Berlin. Logements : Les politiciens rouges et verts priorisent les demandeurs d’asile au détriment des Allemands

Le Sénat est en train de construire 53 bâtiments préfabriqués pour demandeurs d'asile, répartis dans toute la ville. Partout, les citoyens se battent contre cela, avec des arguments valables. Mais ils ne sont pas du tout entendus, critique Gunnar Schupelius.

Le logement modulaire pour les réfugiés (MUF) se développe partout. Et partout, il y a des problèmes avec les habitants. Pour trois raisons :

► Tout d'abord, l'avis des habitants n'est pas pris en considération, alors que le SPD, les Verts et la Gauche avaient promis la meilleure participation citoyenne qui soit.

► Deuxièmement, les MUF sont construits selon une loi spéciale sur la construction qui prévaut sur la plupart des règles applicables et même sur la protection des monuments historiques.

► Et troisièmement, les bâtiments sont très chers. Les coûts s'élèvent à 4500 euros par mètre carré. Dans le même temps, les MUF sont de simples bâtiments préfabriqués qui ne coûteraient que la moitié de ce qu'ils coûteraient s'ils appartenaient à des particuliers.

Mais ce n'est pas comme cela que ça se passe. Le MUF sera construit par des associations de logement appartenant au sénat. Par la suite, il sera loué au sénat pour 13,50 euros le mètre carré.

Un total de 53 MUF doivent être construits. Le Sénat investit près d'un milliard d'euros dans ce projet gigantesque, alors que la construction de logements normaux stagne. C'est une source d'indignation.

Un lecteur nous écrit : "Ici, dans le Weißensee, dans la Falkenberger Straße, malgré les litiges en cours, des MUF à plusieurs étages pour 300 réfugiés ont été construits à une distance de seulement 18 mètres des maisons individuelles construites il y a seulement douze ans. A l'époque, ce projet de construction, contrairement à d'autres, n'avait été annoncé nulle part."

La situation est assez similaire sur la Heidelberger Platz à Wilmersdorf. Ici, un bâtiment MUF en dalle pour 200 demandeurs d'asile se trouve juste à côté de la célèbre piscine intérieure et la surplombe. L'ensemble est protégé en tant que monument historique, et le développement résidentiel n'a pas été autorisé ici.

"Les habitants n'ont pas été informés à l'avance de ce projet de manière officielle", écrit l'initiative citoyenne locale dans une pétition adressée à la Chambre des représentants. "Sans clarification préalable, tous les vieux arbres ont été impitoyablement détruits." [NDLR : C'est cette fameuse gauche qui taxe et culpabilise les Occidentaux au sujet de l'environnement mais qui s'assoit sur notre patrimoine naturel et bétonne lorsqu'il s'agit des migrants. L'hypocrisie habituelle.]

C'est également ce qui va se passer à Paracelsus-Bad à Reinickendorf. Ici, même le président SPD du district, Jörg Stroedter, se bat contre ce projet du MUF. "Les zones résidentielles à proximité ont déjà "une forte pression sociale", a-t-il déclaré.

Mais tous ces arguments n'ont aucune valeur. Les voisins de l'Osteweg à Lichterfelde en ont fait l'expérience. Ici, un MUF avec 46 appartements (logement de une à cinq pièces) a été construit sur le site d'une école. 3000 habitants s'y sont opposés durant deux ans et ils n'ont pas été entendus. La liste de ces histoires est longue, il n'y a pas assez de place ici pour toutes les raconter.

Les partis au pouvoir parlent beaucoup de l'intégration des migrants qui sont admis. Mais vous ne pouvez intégrer ces immigrants que si la population autochtone est impliquée. Les Verts, la gauche et le SPD ne sont évidemment pas du tout intéressés par cela.

(Traduction libre Schwarze Rose pour les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de


Note : des Think-tank socialistes comme Terra Nova ont particulièrement incité les partis à se baser sur les migrants plutôt que sur les autochtones, déplaçant ainsi le curseur des priorités sur l'immigration plutôt que sur le bien-être de nos propres populations.

