinez et Tauzin évoquent depuis des mois les risques d’émeutes, voire de guerre civile, et l’insuffisance des moyens pour juguler tout cela.

Or, nous y arrivons à grands pas, en tout cas de nombreuses conditions sont aujourd’hui réunies, en cette période de privations et de danger… Et alors, nous en reparlerons, de l’angélisme des journalistes et des politiques sur les plateaux télé. Nous verrons si les mêmes oseront venir exiger du calme, de la compréhension, de la tolérance. La naïveté de nos élites se payera au prix fort, mais encore une fois, c’est nous qui sommes exposés : eux resteront tranquillement barricadés dans leurs appartements, et nous supplieront de ne surtout pas faire d’amalgame…

Olivier Piacentini

source: https://ripostelaique.com/pillages-agressions-le-vivre-ensemble-a-lepreuve-des-faits.html

Panne de vivre ensemble…

Par Mireille Vallette

Luce Schwerzmann Fernandes, enseignante vaudoise, a écrit  ce Courrier de lecteurs paru vendredi 1er décembre dans 24 Heures:

Des us et des coutumes…
"De plus en plus de parents d’élèves demandent un entretien à l’approche de Noël pour nous suggérer, nous guider ou nous interdire des pratiques et des habitudes… Je souhaite réagir car, après 28 ans d’enseignement, je commence presque à ressentir un sentiment de malaise quand Noël approche. Comment vivre dans le respect de chacun et vivre nos traditions pleinement?
En réfléchissant à la question… Nous imposons à nos petits d’écrire de gauche à droite, est-ce de l’irrespect face aux autres cultures? Nous comptons nos années depuis le point 0, naissance de Jésus et apprenons dans nos programmes les années avant J-C et après J-C. Nos jours fériés correspondent à toutes nos origines judéo-chrétiennes et lorsque nous transmettons nos traditions, nous expliquons en classe ce à quoi correspond chaque fête, est-ce un manque de sensibilité face à l’«autre»? Nos expressions sont souvent tirées de notre patrimoine biblique. Les enfants suisses ont le droit de recevoir la transmission de notre culture: la naissance du Christ, les bergers et les mages. Nos chants de Noël sont quasi tous imprégnés de ce message de Noël. Pourquoi le pays «accueillant» s’efface-t-il de plus en plus par respect et pour ne pas froisser l’«accueilli»? Pourquoi l’accueilli ne considérerait-il pas comme une richesse issue de la multiculturalité de tolérer nos pratiques, voire d’avoir de la joie à approcher la diversité des pratiques du pays accueillant? Pourquoi n’exigerions-nous pas de l’accueilli qu’il se conforme à nos rites et usages? Cela pour faciliter le processus d’intégration. Personne ne leur reprocherait de garder, dans leur intimité, les us et coutumes de leurs origines et traditions."
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Luce Schwerzmann Fernandes, une «vieille» enseignante un peu agacée, Saint-Saphorin-sur-Morges
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Reste un grand mystère: qui sont ces parents d'élèves?

France. Témoignage: “On ne peut pas mettre une personne de confession juive dans un quartier où il y a des musulmans.” (Vidéo)

RMC Les Grandes Gueules.

Témoignage d'une collaboratrice qui travaille dans les logements sociaux.

"On ne peut pas mettre une personne de confession juive dans un quartier où il y a à côté, ou dans l'immeuble à côté, des personnes de confession musulmane sans qu'elle se fasse traiter de sale juif."

 

Source

Brigitte Bardot : «je suis contre le vivre-ensemble»

Ces derniers temps, Brigitte Bardot se fait autant remarquer par ses positions sur la défense des animaux que pour ses opinions politiques. « Marine Le Pen a la volonté de reprendre la France en main, de remettre des frontières et de redonner la priorité aux Français » déclare t-elle dans TV Magazine.

L’ancienne icône des années soixante ne revendique pas sa proximité avec le Front national, mais semble en approuver les idées. « Je suis contre le vivre-ensemble, poursuit-elle. Mais je ne suis pas facho, pas plus que Marine Le Pen. » Elle se déclare aussi « contre le voile et celles qui le portent. »

Elle s’était déjà signalée par ses positions radicales sur l’Islam, en déclarant notamment « le Ramadan, je m’assois dessus » ou en se déclarant « en deuil » lors de la fête de l’Aïd.

