Italie : 2 Nigérians arrêtés lors d’un contrôle traitent les policiers de racistes puis agressent les agents. Un policier se retrouve à l’hôpital.

Deux jeunes étrangers ont été contrôlés vendredi après-midi à la gare de Mestre. Tous deux ont été reconnus coupables et remis en liberté. Un policier se trouve l'hôpital.

Ils se sont montrés nerveux dès le début du contrôle. Ils n'avaient pas l'intention de montrer leurs documents. Lorsque les policiers ont réitéré leur demande, ils ont perdu tout contrôle. «Allez vous faire... Vous êtes racistes» ont déclaré les deux jeunes Nigérians aux policiers qui les avaient arrêtés dans le passage souterrain de la gare de Mestre, vendredi après-midi.

Immédiatement après, les Nigérians les ont agressés. L'arrestation a été difficile. Il a fallu d'autres agents. Mais finalement, I.P., âgé de 22 ans et O.E., 25 ans, ont été appréhendés.

Les deux individus ont tenté d'éviter le contrôle en prétendant qu'il n'existait aucun droit pour les arrêter. L'un d'eux a ensuite montré une carte d'identité et une photocopie d'une demande d'asile politique expirée. Le même individu a d'abord élevé la voix et a frappé un agent avec coup de tête, soutenu par son complice qui a bousculé violemment l'agent.

Durant ces instants frénétiques, deux gardes de sécurité sont également intervenus, ainsi que d'autres agents. Ils ont réussi à arrêter le duo d'étrangers. Tous deux ont été arrêtés et l'un des policiers s'est rendu à l'hôpital (...).

Samedi matin, les Nigérians se sont présentés au tribunal: l'audience est reportée au 14 septembre.

 

Veneziatoday.it

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Italie. Après les trains, le supermarché : un gang de migrants terrorise la Vénétie

Ils circulent librement tout en voyageant impunément. Et sans scrupules, ils continuent à menacer les gens et à commettre des crimes dans la région de la Vénétie.

La bande qui a pris en otage à deux reprises le train Venise-Bassano del Grappa a attaqué un supermarché Maxì à Borgo Padova, menaçant un employé et volant de l’alcool. Le même supermarché qu’ils avaient cambriolé avant de faire le premier raid dans le train.

(...)

Il Giornale

La Mostra de Venise sur le thème des réfugiés. George Clooney réalise un film anti-Trump.

La 74e édition du plus vieux festival de cinéma au monde est hantée cette année par un thème d’actualité, la question des réfugiés, et un tourment métaphysique, les affres de la fin de vie.

Un grand festival de cinéma finit toujours par devenir la caisse de résonance, l’amplificateur et le haut-parleur des grandes questions de son temps. Des premiers jours de la 74e Mostra de Venise deux thèmes se dégagent : la question des réfugiés et les tourments de la vieillesse.

Human Flow (« Marée humaine »), le documentaire-fleuve du plasticien chinois Ai Weiwei était attendu dans ce pays, l’Italie, en première ligne pour accueillir les damnés de la mer qui échouent sur ses rivages. Ce dissident en exil cherche à montrer l’ampleur des mouvements de populations déplacées dont le flot, alimenté par les guerres et le changement climatique, n’a jamais été aussi considérable depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Épaulé par une armée de collaborateurs, Ai Weiwei circule à travers le monde, écume les camps de réfugiés, prête main-forte et secourable à des embarquements d’épuisés, suit de spectaculaires cohortes, longue procession de désespérés dépenaillés, qui se heurtent à la fermeture des frontières, pris au piège de « no man’s land » infranchissables.

En artiste, Ai Weiwei joue sur la pureté du ciel, le bleu de la mer, le jaune étincelant des déserts, pour filmer la réalité de cette tragédie du XXIe siècle, le flux incessant et le désastre de cette marée montante. Mais son réquisitoire vire au fourre-tout compassionnel. Comme d’autres avant lui, il se met en scène pour exhiber sa belle âme. Ce douteux penchant narcissique, la volonté d’apparaître sur fond de misère et de détresse, pervertit son propos.