Rappels :

Allemagne : Munich sponsorise officiellement le navire pour migrants Ocean Viking. Sa population offre 134’992 euros de dons, la ville ajoute encore 100’000 euros.

Berlin : Des milliers de personnes manifestent pour l'accueil des réfugiés "Nous avons de la place!"

Allemagne : Un réfugié syrien brigue un poste au Bundestag. Il veut modifier l’inscription « Le peuple allemand »

Allemagne : Les clans turcs pillent les retraités allemands : « Je gagne 250 000 euros par mois, je baise l’état allemand chaque jour » clame un escroc turc.

Allemagne : Elle déménage pour échapper à des migrants intolérants et aux violences répétées

Allemagne : Après avoir imposé une immigration de masse, Merkel injecte plus d’un milliard contre « le racisme et l’extrême droite »

Allemagne : « À Berlin, l’allemand n’est pas la langue d’origine pour 45% des écoliers du primaire »

La Ville de Berlin va introduire un quota de personnes d’origine étrangère dans le recrutement des fonctionnaires. Il est fixé à 35%, soit la proportion de ce groupe dans la population

L’AfD, 2e force politique d’Allemagne

AfD rally in Berlin

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Alternative für Deutschland (AfD), la formation libérale patriotique allemande qui a fait son entrée au Bundestag lors des législatives de septembre 2017, devance pour la première fois les sociaux-démocrates du SPD dans un sondage Insa publié le lundi 19 février 2018 par le quotidien Bild. La CDU est créditée de 32% d'intentions de vote, tandis que l'AfD progresse à 16%. Le SPD recule quant à lui, pour tomber à 15,5% d'intentions de vote.
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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Allemagne: une voiture fonce contre le siège central du SPD. Des bidons de carburant ont été récupérés sur les lieux de l’accident.

Une voiture a foncé dimanche soir dans le bâtiment qui sert de siège central au parti allemand SPD (social-démocrate), à Berlin, rapporte la police. 

Selon des photos qui circulent lundi matin dans les médias locaux, des bidons de carburant et des bouteilles de liquide arborant un logo caractérisant des produits toxiques ont été récupérées sur les lieux de l'accident.

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La voiture bleue, capot avant défoncé, laisse voir à l'intérieur de l'habitacle des sièges et un tableau de bord partiellement fondus, ou endommagés par les flammes, au milieu de débris de verres, dans ce qui semble être un hall intérieur. Selon la police, qui n'a révélé que très peu d'informations sur le déroulement précis des faits, le conducteur de la voiture a affirmé vouloir mettre fin à ses jours.

Il a été emmené à l'hôpital, souffrant de blessures légères. L'homme est âgé de 58 ans.

La police enquête. Elle n'a pas précisé si un évènement avait lieu dans le bâtiment au moment de l'irruption du véhicule.

Source

Tsunami allemand – Papa Schulz tiendrait-il la main aux ultra-gauchistes ?

