Les mouvements de désobéissance civile vandalisent systématiquement les affichages publicitaires à Lausanne

RTS, TJ, 19h30 du 10.02.2020

https://www.rts.ch/info/regions/vaud/11082558-vague-de-vandalisme-sur-les-affiches-publicitaires-a-lausanne.html

******

Cenator : Panneaux d’affichage officiels vandalisés par des militants du « Collectif de libération de l’invasion publicitaire »

Un sujet traité par le 19h30 du 10.2.2020 : La nouvelle vague de vandalisme vient d’atteindre des sommets, 80%  des affiches publicitaires sont détruites, arrachées, taguées, endommagées, recouvertes de publicité pour Extinction Rebellion ou d’autres causes de la gauche, 130 vitrines lumineuses cassées en un mois. C’est la deuxième vague de vandalisme massive depuis l’automne dernier.
Cela s’appelle dorénavant, non pas du vandalisme, mais de la désobéissance civile.

Le « Collectif de libération de l’invasion publicitaire » explique face aux caméras que la publicité est en ville une forme d’agression qui encourage la casse:
« Cette communication ne va que dans un sens », explique le boutonneux. Elle attire mon regard, elle a été conçue pour pour que je ne puisse pas la louper. Et MOI, en face, je ne peux rien répondre ? Est-ce que ça justifie de déchirer une affiche pour espérer SURVIVRE plus tard ? Ça me paraît évident ! »

La publicité en ville serait une agression !
Pauvres petiots encore biberonnés par leurs parents ou l’argent de l’Etat !

La Société générale d’affichage gère des panneaux publicitaires permettant de faire connaître des produits, des manifestations, etc., et de jeunes militants du « Collectif de libération de l’invasion publicitaire » s’arrogent le droit de les vandaliser !

Sur le fond, il est évident que toute société de liberté se doit d’avoir de tels panneaux pour faire connaître tel produit, telle chose ou telle manifestation (culturelle, politique, commerciale…).

Les jeunes activistes du « Collectif de libération de l’invasion publicitaire » sont, de fait, des militants totalitaires s’estimant au-dessus des lois et du droit. Les actions de paralysie de la vie courante, les actes de vandalisme en crescendo, les procès jubilatoires d’une justice partisane qui les acquittent, les médias qui les félicitent, tout est en place pour que ces petits fascistes se sentent dans la toute-puissance et le pire est probablement à venir.

Ce sont des sosies des Gardes rouges de la révolution culturelle maoïste, commençant aujourd’hui par saccager des affiches pour, demain ou après-demain, s’accorder le droit "d’écarter" ceux qu’ils considéreront comme des ennemis de ce qu’ils choisissent comme étant le bien prioritaire (choix imposé bien sûr à tout le monde).

Voilà nos petits nazillons, nos petits fascistes, nos jeunes Gardes rouges modèle 2020.
La RTS, d’habitude si prompte à donner des leçons, s’abstient de nous rappeler les évidences susmentionnées et de relever que ce sont de jeunes gamins incultes ne sachant encore rien de la vie dans laquelle il faut se battre pour obtenir son pain quotidien… à moins de trouver une planque dans le secteur public, planque dans laquelle l’argent  des impôts des bosseurs du secteur privé arrive encore.

***

P.S. :

1) Vu le jeune âge de ces rebelles au cerveau d’huître et au sens moral d’amibe,  qui se croient permis de briser des vitrines publicitaires la nuit et d’arracher des affiches la journée pour pouvoir « communiquer avec la population » (sic), nous nous demandons s’il ne faudrait pas plutôt dénoncer, à leur place, le corps enseignant qui leur a lavé le cerveau (rappel : des écoles ont été fermées pour leur permettre de participer à la Grève du climat), ou encore leurs parents qui les ont nourris mais pas élevés et continuent de les entretenir pour qu’ils puissent passer leur temps à ce genre de « hobbies » au lieu d’étudier… alors que leurs futurs concurrents, indiens et chinois, étudient à fond.

