Tessin: La minorité bruyante manifeste contre la destruction d’un nid de gauchistes

Cenator: Ci-dessous, l'interprétation de cet événement donnée par la RTS (article RTS info et Esther Coquoz avec reportage sur place), représentative de l'opinion générale des médias en Suisse romande, qui placent la violence du côté des autorités.

Toutes les occupations illégales sont sacrées pour la Gauche.
Et les médias, fonctionnant comme papier de toilette pour ces derniers, accourent aussitôt pour rendre propre leur noble cause.

Notons cet emploi d'euphémisme comme "centre culturel""centre autogéré",  "centre autonome",  "zone occupée", pour un endroit ou une maison squattés illégalement par des jeunes d'extrême gauche, la tête remplie de crétineries marxistes hors sol, causant à la collectivité des frais et des nuisances à n'en plus finir, tout en prenant les contribuables en otage.

Se croyant révolutionnaires, fiers d'avoir tout gratuit et de mener une vie de récréation comme s'ils étaient restés bloqués à l'âge de 10 ans, les squatteurs, au nom des dernières modes déconstructionnistes, réclament toujours d'être au-dessus des lois.

Le plus révoltant dans tout cela, c'est le parti-pris de la classe bavarde subventionnée, qui leur offre systématiquement la publicité.

Nous rappelons à la RTS que Norman Gobbi a été démocratiquement élu, contrairement aux manifestants. Et si la Gauche a réuni 500 manifestants, ce n'est RIEN comparé au nombre des votants, malgré la présence des journalistes.

La surmédiatisation de cet épisode ne vise qu'à manipuler l'opinion, comme pour pratiquement tous les événements relayés par la RTS en lien avec des affaires de la Gauche.

Article en lien avec ce genre de surmédiatisation:

Dictature de la minorité : pourquoi les plus intolérants gagnent

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RTS info: Colère et manifestation à Lugano après la destruction d'un centre culturel

Quelque 500 personnes ont manifesté samedi à Lugano pour protester contre la destruction du "Macello", un centre autogéré situé dans le quartier du Molino. Cette institution culturelle et de rencontre a été démolie il y a une semaine.

Si la police craignait des débordements, la manifestation s'est déroulée pacifiquement et de manière très festive, avec de nombreuses familles. Les agents étaient toutefois présents en nombre et la police tessinoise a même reçu des renforts venus d'autres cantons.

Cette manifestation fait suite aux événements qui se sont déroulés la semaine dernière à Lugano. En une nuit, des bulldozers ont détruit ce lieu autogéré, en place depuis une vingtaine d'années à la place d'anciens abattoirs. Auparavant, une centaine de manifestants qui étaient entrés dans le bâtiment en avait été évacués par la police.

Une action qui a choqué

Si cet endroit et ses occupants n'étaient pas forcément soutenus par tous à Lugano, la manière de procéder a vraiment dérangé et a été vécue par beaucoup comme un acte de violence symbolique.

L'ancien procureur tessinois Paolo Bernasconi a ainsi déclaré, choqué: "Nous sommes un État de droit et non de pelleteuses." De leur côté, les autorités se sont défendues en affirmant que la police avait pris cette décision pour des raisons de sécurité, alors qu'une manifestation tournait mal.

Cette semaine, un climat hostile s'est installé à Lugano: le conseiller d'Etat de la Lega Norman Gobbi s'est vu menacer avec l'inscription "Gobbi morto" sur la place de la mairie et 300 manifestants se sont réunis devant la maison du syndic leghiste Marco Borradori.

source: https://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/12254471-colere-et-manifestation-a-lugano-apres-la-destruction-dun-centre-culturel.html

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Forum, 5.6.21 - résumé:

Esther Coquoz affirme d'emblée, avec sa voix agressive, que la destruction du squat a vivement choqué l’opinion.

C'est la conclusion en début d'interview que Coquoz fait parvenir aux auditeurs, en valorisant exclusivement l'opinion de la minorité bruyante pour laquelle roule la RTS.

Coquoz précise : En ce moment, 500 personnes manifestent pacifiquement, en famille, festivement, mais la manifestation risque de dégénérer à cause des Black Blocks et l’extrême droite.