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Michel Garroté - Le parti allemand ultra-gauchiste et radical Die Linke est l'héritier du SED, l'ancien parti communiste de la RDA (la DDR, Allemagne de l'Est). Die Linke est aussi un "refuge politique" pour les anciens agents de la Stasi, police politique de sinistre mémoire, équivalent est-allemand du KGB. Bref, Die Linke, c'est l'addition des islamo-gauchiste, du SED et de la Stasi, un cocktail explosif dont les Allemands n'ont vraiment pas besoin, et, l'on peut espérer, qu'il ne se tourneront jamais -- en grand nombre -- vers cette "ultra-linke Linke" (ultra-gauche La Gauche) ou vers une alliance Martin Schulz - Die Linke.
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Or, il semblerait (allez savoir...) que Martin Schulz (Papa Schulz pour les Kameraden), du parti social-démocrate SPD, tend la main à ces gauchistes radicaux, en vue des élections législatives du 24 septembre prochain, d'où sortira le nouveau Chancelier allemand et son gouvernement (ou la Chancelière allemande Angela Merkel - Mutti Merkel - et son gouvernement démocrate-chrétien CDU-CSU).
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Martin Schulz est le candidat du parti social-démocrate SPD, mais lui même n'est pas social-démocrate. Martin Schulz est socialiste, ou, si l'on préfère, il est membre de l'aile gauche du SPD. Plus précisément, Martin Schulz est très à gauche. On peut le comparer à Benoît Hamon, ou tout au moins, moi je le compare à Benoît Hamon, n'en déplaise à certains.
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Un gouvernement Papa Schulz - Die Linke serait un désastre en matière économique avec du socialo-communisme à cent pour cent et en matière de politique étrangère, qui deviendrait islamo-gauchiste, islamophile à cent pour cent (donc encore plus islamophile que Mutti Merkel), palestinophile à cent pour cent, américanophobe à cent pour cent et israélophobe (pour ne pas dire judéophobe) à cent pour cent, bref, un désastre pour la politique allemande au Proche et au Moyen Orient, et, un désastre pour la politique allemande vis à vis de Donald Trump et donc vis à vis des USA.
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Pascale Hugues, correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point' raconte (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Sarah Wagenknecht, la tête de file de Die Linke, le parti à la gauche de la gauche allemande, promet de ne pas mettre de bâtons dans les roues du candidat social-démocrate Martin Schulz, à condition que celui-ci s'engage à donner un grand coup de volant à gauche. Die Linke abat ses cartes : « Si le SPD s'engage sérieusement à mener une politique plus sociale, ce n'est pas à cause de nous que ce projet échouera ». C'est ce qu'a fait savoir Sarah Wagenknecht, ouvrant ainsi la voie à une éventuelle coalition SPD-Die Linke-Verts au pouvoir à Berlin à l'issue des élections du 24 septembre prochain.
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L'annonce du candidat social-démocrate de corriger l'Agenda 2010, les vastes réformes de l'État-providence mises en place par l'ancien chancelier SPD Gerhard Schröder, est interprétée par Sarah Wagenknecht comme une main tendue. En effet, Die Linke n'a eu de cesse au cours des dernières années de dénoncer les réformes Schröder qui, selon le parti, creusent les inégalités entre riches et pauvres et accroît la précarité en Allemagne. Soucieux de rallier l'aile gauche du SPD qui avait massivement quitté le navire à cause de l'Agenda 2010, Martin Schulz vient d'annoncer qu'il souhaitait en particulier revenir sur la fameuse disposition Hartz IV, qui limite drastiquement l'allocation des chômeurs en fin de droits [ndmg - Pascale Hugues, correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point', serait-elle une "fan" de Die Linke ?].
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« Si nous étions en mesure de réinstaurer l'État social et de mener une politique étrangère pacifiste, nous ferions volontiers partie du prochain gouvernement. Dans ces conditions, une coalition de centre gauche est possible », affirme Sarah Wagenknecht. Pour celle qui a longtemps appartenu à l'aile radicale de Die Linke opposée à tout compromis, cette prise de position équivaut à une profession de foi de réalisme [ndmg - aile radicale de Die Linke qui elle-même est ultra-radicale, je crois que Pascale Hugues rêve les yeux ouverts]. « On peut faire bouger les choses quand on est dans l'opposition », dit-elle, tout en reconnaissant : « Bien sûr, on a les coudées plus franches pour agir quand on est au gouvernement ». Pour cela, Sarah Wagenknecht demande à Martin Schulz des preuves de son engagement : il doit concrétiser son projet encore trop vague sur de nombreux points et surtout annoncer la couleur : est-il prêt, lui aussi, à envisager une coalition avec Die Linke ?
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Avant l'arrivée providentielle [ndmg - Providentielle ? C'est un Messie temporel, Papa Schulz ?] de Martin Schulz sur la scène politique allemande, le SPD plafonnait autour de 20% des suffrages aux élections et était peut-être en passe de devenir la troisième force politique du pays après la CDU et l'AfD, le nouveau parti populiste. Si des alliances et des coalitions SPD-Die Linke fonctionnent déjà au niveau municipal et régional, jamais Die Linke n'a fait l'appoint des voix pour former une coalition au gouvernement fédéral à Berlin. La palette de couleur rouge-rouge-vert serait une expérience nouvelle. Cependant, même si ces trois partis s'accordent à unir leurs forces, il n'est pas sûr qu'ils parviennent à réunir suffisamment de voix pour décrocher une majorité. À sept mois des élections, les sondages divergent sur ce point.
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Martin Schulz, en revanche, poursuit sa montée en flèche. Pour la première fois depuis plus de dix ans, le SPD double la CDU d'Angela Merkel au 'Deutschland Trend', le baromètre de la première chaîne de télévision AFD jugé particulièrement fiable [ndmg - Pas AFD, mais ARD, chère Pascale Hugues ; première chaîne de télévision ARD qui est tellement à gauche que son 'Deutschland Trend' n'est vraiment pas crédible]. Le SPD gagne 4 points et arrive à 32 % des intentions de vote. La CDU, par contre, perd 3 point et passe à 31%. Les saillies de Martin Schulz contre l'Agenda 2010 semblent avoir joué à son avantage. 65% des personnes interrogées souhaitent, comme le promet Schulz, que la durée de l'allocation chômage soit allongée [ndmg - 65% selon la chaîne de télévision gauchisante ARD et son 'Deutschland Trend' bidon]. Seulement 29% ne sont pas d'accord, ajoute la brave Pascale (Hugues), correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point' qui avec cet article pascalinien vire à gauche, très à gauche (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.lepoint.fr/europe/allemagne-la-main-tendue-de-martin-schulz-a-die-linke-25-02-2017-2107527_2626.php
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Nous sommes tous des Juifs Allemands