2) Lausanne, capitale de Gauche, cumule toutes les débilités dont la gauche occidentale est capable. Le marxisme culturel a imprégné, puis colonisé la tête de la jeunesse, manipulée à son insu par des slogans anticapitaliste-pro climat qu’elle croit avoir adoptés par libre choix. De ce fait, les collectifs de « désobéissance civile» pullulent. Leurs actions sont encouragées par le laxisme des autorités à leur égard, pendant que les médias, RTS en tête, leur font gratuitement de la publicité… tout en se disant étonnés de leur formidable efficacité de communication.
Depuis la publication du communiqué ci-dessus, la RTS n’a cessé de promouvoir la beauté des mouvements dits de « désobéissance civile ».

Pas plus tard que cette semaine, une série d’émissions s’est ouverte au sujet d’Extinction Rebellion :
https://www.rts.ch/play/radio/vacarme/audio/extinction-rebellion-15-les-sources-londoniennes?id=11045868
https://www.rts.ch/play/radio/vacarme/audio/extinction-rebellion-25-la-peur-pour-recruter?id=11049308
etc.

 

Berne: Sa voiture est vandalisée car il a apposé l’autocollant “Confédéré”. “L’expert” accuse la victime d’extrémisme. (Vidéo)

Christian Hofer: Ce même expert d'opérette n'aurait jamais fait la moindre remarque si cela avait concerné d'autres ethnies.

Lorsque ces provocations se succèdent, la gauche, les médias et notre administration minimisent et certains mêmes osent accuser les... Suisses.

**********

La vitre arrière et les rétroviseurs de la voiture de Lukas Bernhard ont été brisés. Le jeune de 18 ans se considère victime de ses convictions politiques de droite.

L'étudiant de commerce Lukas Bernhard a d'abord pensé à une blague. Lors de la pause, un collègue l'a informé que quelqu'un démolissait sa voiture. Lorsque le jeune homme de 18 ans, s'est rendu dans la rue où sa Golf GTI noire était garée, il a failli avoir un choc. « Un homme vêtu de noir avec une capuche et des gants frappait sauvagement sur ma voiture, » dit-il.

Lorsqu'il a voulu parler à l'individu, celui-ci a pris le large. « Il était sur la route avec le vélo et il a ainsi pu m'échapper. » déclare l'étudiant de l'Établissement d'enseignement professionnel à Berne.

Résultat du vandalisme: une lunette arrière brisée et des rétroviseurs détruits. Bernhard a déposé une plainte que la police a confirmée.

 

 

Pour l'apprenti mécanicien de camion, l'origine du coupable est claire: "C'est certainement un extrémiste de gauche", dit-il. La raison de la supposition: Sur la vitre arrière de son véhicule, le mot Confédéré en majuscule et police de caractère Lonsdale brillait. « Avec l'autocollant, je voulais montrer que je suis fier de mon pays et un vrai Suisse », a déclaré Bernhard. En tant que militant de droite, il se sent victime de discrimination.

Le terme "Confédéré" possède des relents bruns

Selon Urs Urech, un expert de l'extrémisme de droite, le terme « Confédéré » est utilisé dans les cercles d'extrême droite pour distinguer « ethniquement les purs suisses » des Suisses naturalisés. Dans ce contexte, il serait fortement marqué ethniquement et provoquerait une "exclusion par délimitation"

"Il envoie le message :" Nous sommes les meilleurs des Suisses, vous avez acquis le passeport seulement par le biais de la naturalisation ", déclare Urech. En ce sens, il serait considéré comme une personne étant discriminante et blessante.

 (...)

 

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Plainpalais vandalisé

MANIF • Grosse émotion la nuit dernière. Les devantures des commerces et des murs d’immeuble ont été maculées d’inscriptions hostiles. La manifestation n’était pas autorisée…

«Quelle horreur! Mais ils sont complètement malades! Regardez-moi ça! Toute l’avenue du Mail est taguée.» L’émotion était forte chez les habitants et commerçants de Plainpalais, ce vendredi 26 juin.