Les réfugiés, on les retrouve dans le nouveau film de Robert Guédiguian, La Villa, libre adaptation contemporaine et méditerranéenne de La Cerisaie de Tchekhov. Un drame intime autour d’un père qui se meurt et de ses héritiers que cristallise le sort de sa belle maison, au large de Marseille, lieu d’un terrible secret de famille. Les personnages traditionnels de Guédiguian ont vieilli. Fatigués, victimes de l’âge et de leurs désillusions, ils subissent leur époque asservie à l’argent. Mais comme toujours chez lui, l’élan de la générosité et de la solidarité n’a besoin que d’une étincelle pour renaître. La leçon finale, bien que teintée d’amertume et de tristesse, repose sur cet espoir.

Fin de vie aussi, chez Stephen Frears avec Victoria and Abdul, film virtuose, étincelant, riche en moyens, sur un épisode volontairement effacé de l’historiographie officielle de la couronne britannique. À la fin du XIXe siècle, séduite par l’intelligence et la vivacité d’un Hindou, arrivé fortuitement à ­Buckingham, qui la sortit de l’ennui et de la torpeur, la reine Victoria affronta sa famille et les cabales de la cour pour l’imposer auprès d’elle.

Même thème, la vieillesse et ses défaites, mais trop mal traité dans The Leisure Seeker, signé ­Paolo Virzi. On souffre de voir Helen Mirren et Donald Sutherland offrir leur talent à un film aussi navrant autour d’un couple, en bout de course, qui part en goguette à travers les États-Unis. Sans prévenir personne.

Parmi les très bonnes surprises de ce début de Mostra, Suburbicon, de George Clooney, thriller déjanté coécrit avec les frères Coen, sur le rêve américain qui bascule dans le racisme, et les névroses meurtrières d’un employé de bureau qui sacrifie sa femme pour épouser sa belle-sœur. Film élégant, réjouissant, superbement maîtrisé qui est aussi une vision décapante de l’Amérique de Trump.

Dans Foxtrot, le cinéaste israélien Samuel Maoz met en scène l’annonce de la mort d’un fils, tué à l’armée. Composition mi-grave, mi-humoristique mâtinée d’un stupéfiant rebondissement scénaristique, ce film impressionnant, tiraillé entre le gouffre de l’affliction et la froideur de l’institution, est aussi la métaphore de l’enfermement d’Israël.

Vu du Lido, l’avenir est sombre, les temps déboussolés et l’humanité à bout de souffle. Pendant ce temps, à portée de vue des festivaliers, la caravane des cargos du monde entier sillonne l’Adriatique…

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Nos remerciements à 

Le maire de Venise prévient: “Si quelqu’un crie ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”.

L’édile de droite Luigi Brugnaro affirme que sa ville est plus sûre que Barcelone, frappée par un attentat meurtrier, la semaine dernière.

Le maire de Venise Luigi Brugnaro assure que sa ville est plus sûre que Barcelone, où 13 personnes sont mortes dans un attentat, la semaine dernière, rapporte le Times. Lors d’une conférence à Rimini, dans le nord-est de l’Italie, l’édile de droite, réputé pour son franc-parler, a même menacé de faire tirer sans sommation sur les suspects de terrorisme.

“À l’opposé de Barcelone, où ils n’ont pas installé de protections, nous restons sur nos gardes”, a-t-il déclaré sous les applaudissements. “Si quelqu’un court sur la place Saint-Marc en criant ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, a prévenu le maire. “Nous enverrons les terroristes directement chez Allah avant qu'ils ne puissent nous faire du mal”, a-t-il conclu.

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Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Venise va interdire l’ouverture de nouveaux Kebabs

Soucieux de ne pas se dénaturer, la ville de Venise va interdire l’ouverture de nouveaux Kebabs et Fast-Food dans son enceinte. Préserver le patrimoine au détriment de l’ouverture culturelle, est-ce sain ?

