Immigration : le Royaume Uni enferme, l’Allemagne tâtonne

Pris de court par des révoltes populaires suite au meurtre de trois fillettes, le Premier ministre ouvre ses prisons pour y enfermer des «émeutiers». L’Allemagne, confrontée au même guêpier, cherche des remèdes.

La fable des bons étrangers persécutés par des autochtones empreints de «racisme systémique » fait long feu. Et une seule religion parmi quelque 130 présentes dans nos sociétés cause des crimes et des conflits incessants, l’islam. Pas de «cordon sanitaire» pour lui et partout la même tolérance des juges. Les ONG sont souvent de la partie telle Amnesty International qui milite pour l’acceptation des mœurs obscurantistes et a encore réclamé récemment le droit des sportives de porter le foulard.

De nombreux pays victimes de cette complaisance et de l’islamisation tentent pourtant de limiter l’immigration. Mais pas le Royaume-Uni.

Le pouvoir veut ignorer les raisons des émeutes

On surnommait déjà la capitale le Londonistan à la fin des années 1990, la ville accueillant gracieusement de nombreux prêcheurs de haine. Dès la fin de la décennie, durant des années, les autorités ont épargné des gangs de violeurs musulmans pakistanais qui ont prostitué des milliers de filles non musulmanes. La BBC a rapporté en 2014 qu’«au moins 1400 enfants ont été victimes d’une exploitation sexuelle effroyable à Rotherham entre 1997 et 2013», et que les fonctionnaires britanniques n’ont rien fait. Pourquoi? Les policiers comme les services sociaux craignaient d’être taxés de racistes s’ils indiquaient l’origine ethnique des violeurs.

La Grande-Bretagne a poursuivi une politique communautariste, citée en modèle. Et louer la diversité est une obsession au Royaume-Uni. Elle attire nombre de réfugiés. En 2022, le pays a enregistré une immigration nette record. Selon les chiffres de l’Office national des statistiques britannique, le solde migratoire cette année-là se monte à 606’000 personnes. Près d’un million sont arrivées de pays hors Union européenne.

Le 29 juillet un massacre au couteau à Southport commis par un jeune Rwandais (pris, au début, pour un musulman) a causé la mort de trois fillettes et fait dix blessés, dont huit enfants.

Après ce drame, des manifestations violentes contre l’immigration ont explosé. L’explication de «l’élite» à ce déchainement? Habituelle: «extrême droite, racistes, fascistes». Les remèdes exclusifs de Keir Starmer? Répression et condamnations féroces. Mais surtout pas la moindre tentative d’explication de l’origine des émeutes.

Les manifestants habitent des quartiers populaires pauvres, abandonnés par les pouvoirs. Ils ne sont pas politisés, pas représentés par un quelconque parti. C’était une réaction spontanée de «petits blancs», dont l’ultra droite a profité.

La submersion démographique, le coût, les incessantes revendications, les accusations entêtantes de discrimination et d’islamophobie lassent les populations victimes par ailleurs de faits divers violents. Le lien entre immigration et délinquance n’est plus que mollement contesté. Mais désormais au Royaume Uni, c’est la prison qui menace les expressions de lucidité. Des prisons dont on vide des criminels pour enfermer les «semeurs de haine».

Des manifestations «antiracistes» ont répondu à cette explosion de violence. Là comme ailleurs, les activistes «de souche» ont communié avec les musulmans sous les applaudissements de la police (bénéficiaire d’engagements favorisant la diversité), des médias et du gouvernement anglais.

Ces musulmans, «modérés» ou non, ne manifestent jamais contre les attentats islamiques, le sort des Iraniens et Iraniennes pendus, les victimes des talibans et plus généralement des chrétiens pourchassés et assassinés dans le monde par leurs coreligionnaires.

En politique, l’appel irrésistible de l’islam

Dans la plupart des pays européens, les politiciens en mal d’élection font des promesses aux musulmans et de plus en plus, des partis religieux se créent. Et comme être musulman c’est être quasi envoûté, le succès est au rendez-vous. Les maires de Londres, Birmingham, Blackburn, Oxford, Oldham, Luton par exemple, sont des adeptes du Prophète.

Pourtant, deux tiers des Britanniques (67%) considèrent que la politique d’immigration menée ces dernières années a contribué à la violence et 55% d’entre eux en disent autant de celle des récents gouvernements.

Côté islam, un sondage publié en avril par le think tank britannique Henry Jackson Society révèle que 32% des musulmans britanniques considèrent comme souhaitable l’instauration de la charia au Royaume Uni; seul un musulman sur quatre pense qu’«Israël a le droit d’exister» et plus de la moitié «confesse avoir de l’admiration pour le Hamas».

Selon Boualem Sansal: «Les islamistes savent que le Royaume-Uni tombera comme un fruit mûr… et que l’Europe suivra (…) Comme dans le jeu de quilles, la défaite du Royaume-Uni entraînera celle de nombreux pays européens. On verra là que l’Union européenne était conçue pour affaiblir les États pour les fondre dans un ensemble sans défense.»

L’Allemagne cherche la panacée

Parmi les pays qui oscillent dangereusement entre davantage de fermeté et plus de complaisance, j’appelle… l’Allemagne, 84 millions d’habitants.