De la place des Volontaires, en passant par la rue des Bains, l’avenue du Mail et le quartier des Banques, les murs de plusieurs immeubles sont maculés d’inscriptions hostiles. A l’encre rose, noire, en vert fluo, on peut y lire: «Figth the law!» «Stop Bunkers», «Facho» «Genève rue de prison».   L’arcade de GHI et les caissettes n’ont pas été épargnées.

Manif pas autorisée

Dans la soirée du 25 juin, des manifestants ont visé particulièrement les entrepreneurs. «La manifestation non-autorisée, a commencé à la place des Volontaires, confirme Jean-Claude Cantiello, porte-parole de la police genevoise. Des inscriptions ont été taguées durant le passage des manifestants. Il n’y a pas eu de casse ni de débordements.»

Difficile pour l’heure d’évaluer les dégâts, alors que des commerçants évoquent la possibilité de déposer plainte.

Source + photos sur GHI

250 tombes catholiques profanées: du banal « vandalisme » pour le maire ex-UMP et une “dégradation” pour le gouvernement socialiste

Des crucifix et des statues arrachés. Près de 250 tombes du cimetière Saint-Roch à Castres, dans le Tarn, ont été vandalisées. Aucune inscription, aucun tag, ni revendication n’ont été trouvés dans le cimetière. Les précisions du maire de Castres, Pascal Bugis.

ND Ch. H. Bien entendu pour le "Président de la République", il s'agit d'une dégradation et non d'une profanation. Le caractère sacré ou même le respect est inexistant lorsqu'il s'agit des Chrétiens. La discrimination est claire par rapport aux autres religions au pays du socialisme triomphant:

socialisme

Source

Esy8Wgr MYwYu0t gL571kA xeTeezZ

 

L’Enfant Jésus d’Hermance a été décapité

Une troisième église a été vandalisée. Comme à Chambésy et au Sacré-Cœur, les statues sont visées. Une tête et une main ont disparu.

Encore un lieu profané. Encore des victimes. Des statues de l’église de Saint-Georges à Hermance ont été endommagées entre jeudi et vendredi passés. C’est la troisième église vandalisée en un peu plus d’une semaine! La liste compte Sainte-Pétronille à Pregny-Chambésy, le mardi 3 mars (lire notre édition du 16 mars), et le Sacré-Cœur à Plainpalais, entre le vendredi 6 et le samedi 7 mars. Des lieux antagonistes du point de vue géographique mais que les faits rassemblent.

Suite

UDC Neuchâtel porte plainte contre vandalisme

Neuchâtel, le 16 septembre 2014

L’UDC DÉPOSE PLAINTE POUR CONDAMNER LE VANDALISME
L’UDC du canton de Neuchâtel a constaté que toutes les affiches présentant son candidat, Raymond Clottu au Conseil d’Etat ont été taguées d’une croix gammée entre Vaumarcus et Bevaix. Pour l’UDC, c’en est trop.

Notre parti a porté plainte cet après-midi contre X afin que les auteurs de tels actes ne puissent pas agir impunément.
Ce n’est pas – et de loin – la première fois que l’UDC est victime de vandalisme sur ses affiches ou autres moyens publicitaires. Toutefois, note parti estime anormal que de tels actes puissent être commis impunément et souhaite toute mettre en œuvre pour confondre les auteurs.
Notre parti relève également que l’environnement politique général s’est brusquement dégradé depuis la rentrée politique.

En effet, pas moins de deux présidents de partis gouvernementaux ont assimilé l’UDC aux idéologies nauséabondes ayant eu cours en Allemagne sous le IIIe Reich.
Il semble que la proximité des élections fédérales crispe les responsables de partis au programme politique dénués de sens qui n’ont plus que la calomnie pour tenter de décrédibiliser la politique de l’UDC.  Faut-il dès lors s’étonner que de telles déclarations à l’emporte-pièce soient suivies d’actes criminels ?
L’UDC du canton de Neuchâtel dénonce ce comportement irresponsable de la part d’élus fédéraux peu conscient de leur responsabilité vis-à-vis du peuple.
Avec nos meilleures salutations.

Contacts : Hughes Chantraine, député, président UDC Neuchâtel, 079 426 43 26

Raymond Clottu, conseiller national, candidat au Conseil d’Etat, 079 408 74 80