-Le réflexe pavlovien des journalistes romands : le terme d’extrême gauche déclenche immédiatement l’association avec l’extrême droite, qui est en réalité inexistante.-

Interview de la journaliste Deborah Sohlbank sur le lieu de la manifestation:
                        «  C’est un acte symbolique!»

Deborah S. rapporte les mots d’un ancien procureur tessinois :

            « Nous sommes un État de droit, non de pelleteuses ».


Nos deux journalistes vont encore un peu appuyer sur la pédale pour être certaines que nous avons bien compris où sont les gentils et où sont les méchants.

       « Les bulldozers ont détruit en une nuit un vieux bâtiment squatté depuis 20 ans.»

Deborah S. : Un climat hostile a été constaté à Lugano avec l’exemple du graffiti : « Gobbi morto » sur la place de la mairie.

Coquoz : C’est un véritable séisme politique ?

Deborah S. : Oui, les Verts ont déposé plainte auprès du parquet tessinois pour délit contre la protection de l’environnement. On ne détruit pas un vieux bâtiment comme ça, ça pourrait relâcher de l’amiante.

Les autorités ont répondu qu’il n’y avait pas d’amiante.

La Gauche a demandé un enquête parlementaire au Grand Conseil.

UNIA a une info brûlante qui contredit les informations rassurantes des autorités. 

Et pour conclure, Deborah S. annonce que des têtes pourraient tomber si la gauche emporte la mise.

Lien vers l'audio: La destruction d’un squat de Lugano enflamme le Tessin

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L'UDC condamne le vandalisme et dénonce la "collusion" de la gauche

"C'est avant tout le Parti socialiste qui est responsable", précise la formation dans un communiqué.

par Dario Ornaghi, 5-6.06.2021

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L'UDC condamne le vandalisme et dénonce la "collusion" de la gauche

Lausanne: L’auberge du lac de Sauvabelin, en attente de rénovation depuis six ans, est squattée par un « collectif d’espace socio-culturel alternatif autogéré »

Cenator : Nous aimerions savoir de quoi vivent les membres de ce squat et combien ils vont coûter à la collectivité durant leur temps d’occupation.
Nous parions qu'aucun d’eux ne se lève le matin pour trimer et payer ses impôts.
En général, ces « collectifs » sont constitués de petits gauchistes qui se prennent pour de grands révolutionnaires, qui ont le luxe de pouvoir imposer en toute quiétude leur loi au-dessus des lois, puisque la ville de Lausanne est dirigée par des gens qui partagent leur idéologie.
Lausanne est endettée par tête d’habitant au même niveau que la Grèce.
Les collectifs d’espaces alternatifs autogérés sont juste une population intouchable, faite de  communistes à l’ego surfait, vivant majoritairement de subventions, de fils à papa et d’autres illuminés de luxe qui font leur cinéma aux frais des contribuables, à l’instar des zadistes du Mormont.

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Lausanne: auberge de Sauvabelin occupée par un collectif

Vide depuis six ans en attendant sa rénovation prévue vers fin 2022, l'auberge de Sauvabelin est désormais occupée par un collectif portant le nom de Roseau. Il veut faire de ce lieu un espace socio-culturel alternatif autogéré.

Les occupants disent avoir contacté les autorités lausannoises pour «ouvrir le dialogue et trouver un terrain d’entente». Ils souhaitent la signature d'un contrat de prêt à usage jusqu’au début effectif des travaux de rénovation.

Pour l'instant, Lausanne n'a dit ni oui ni non. Les discussions auront lieu prochainement.

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Un collectif squatte l’Auberge de Sauvabelin

Mû «par des valeurs humanistes», le collectif Roseau a écrit à la Ville pour l’informer qu’il s’était installé dans la bâtisse vide depuis 2015, dans l’espoir d’en faire un espace autogéré.

Vincent Maendly -19.03.2021

Ayant pris acte que la rénovation de l’Auberge de Sauvabelin ne débuterait pas avant décembre 2022, au terme d’une «démarche participative», le «collectif Roseau» a décidé de s’y installer. Il en a informé mercredi la Ville de Lausanne, qui en est propriétaire. Dans un communiqué diffusé vendredi, les membres se disent «désireux de faire vivre l’endroit qui restera vide encore plusieurs années. Que des rires, des chants et des rêves résonnent entre ces murs, comme cela était le cas par le passé.»