Source

Jacques Julliard : « Contre le parti collabo du ‘pas d’amalgame’ »

Texte de Jacques Julliard, journaliste et essayiste, publié dans Marianne.

Chaque fois que la France est menacée dans son existence et dans ses raisons d’être, il se forme dans ses marges un parti collabo. Bourguignons de la guerre de Cent Ans, frondeurs du début du règne de Louis XIV, émigrés de Coblence sous la Révolution, vichystes et pronazis de la Seconde Guerre mondiale. D’ordinaire, ce parti est d’extrême droite et se confond avec la réaction. Aujourd’hui, il est d’extrême gauche.

C’est le parti du «pas d’amalgame» à tous crins ; du «vivre ensemble» à tout prix ; de «la faute aux cathos» quand les islamistes égorgent ; c’est le parti de la minimisation («quelques actes isolés sans signification»), de la psychiatrisation («une poignée de déséquilibrés»), de la contextualisation («des victimes du racisme ambiant»), de la diversion («les fruits du colonialisme»), de la banalisation («le burkini est un vêtement comme un autre»). Tout est bon pour suggérer que ces crimes ne sont pas des crimes, mais des conséquences.

C’est surtout le parti de la France coupable. Cette façon de faire son procès quand l’ennemi la calomnie, cette manière de lui tirer dans le dos quand elle est attaquée de face ; ce chauvinisme inversé qui l’accable quand elle est affaiblie ne porte qu’un nom, quels qu’en soient les auteurs : lâcheté ! lâcheté !

Quand la France connut en 1940 les jours les plus noirs de son histoire, le parti de la soumission, avec à sa tête le maréchal Pétain, ne trouva qu’une explication : la France est dans le malheur parce que la France est coupable ! Coupable du Front populaire, coupable de son esprit de jouissance, coupable de son esprit d’insubordination. [...]

Marianne via Fdesouche.com

Allemagne. Observatoire du « vivre ensemble », des faits

 

18.04, Oberhausen. 8 heures, 3 enfants sont harcelés sur le chemin de l’école par un individu. A 11h55, sortie des classes, l’individu se poste devant l’école. Il menace un enfant de 8 ans au couteau, le force à le suivre. Le petit parvient à s’enfuir. Signalement de l’agresseur, peau foncée, taille 180 cm.

http://www.presseportal.de/blaulicht/pm/62138/3308729

21.04  Herdern, Freiburg, Un individu enlève deux enfants jouant dans une aire de jeux. Le père des deux petits, assis en face de l’école au moment des faits, suit le Syrien présumé et met un terme à l’enlèvement. Suite à cette affaire, trois cas similaires ont été annoncés dans la même agglomération.

http://www.badische-zeitung.de/unbekannter-nimmt-kinder-mit-polizei-ermittelt-schleppend

22.04, Neuenburg. Un Syrien de 28 ans, récidiviste, abuse d’une petite fille de 8 ans.

http://www.focus.de/regional/freiburg/erfolg-fuer-polizei-freiburg-er-hat-ein-8-jaehriges-maedchen-sexuell-belaestigt-polizei-nimmt-29-jaehrigen-in-neuenburg-fest_id_5463950.html

26.04, Chemnitz. 16h30, trois contrôleurs de train se font tabasser par deux hommes d’origine étrangère. Selon le porte-parole de la société de transport, les agressions se multiplient.

https://mopo24.de/nachrichten/chemnitz-tram-fahrschein-kontrolleure-attacke-faust-gesicht-67640

Offenburg. Suite à l’annonce du harcèlement sexuel subit par une petite fille dans une piscine le 8 avril, la maman en colère annonce sur Facebook que ce sont en réalité 5 enfants âgés de 5 à 12 ans qui ont été victimes.

http://www.bo.de/lokales/offenburg/mutter-fuenf-kinder-wurden-im-hallenbad-offenburg-belaestigt

D'autres faits ici

Jacques Julliard : « Le vivre-ensemble est une blague, une blague sanglante »