Le quotidien The Guardian annonce que la municipalité de Venise a décidé d’empêcher l’ouverture de nouveaux Kebab ainsi que des chaînes de fast-food qui vendent la part de pizza à l’unité.

Ce nouveau décret a pour objectif la préservation du patrimoine culturel de la ville la plus célèbre d’Italie.

Ce genre de restrictions est assez courante en Italie. Les villes de Florence et Vérone ont déjà pris des mesures similaires.

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Tentative d’attentat à Venise: Après la fermeture de leur mosquée, des musulmans menacent de ne plus travailler s’ils n’ont plus de lieu de prière.

Dernier vendredi de prière dans la mosquée sise rue Fogazaro, à Mestre (près de Venise).

C’est la même mosquée qui était également fréquentée par certains Kosovars, présumés jihadistes, qui ont été arrêtés il y a quelques jours à Venise et déjà expulsés. La réunion avec les représentants de la communauté islamique s’est conclue sur l’idée de trouver un autre emplacement. Mais il reste peu de temps et la fête du Ramadan est proche.

 

 

 

« Nous ne savons pas où aller » se lamentent les musulmans et certains pensent transformer l’un des nombreux endroits abandonnés dans la zone industrielle et menacent de faire grève.

La communauté bangladaise en particulier, celle qui est à la tête de la mosquée, est prête à stopper le travail. « Trois mille d’entre nous travaillent pour Finacnatieri, mille cinq cents dans les pizzerias vénitiennes » déclare le porte-parole Kamrul. « Si personne ne va travailler, nous verrons ce qui va se passer. ». Et on réfléchit à organiser une grande manifestation.

En somme, sans accord, une confrontation se dessine. Une chose est certaine, le centre culturel transformé en salle de prière, ouverte du matin au soir, au rez-de-chaussée d'un petit magasin, devra être fermée.

Défauts de construction, bruits continus, cohues dangereuses dans un quartier non loin du centre de Mestre, dont les Italiens, se sont désormais éloignés en raison des conflits quotidiens avec les migrants, est devenu difficile de vivre. .

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Venise : il casse le crucifix de l’église

VENISE

Il y a une semaine, un musulman a cassé un crucifix datant du 18ème siècle dans l'église San Geremia à Venise. En entrant dans l'église il a déclaré : "Là-bas, il y a quelque chose de faux" . Sur ce, il s'est dirigé vers le crucifix et l'a jeté par terre.

Il s'agit d'un jeune maghrébin arrivé depuis peu de France. Le gardien est intervenu tout de suite avec l'aide de quelques paroissiens; ils ont retenu l'homme en attendant l'arrivée des carabiniers.

Témoignage du gardien de l'église (en italien)

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Source en italien

Polémique autour de livres sur des familles homoparentales

"Perché hai due papà" (photo ci-dessus d'un livre sur l'homoparentalité)

Le nouveau maire de Venise, Luigi Brugnaro (centre-droit) a interdit 49 livres pour enfants dans les écoles de la cité lacustre, dont des ouvrages sur les familles homoparentales, provoquant de vives réactions. Aussi, les petits Vénitiens n'auront plus accès à des livres comme «Jean a deux mamans» ou «Le grand livre des familles».

Suite

Venise : en toute impunité, des migrants rackettent des touristes Place St Marc

Le racket du grain (ndlr pour les pigeons) fleurit sur la Place Saint Marc.

Les touristes sont agressés par des vendeurs à la sauvette qui mettent de force des paquet de graines dans les mains des malheureux touristes et les contraignent ensuite à payer. Ils sont de plus en plus agressifs.Ils profitent des enfants dans les mains desquels ils placent les paquets de graines et exigent d'être payés 10 euros en harcelant les parents

D'autres se proposent de faire des photos des touristes au milieu des pigeons et ensuite n'acceptent de rendre l'appareil photo ou le cellulaire que si on leur donne 20 euros.