«Notre collectif se compose d’individus venant d’horizons multiples, écrivent-ils: artistes, étudiants, travailleurs sociaux, artisans, horticulteurs, permaculteurs, […] tous unis autour d’un même projet, mû par des valeurs humanistes […] comme le partage, la solidarité, l’autogestion, la créativité ou encore l’horizontalité.» L’objectif est de créer «un lieu socio-culturel alternatif autogéré à visée écologique sortant des logiques destructrices du système capitaliste actuel». Le Collectif a rédigé un manifeste de 22 pages, dont trois de références bibliographiques.

[...] Depuis le temps, la Municipalité est rompue à ce genre d’événements et dispose d’un protocole en pareil cas: une première décision est prise par un trio: le syndic Grégoire Junod, le municipal de la police Pierre-Antoine Hildbrand et le municipal concerné, en l’occurrence Natacha Litzistorf, en charge du service logement et gérances. «Les occupants connaissent bien leurs droits, commente celle-ci. Comme ils sont installés depuis un moment, nous ne serions pas solides juridiquement à les faire expulser et dans l’immédiat, nous avons écarté cette issue.»

[...] Une visite technique est prévue lundi, avec des représentants de la police du feu, de la prévention des accidents, du service du logement notamment. [...]

L’Auberge de Sauvabelin est censée faire l’objet d’une démarche participative centrée sur sa rénovation. À terme, l’édifice doit retrouver sa vocation de café-restaurant.

article complet: https://www.24heures.ch/un-collectif-squatte-lauberge-de-sauvabelin-321239520453

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voir aussi:

https://lesobservateurs.ch/2018/09/27/lausanne-une-centaine-de-clandestins-africains-loges-dans-un-immeuble-de-3723m2/

https://lesobservateurs.ch/2017/06/12/lausanne-des-clandestins-squattent-un-terrain-dentrainement-de-la-police/

https://lesobservateurs.ch/2015/07/03/lausanne-multiculturelle-baston-entre-squatteurs-roms-sud-americains/

https://lesobservateurs.ch/2015/05/27/vaud-lorsquil-sagit-dun-habitat-requerants-letat-expulser-squatteurs/

https://lesobservateurs.ch/2015/05/23/vaud-gauche-veut-dialoguer-squatteurs/

https://lesobservateurs.ch/2015/05/24/letat-ne-peut-pas-durcir-le-ton-face-aux-squatters/

https://lesobservateurs.ch/2015/05/08/canton-de-vaud-napplique-plus-lexpulsion-immediate-squatteurs/

etc.

Gard : Une femme de 75 ans contrainte par la justice de vivre avec un squatteur dans sa maison

Y.C.

Suite à une décision de justice, une septuagénaire qui habite à Rochefort-du-Gard (Gard) est contrainte de vivre dans sa maison, avec un squatteur.

Voilà plus de 60 ans que la famille de Martine Garofalo vit à Rochefort-du-Gard. [...] Depuis des mois, la retraitée âgée de 75 ans vit un vrai cauchemar raconte Midi Libre. Une décision de justice l’oblige en effet à vivre avec un squatteur, qui est installé au rez-de-chaussée.

[...] « J’avais loué les deux parties de ma maison à deux locataires différents » [...]

Celui qui vivait au premier étage ne lui a pas versé de loyer durant un an. Le second a bloqué l’accès au jardin en mettant une voiture devant le portail, « cela a été constaté par un huissier », affirme Martine. Le premier a soudainement disparu mais a finalement été retrouvé puis condamné par la justice. Quant au second, il est resté dans la maison et s’est installé à l’étage.

« On ne peut pas faire expulser la personne. Je devrais donc cohabiter avec lui ! »

L’habitante est parvenue à accéder à sa maison. « Tout est cassé et dans une grande saleté, la piscine est dans un état lamentable », déplore-t-elle. Depuis son retour en métropole, Martine a été contrainte de dormir à l’hôtel. Elle a ensuite été relogée dans un appartement prêté par la mairie. « C’est passé en justice. Je peux réintégrer l’appartement du haut mais avec la trêve hivernale, on ne peut pas faire expulser la personne. Je devrais donc cohabiter avec lui ! », souffle la retraitée, qui refuse d’habiter chez elle avec son squatteur. Cette dernière a écrit au préfet, au ministre de la Justice et même à Emmanuel Macron.

