Asile au Tyrol : Des centaines d’incidents dissimulés au public

Des chiffres confidentiels concernant des incidents et des agressions ont fait leur apparition et ils choquent. De janvier à juillet de cette année, il y a eu plus de 600 incidents graves dans les 80 institutions du pays.

Les faits et les chiffres divulgués par le site "Krone" donnent à réfléchir. Pas simplement parce qu'ils se sont produits, mais bien plus parce qu'ils ont été cachés. Plus précisément, dans une analyse dite des besoins 2020-2021, il est question de:

  • 609 incidents de janvier à juillet 2019, dont près de 500 se sont produits dans les logements collectifs (GUK).
  • Il s'agit notamment de 235 incidents impliquant des services d'urgence (telles que la police, les services de secours et les pompiers).
  • En outre, 186 incidents impliquant des conflits physiques, des attaques contre le personnel de sécurité, etc. ont également été signalés.

La lettre indique également que des interdictions de séjour devaient être imposées à 110 ( !) personnes. "On peut déjà en déduire l'ampleur du potentiel de conflit. Ces chiffres sont un grand appel à l'aide de la part des collègues, souligne un initié des services sociaux tyroliens
(TSD), qui veut rester anonyme.

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En conclusion de cette analyse des besoins, il est indiqué que l’on peut parler ici de plus de 1200 incidents pour un an.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Krone.at

 

 

 

 

Italie. Sud-Tyrol: Une femme aurait été battue à mort à coups de batte de baseball par son amant marocain

Escalade de l'asile peu avant les élections: La situation dans le Sud-Tyrol s'aggrave. A présent, il y a même un premier mort!

Une femme âgée de 39 ans a été assassinée par son amant marocain. En outre, à Rome, plusieurs migrants ont provoqué des émeutes au centre de la ville parce qu'une maison qu'ils occupaient a été évacuée.

Pendant que les Africains continuent à affluer en Europe dans le sud de l'Italie et qu'ils se livrent à des combats de rue avec la police à Rome, la situation devient de plus en plus critique dans le Tyrol du Sud.

Un cas récent de meurtre, des saisies d'armes et de drogues alimentent en plus la situation.

Dans un village près de Bressanone, un migrant du Maroc aurait assassiné sa femme de 39 ans. Le lundi soir, les secouristes ont trouvé la femme morte dans la baignoire de son appartement.

Selon les médias, le Marocain sans emploi  a déclaré aux secouristes que la femme était probablement tombée dans la salle de bain.

L'autopsie d'un expert médico-légal italien jette un doute sur la description du Marocain: La femme semble « avoir été carrément exécutée » comme l'édition en ligne du quotidien «Dolomites» le rapporte. L'auteur présumé l'aurait battue à mort avec une batte de baseball.

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Source Source2 Source3 Source4 

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Λlex Λ

Autriche : les réfugiés marocains contrôlent le trafic de drogue dans l’Etat du Tyrol

Le ministère autrichien de l’Intérieur vient de publier son rapport annuel sur le trafic de drogue. 7ème au niveau national, les Marocains dominent sur cette activité illicite dans l’Etat fédéré du Tyrol.

Bien que relativement peu nombreux, les ressortissants marocains en Autriche contrôlent le trafic de drogue dans l’Etat fédéré du Tyrol révèle le ministère autrichien de l’Intérieur dans son rapport annuel 2015 sur le trafic de stupéfiants publié hier, mercredi 24 août. Et leur principale fief, selon la même source, est bien la capitale provinciale Innsbruck.

82% d’entre eux sont des demandeurs d’asile, 0,09% sont des résidents irréguliers, 0,06% sont des personnes sans emploi et le reste est composé de touristes, d’employés ou d’étudiants.

Si au niveau national, les Nigérians restent les « barons de la drogue » en Autriche, suivis des Allemands, les Serbes, Turcs, Algériens et Afghans, les Marocains arrivent au 7ème rang des narcotrafiquants dans ce pays d’Europe centrale. Les Bosniaques, les Russes et Roumains bouclent le top 10. [...]

En Autriche, le Maroc reste la principale source d’approvisionnement des réseaux de narcotrafiquants en résine de cannabis. Et les principales routes de la drogue marocaine vers ce pays d’Europe centrale sont : la capitale Vienne via les Pays-Bas, l’Italie et l’Espagne.

Cependant, indique le rapport, le trafic de drogue s’est tellement développement que le « marché » n’est plus uniquement alimenté par l’importation. Au Tyrol, le ministère de l’Intérieur a saisi 64 plantations, majoritairement tenues par les ressortissants marocains, mais aussi algériens et tunisiens. «Il s’agit généralement de migrants âgés de plus de 40 ans qui, ayant une longue expérience dans le trafic de drogue, ont quitté Vienne pour s’installer à Innsbruck», explique les auteurs du rapport.

yabiladi via Fdesouche.com