Les attentats de Bruxelles ont-­ils sonné le glas du communautarisme ? Ce serait trop beau. Certes, la preuve par Molenbeek et Schaerbeek a été apportée qu’à laisser se constituer des ghettos ethniques au cœur des cités, on joue notre liberté et notre sécurité à la roulette russe, ou plutôt islamiste. Mais la culture de l’excuse a encore de beaux jours devant elle. Quand on ne trouve à l’action des terroristes que des mobiles légitimes, tels que la frustration, le refus de la discrimination et des fractures sociales, le désir de « socialisation » (sic), sans parler du « contexte international », on n’est pas très loin de leur donner raison (ainsi Corinne Torrekens, directrice de DiverCity, un groupe de conseil en sciences sociales et politiques lié à l’Université libre de Bruxelles, Libération, 24/­03/­2016). Il faudra encore beaucoup de crimes et de souffrances pour que l’on admette que le « vivre ensemble », cette expression inepte, indécente, derrière laquelle on camoufle l’apartheid des cultures, n’est qu’une blague, une blague sanglante.

Nos sociétés sont multiculturelles et sont vouées à le devenir un peu plus chaque jour. La rapidité, le bon marché des transports, les énormes écarts de prospérité entre les nations font que les pays riches d’Europe et d’Amérique sont en train de devenir des mosaïques ethniques, tandis que les pays pauvres conservent pour l’essentiel leur identité. Pour les pays d’accueil, le communautarisme est une solution de facilité et une marque de candeur extrême. Pour permettre au migrant de « conserver ses racines », on somme le pays d’accueil de renoncer aux siennes, ce que les populations locales n’acceptent pas ; elles ont l’impression d’être déracinées sur leur propre sol.

Ajoutez à cela un phénomène nouveau, qui est la marque propre de l’islamisme, et qui contraste avec l’immigration du passé : la détestation du pays hôte. Le résultat, c’est ce cocktail détonant qui est en train de gagner toute l’Europe et que l’on appelle sommairement le populisme.

Le communautarisme, c’est-­à­-dire la juxtaposition sur un même territoire de communautés différentes par l’origine géographique, la langue, la religion, l’histoire, la culture, la philosophie, est une immense faillite. L’Europe, si le phénomène devait persister, ne lui survivrait pas. L’Allemagne, les Pays­Bas, les pays scandinaves l’ont reconnu depuis peu. La Belgique, le Royaume­Uni ne tarderont pas à le faire.

Nos nations multiculturelles sont donc devant une alternative brutale, sans échappatoire : intégration ou guerre civile. Seule la version universelle de l’humanisme, héritée de la chrétienté, des Lumières et de la Révolution française, nous permettra d’échapper à ce désastre.

Le Figaro via fdesouche

Allemagne. Observatoire du « vivre ensemble », quelques faits

27.03.2016, Haar. Une femme de 45 ans attend le taxi à la gare. Elle est violée par deux hommes d’Asie centrale ou d’Asie du sud

http://www.merkur.de/lokales/muenchen-lk-nord/haar/haar-vergewaltigung-s-bahnhof-45-jaehrige-mm-6267197.html

27.03, Munich. Deux filles de 14 ans subissent des contraintes sexuelles avec coups de pied par deux Syriens et un Afghan, dans une piscine.

http://www.tz.de/muenchen/stadt/ramersdorf-perlach-ort43348/jugendliche-belaestigen-maedchen-neuperlacher-schwimmbad-6263420.html

27.03, Gelsenkirchen. Une fille de 19 agressée sexuellement. L’agresseur est vraisemblablement de type nord-africain

http://www.derwesten.de/staedte/gelsenkirchen/versuchte-vergewaltigung-polizei-gelsenkirchen-sucht-taeter-id11684261.html

29.03, Chemnitz. Une contrôleuse dans l'exercice de ses fonctions est mordue à la main par un homme nord-africain.

https://mopo24.de/nachrichten/chemnitz-cvag-strassenbahn-mann-beisst-fahrkarten-kontrolleurin-in-die-hand-62832

30.03, Halberstadt. Deux Irakiens de 25 et 56 ans font subir des contraintes sexuelles à une fille de 13 ans, à 17.30 h, à proximité d’un supermarché. Le plus âgé des deux agresseurs filme la scène. Ils voulaient forcer la victime à les suivre pour, disaient-ils, apprendre l’allemand.

https://mopo24.de/nachrichten/halberstadt-maedchen-sexuell-belaestigt-und-dabei-gefilmt-64299