[...]

Une intervention avec un conciliateur de justice a été planifiée afin que Martine Garofalo puisse retrouver sa maison [...]

article complet: https://actu17.fr/gard-une-femme-de-75-ans-contrainte-par-la-justice-de-vivre-avec-un-squatteur-dans-sa-maison/

Théoule-sur-Mer : le propriétaire de la maison squattée a pu reprendre possession des lieux – les sqatteurs voudraient…y retourner !

Henry Kaloustian, propriétaire d’une maison secondaire squattée à Théoule-sur-Mer, entrevoit le bout du tunnel. Les squatteurs ont été expulsés par les forces de l’ordre pour une affaire de violences conjugales. Malheureusement, le propriétaire et son épouse vont devoir patienter encore un peu avant de pouvoir réinvestir les lieux, qui doivent être nettoyés et remis en état au préalable.

Nous vous proposons de découvrir le témoignage lunaire de la mère de famille squatteuse, qui affirme « vouloir retourner dans la maison jusqu’au jugement ».

 

Et celle de son avocate, toute aussi lunaire, qui explique que la squatteuse est enceinte de 2 mois tout en ayant un nourrisson de 7 mois et un enfant d’un an et demi…cherchez l’erreur.

https://www.youtube.com/watch?v=jdRiIsjGyAA&feature=emb_logo

[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

source: https://www.breizh-info.com/2020/09/09/150176/theoule-sur-mer-le-proprietaire-de-la-maison-squattee-a-pu-reprendre-possession-des-lieux-les-sqatteurs-voudraient-y-retourner/

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voir aussi: Théoule-sur-Mer (06) : des squatteurs empêchent un couple de retraités de se rendre dans sa résidence “J’ai dormi dans ma voiture, en les regardant dîner sur la terrasse”

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M. Darmanin, libérez la maison squattée d’Henri Kaloustian à Théoule-sur-Mer avant que le peuple ne s’en charge ! – MAJ la maison libérée [L’Agora]

MAJ 8 septembre par la rédaction de Breizh-info.com : La famille qui squattait une maison de Théoule-sur-Mer dans les Alpes-Maritimes depuis plusieurs semaines a finalement quitté le domicile. L’homme, soupçonné de violences conjugales, a été placé en garde à vue tandis que la femme et les enfants ont été relogés, a appris franceinfo de source proche du dossier.

Commentaire d’un internaute : « Tu squattes une maison, les propriétaires l’ont dans le c…et la gendarmerie fait le pied de grue devant pour te protéger. En revanche, si jamais tu t’embrouilles avec ta femme, tu es interpellé dans l’heure. Nous vivons dans un mauvais film dramaticomique »

Re zo re. Trop c’est trop. On n’en peut plus de ces squatteurs qui sévissent dans les métropoles comme dans les stations balnéaires, et qui s’approprient par la force et la ruse des biens qui ne leur appartiennent ni d’Eve, ni d’Adam. Des squatteurs qui, entre trêves hivernales et indulgence des magistrats, des autorités, et complicités des associations, pratiquent le terrorisme immobilier (comment appeler autrement le fait de s’introduire illégalement chez quelqu’un, de changer les serrures, et de souvent dégrader la propriété squattée ?).

L’affaire Henri Kaloustian, à Théoule-sur-Mer, après l’affaire Marvyonne Thamin, il y a quelques années à Rennes, en passant par ces squats qui prolifèrent, de Brest à Nantes jusqu’à Paris et le Sud de la France, pourrait être la goutte d’eau qui fera déborder le vase. Il y a quelques jours, ce retraité s’est rendu dans ce qui devient sa résidence principale à Théoule-sur-Mer (Alpes-Maritimes) en compagnie de son épouse, en rentrant de vacances. Seulement, à leur arrivée, les Kaloustian découvrent que leur maison est squattée par un couple et leurs deux enfants, qui les empêchent de rentrer chez eux. Second problème : impossible de les déloger sans décision de justice.