On commence à parler d'un véritable racket des graines, et quelques épisodes assez graves se sont passé ces dernières semaines, puisque, témoignage à l'appui, ils s'en prennent de plus en plus aux enfants et se font menaçant s'ils ne récoltent pas suffisamment d'argent pour une poignée de graines.

Source 1 (en italien)

Source 2

A Venise, l’artiste suisse Christoph Büchel transforme une ancienne église en mosquée

L'Islande a fait polémique à la Biennale d'art contemporain de Venise en installant une mosquée dans une église désaffectée, qui a été utilisée comme lieu de culte par des musulmans.

«La Moschea» est l'installation originale et provocatrice du pavillon islandais. Cette oeuvre de l'artiste Christoph Büchel (artiste suisse) se trouve dans l'ancienne église de Santa-Maria della Misericordia, que son propriétaire privé a loué à l'Islande. Très vite, des musulmans de l'agglomération sont venus prier dans le pavillon, et se sont félicités de l'initiative, y voyant une promotion de la tolérance et du dialogue entre culture et religion.

Dans la communauté musulmane, on aimerait bien qu'après la Biennale, l'installation devienne une mosquée permanente.

Source

Mestre (Venise) : bagarres répétées entre migrants

"Immigration bénie" dixit Bergoglio alias le pape François......

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rixe-mestrerixe-mestre1

On ne peut plus vivre comme ça, on ne peut pas continuer ainsi. La commune doit faire quelque chose !"

La personne qui parle fréquente chaque jour la gare de Mestre. Depuis des années. Il n'en peut plus d'être obligé d'assister et de supporter tout ça. Comme lui, d'autres commerçants et habitants de Mestre haussent le ton pour demander à être protégés, ne serait-ce que pour sortir de la gare ou pour traverser la rue. Il n'est pas difficile de se retrouver au milieu des rixes qui éclatent régulièrement. Par exemple, on ne sait pas pourquoi, en fin de journée, lundi dernier, une dizaine d'Africains se sont rués sur un des leurs. Ils l'ont roué de coups de pieds et de coups de poings sur le trottoir de la rue Monte San Michele, à deux pas de la station ferroviaire, un des endroits les plus fréquentés de la ville. Les autos se sont arrêtées et une passante s'est mise à hurler de peur.

"Ce sont des scènes incroyable, nous sommes dégoûtés par les situations qu'ils créent. Tout d'abord, dans cette rixe,  un des protagoniste a cassé une bouteille en verre sur la tête d'un autre, puis quelqu'un a pris un vélo et l'a lancé sur ses rivaux. Et c'est une situation coutumière : cela arrive à n'importe quelle heure de la journée. Lundi, dans leur furie, ils m'ont cassé une vitrine. Je suis dégoûté !"

Lundi, l'alarme a été lancée vers 18h quand toute cette violence a éclaté devant "l'African Asian Market" qui avait été l'objet de plusieurs contrôles par les carabiniers ces derniers jours. Un jeune Noir a été roué de coup de pieds et de poings. Mais, avant l'arrivée de la police, ils ont tous eu le temps de s'enfuir sans laisser de traces. Le jeune tabassé est arrivé à se débattre et est parti poursuivi par certains de ses agresseurs.

Mais actuellement il y aurait enfin plusieurs éléments qui permettraient une fois pour toute d'identifier ces individus : "C'est impressionnant, ajoute le riverain, ils boivent déjà tôt le matin, ils s'enivrent et perdent le contrôle. Et nous sommes dans le centre ville. N'importe qui pourrait se retrouver au milieu de ces rixes alors qu'il n'y est pour rien . Nous ne pouvons continuer à avoir peur de sortir de chez nous ou des magasins quand ils commencent leurs bagarres. [...]

 

Pour profiter en live de "l'évènement", il vaut la peine de cliquer sur le lien ci-dessous :

Article et vidéo (pour voir la vidéo, descendre tout en bas de l'article)