Les Juifs Allemands se réveillent-ils ? Après avoir, dans un premier temps, soutenu l’accueil de tous les « migrants » convergeant vers l’Allemagne, les Juifs Allemands semblent avoir compris qu’il y a parmi ces « migrants » des éléments fanatiquement antisémites et judéophobes.

Ainsi, le président du Conseil central des juifs d'Allemagne, Josef Schuster, s'est prononcé, lundi 23 novembre 2015, en faveur d'une limitation de l'afflux de réfugiés dans le pays, arguant, à juste titre, que beaucoup d'entre eux viennent de pays où la haine des Juifs est largement répandue.

« Je crois qu'il faudrait que l'accès à l'Allemagne soit contrôlé. Tôt ou tard, on ne pourra pas éviter des plafonds » pour contrôler et filtrer le nombre de réfugiés, a-t-il confié au quotidien allemand Die Welt. L'Allemagne, qui s'attend à accueillir un million de migrants en 2015, débat actuellement de la nécessité de fixer ou non des plafonds pour l’accueil de demandeurs d'asile.

Angela Merkel est opposée à cette hypothèse, prônant à la place des quotas européens annuels négociés avec la Turquie, à charge ensuite pour les pays de l'UE de se les répartir. Angela Merkel semble avoir perdu la tête. Le régime islamiste turc soutient l’Etat islamique. Il n’est donc plus notre partenaire. Et encore moins un interlocuteur valable pour négocier sur la question des « migrants ».

« Le flux de réfugiés a deux facettes. Il faut considérer les deux », a précisé Josef Schuster. « Beaucoup de réfugiés fuient la terreur de l’Etat islamique et veulent vivre en paix, librement », a-t-il ajouté. Mais « en même temps, ils viennent de cultures où la haine des Juifs et l'intolérance sont solidement installées », a-t-il mis en garde.

Michel Garroté, 23 novembre 2015