La mairie a dépêché gendarmes et policiers pour empêcher…le couple de reprendre possession de sa maison, sous prétexte d’une loi qui protège les squatteurs. C’est insupportable. Cela suffit. Dans certains états des USA, pays dans lequel le domicile est sacralisé, l’histoire aurait été réglée en quelques minutes, à coup de revolver, et en toute légalité.

Monsieur Darmanin, ministre de l’Intérieur, ou bien aujourd’hui, vous écoutez la colère qui gronde, vous modifiez la loi en urgence (vous savez, les ordonnances que vous prenez ici ou là quand ça vous arrange) et vous redonnez à Monsieur et Madame Kaloustian les clés de leur maison, celle pour laquelle ils se sont saignés toute une vie durant. Ou bien vous incitez par votre inaction les citoyens à aller rendre la Justice eux mêmes, et à reprendre au nom du peuple possession de la maison de M. Kaloustian afin de lui redonner.

Nous ne voulons plus de vos magistrats qui poursuivent des citoyens parce que vos gendarmes se montrent incapables d’arrêter des égorgeurs de chevaux.

Nous ne voulons plus de votre code pénal qui permette à des squatteurs de déposséder des citoyens de leurs biens immobiliers.

On en a marre de vos flics et de vos gendarmes qui nous arrêtent et nous malmènent pour un masque mal porté, quand dans le même temps ils ne font rien pour nos gamins qui crèvent dans les rues parce que vous refusez de voir la réalité, la sauvagerie, en face.

Agissez, ici, maintenant. Sinon, les habitants de ce pays vont finir par prendre les choses en main, sans vous. « On ne fait pas Justice soi même » nous direz vous. Mais que faire quand la Justice, ciment du Contrat social qui lie les citoyens entre eux, n’existe plus ?

Croyez-vous sincèrement que les habitants de ce pays en auront quelque chose à faire des menaces de répression et de prison que vous leur promettez si ils agissent par eux mêmes alors que vous permettez par votre inaction quotidienne qu’on squatte leur maison, qu’on viole leur femme, qu’on tabasse leur fils ?

M. Darmanin, agissez, maintenant. Ou assumez alors de n’être qu’un semeur de guerre et de haine, que vous et vos collègues (et personne d’autre) laissez s’installer, chaque jour un peu plus, dans le pays, à cause de vos bons sentiments qui ne parlent pas aux parasites qui pourrissent la vie des citoyens de ce pays au quotidien, eux qui ne comprendront que la force et la détermination. Assez de blabla. Des actes.

Justice pour la famille Kaloustian !

Julien Dir.

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine 

source: https://www.breizh-info.com/2020/09/08/150080/m-darmanin-liberez-la-maison-squattee-dhenri-kaloustian-a-theoule-sur-mer-avant-que-le-peuple-sen-charge-lagora/

 

 

Vaud: Lorsqu’il s’agit d’un habitat pour requérants, l’Etat peut expulser les squatteurs

ND. Ch. H. A comparer avec cet article où la gauche préconise le "dialogue" et sort sa fameuse rhétorique appelant à ne pas faire de "généralisation". Les autochtones qui travaillent et paient les impôts sont moins respectés que des migrants à la charge des contribuables. La hiérarchie est désormais clairement établie, la loi à géométrie variable révélatrice.

Un collectif s'est installé dans une maison vouée à l'accueil de migrants. La Ville pourrait lancer une procédure d'expulsion.

Avant que l’EVAM puisse emménager, le collectif Maison pour tous s’y est installé sans autorisation. Le Tribunal a donné les moyens juridiques à la Ville d’entreprendre une procédure d’expulsion.

Source

 

Vaud: La gauche veut “dialoguer” avec les squatteurs

L’Etat ne peut pas durcir le ton face aux squatters

Les intentions affichées en octobre 2013 ne se concrétiseront pas. Il faudrait changer le droit fédéral.

Pour Nicolas Rochat Fernandez, président du groupe socialiste "la justice doit faire son travail et nous avons une marge de manœuvre au moyen des contrats de confiance, de la médiation et du dialogue. Il ne faut pas faire de généralités à partir de cas particuliers", ajoute-t-il.

Source

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