30.03, Greiz. Deux enfants de 9 et 11 ans sont observés,  photographiés, puis harcelés et agressés sexuellement par deux jeunes dans une aire de jeux. L’un des agresseurs est un ressortissant syrien. L’identité du deuxième agresseur n’est pas encore établie.

http://www.otz.de/web/zgt/leben/blaulicht/detail/-/specific/Kinder-in-Greiz-belaestigt-und-unsittlich-beruehrt-391104957#

 

Ndr : La plupart de ces agresseurs se promènent encore dans la nature

Autres faits

 

Zemmour: “Je suis Charlie” a été une manipulation pour interdire toute liberté au nom du « vivre-ensemble »

Eric Zemmour était à Montpellier le 9 avril pour un débat autour de son livre « Le suicide français ». Extraits de réponses aux questions du public

« Les attentats des 7 et 9 janvier sont la faillite de tout le discours de ces trente dernières années. Voilà des gens qui ont été élevés en France, qui sont issus de l’immigration, du regroupement familial, de l’école, du vivre-ensemble, de l’intégration, etc, et qui tuent des Français en plein Paris. C’est un échec total pour l’idéologie dominante.

Et par un effet fantastique de manipulation des esprits, on a commencé par manifester pour la liberté d’opinion et ça s’est fini par « il faut lutter contre l’islamophobie ». Les victimes de ces attentats ont servi à légitimer la lutte contre l’islamophobie. Moi je dis chapeau… ».

On ne s'étonnera pas pour retrouver Sommaruga extrêmement bien positionnée dans cette manipulation.

On ne s'étonnera pas de retrouver Sommaruga extrêmement bien positionnée dans cette manipulation.

«On passe désormais à une nouvelle étape qui est la construction des mosquées. Si Coulibaly et Kouachi ont fait un carnage c’est parce-qu’il n’y avait pas assez de mosquées. Et tout ça en trois mois !

« Je suis Charlie » a été un sas de décompression sémantique et rhétorique pour passer définitivement du monde de la liberté démocratique même si elle est illusionnée, au monde de l’interdiction de toute liberté au nom du « vivre-ensemble ».

Très critique sur les questions migratoires, Eric Zemmour fait un constat amer :

« On a un peuple français qui est en train de se fracturer, le peuple français n’existe plus et il y a deux peuples au moins sur le territoire français, qui ont des cultures différentes, des histoires différentes, ils n’adorent pas les mêmes dieux, ils n’ont pas les mêmes conceptions de l’existence, des femmes, de la philosophie, etc. (…)

Du moment où il n’y a plus de peuple français sur le territoire de la France (…) on a des zones en France qui petit à petit, s’autonomisent, tout le monde voit bien ce qui est en train de se passer. Des zones qui ne sont plus la France.»

Si Richelieu fait le siège de la Rochelle et extermine 90 % des habitants, c’est parce que les protestants se sont autonomisés, se sont organisés en république protestante. Pour Richelieu, ce n’est pas possible, c’est un état dans l’état, c’est un pays étranger dans la France.

Aujourd’hui, nous en sommes là, nous sommes avec des La Rochelle qui se multiplient un peu partout en France.

Petit à petit, des régions entières s’autogèrent, s’auto-réglementent, qui s’autofinancent avec le trafic de drogue, le Qatar et l’Arabie Saoudite. Des régions qui s’organisent autour d’une nouvelle règle qui est le Coran, qui « halalisent » des quartiers entiers. »

Selon Zemmour, aujourd’hui, pour l’idéologie dominante, « les mots veulent dire le contraire de ce qu’ils veulent dire. Quand vous entendez à la télévision qu’il faut défendre la liberté d’opinion, ça veut dire qu’il faut l’interdire, en tout cas pour tout ceux qui ne pensent pas comme eux.

Mais on n’a même plus besoin d’avoir recours à la censure puisque depuis trente ans, on a tellement détruit les fondements de l’apprentissage culturel, intellectuel. Comme le niveau baisse tout le temps et le savoir diminue tout le temps, l’esprit critique est de moins en moins développé.

C’est miraculeux qu’on ait une partie de la jeunesse qui se révolte contre cet ordre dominant. Pour une fois mon pessimisme est pris en défaut. »

Lengadoc-info via Fdesouche.com