Dernière tragédie en date, le 23 août. Un requérant d’asile syrien égorge trois Allemands venus assister aux 650 ans de la commune de Solingen et en blesse huit autres. Convaincus qu’il faut faire entrer dans les têtes que nous vivons une heureuse ère de mélange des populations, les gentils organisateurs avaient joint à cet anniversaire un Festival de la diversité.

Le 31 mai à Mannheim, l’attaque au couteau d’un immigré afghan avait déjà tué un policier, blessé gravement l’activiste Michael Stürzenberger, et fait quatre autres blessés.

Le débat sur la politique migratoire et la lutte contre le terrorisme est reparti de plus belle dans les deux cas. Le chancelier Olaf Scholz s’était déjà prononcé pour le renvoi de criminels dans leur pays, notamment Afghans et Syriens, jusqu’ici épargnés. Le drame de Solingen était la goutte de trop: vendredi 27 août, un avion a reconduit 28 Afghans dans leur pays. Mais en France par exemple, renvoyer des Afghans chez eux est impensable. Ils causent pourtant de nombreux problèmes. Dernier en date: le 30 août où une violente rixe entre ressortissants, en pleine rue du 18e arrondissement de Paris, a fait quatre blessés. Deux personnes armées de couteau ont été interpellées.

Du Londonistan à l’islamisation

En Allemagne, le ciel s’est couvert depuis 2015 où un million de réfugiés avaient été fêtés, suivis logiquement par de nombreux autres. Le pays reste une des deux destinations privilégiées des «migrants» avec la France.

Le 11 mai 2024 à Hambourg, plus de mille manifestants réclament un califat dirigé par la charia en Allemagne. Derrière cette mobilisation de Muslim Interaktiv, se cacherait le groupe islamiste Hizb ut-Tahrir interdit en Allemagne en 2003. Depuis son apparition en 2020, Muslim Interaktiv a repris ses revendications dénonçant par exemple «l’assimilation forcée», la «diffamation de l’islam», la «diabolisation des musulmans» ou encore la «dictature des valeurs».

Dans les milieux politiques, la manif fait scandale. Le responsable de la police de Hambourg annonce une enquête destinée à vérifier la conformité des affiches et slogans de la manifestation avec la loi.

Et les compromissions avec l’islam se poursuivent. Le 18 juin, le chef de la protection de la Constitution Thomas Haldenwang affirme que le califat est «une forme d’État envisageable». Pour le chef du service de renseignement intérieur aussi, la revendication d’un État islamique relève de la liberté d’expression et ne constitue pas un motif d’interdiction. Le chef de la police de Hambourg était au diapason: «Notre droit de réunion n’est pas seulement un bien précieux, mais il a aussi des limites très larges, et tous les juristes étaient d’accord pour dire qu’une interdiction n’était pas justifiée.»

Scandale, puis rétropédalage. Le pays révise son cadre juridique sur le «droit d’expulser» certains criminels.

Comment gérer et limiter les réfugiés ?

L’Allemagne est confronté aux mêmes écueils que l’ensemble des pays développés et tente de mettre en œuvre des mesures similaires: réduction des aides, durcissement des contrôles aux frontières, accélération du processus de demande d’asile, élargissement des droits de la police lors des reconduites, tentatives de convaincre les pays de départ de reprendre leurs citoyens, examen d’une possible sous-traitance des demandes d’asile en dehors du pays.

Une partie des conditions nécessaires à l’accession à la citoyenneté ont été modifiées. Les candidats sont désormais confrontés lors de leur examen à des questions intégrant «les thèmes de l’antisémitisme, du droit de l’État d’Israël à exister et de la vie juive en Allemagne», explique un texte du ministère de l’Intérieur. L’approbation ou la promotion d’un seul acte terroriste suffira à l’avenir pour remplir les conditions d’une expulsion… Combien en fallait-il auparavant?

Le coût de l’aide sociale explose.

Le 6 août, le président fédéral allemand du syndicat de police Jochen Kopelke s’est prononcé en faveur d’une «amnistie des couteaux» avec récompense à ceux qui les abandonnent. Pour la remise d’un couteau papillon interdit, il imagine offrir un an d’abonnement à Netflix.

Le 19 août, le chef de la police fédérale, Dieter Romann, a déclaré  que « par rapport à la population totale, les non-allemands sont statistiquement six fois plus susceptibles d’utiliser des couteaux lors d’une attaque que les citoyens allemands. Et pour les crimes sexuels, le risque est sept fois plus élevé »L’an dernier, le 4 février, environ 3500 personnes ont participé à une manifestation organisée afin de dénoncer le geste de Rasmus Paludan, homme politique suédo-danois, qui avait brûlé un Coran à deux reprises le mois précédent. À l’origine de cet appel à manifester, figurait l’organisation Muslim Interaktiv.

Une tricherie a fait tiquer de nombreux Allemands: une enquête de RTL a révélé que des centaines d’Afghans vont passer des vacances dans leur pays d’origine grâce à diverses astuces administratives et l’aide des autorités iraniennes.

Des migrants afghans enregistrent des vidéos d’adolescentes en Allemagne et les partagent sur TikTok. Des centaines d’Afghans commentent avec des propos abjects.

En Occident, les autorités aiment croire que les réfugiés sont forcément des opposants à l’idéologie des talibans. Des dizaines de milliers de jeunes hommes (dont nombre de prétendus « mineurs » non accompagnés) reçoivent donc facilement le droit de s’installer en Europe. Mais là encore, les faits divers dus à ces nouveaux venus baignés dans l’une des pires versions de l’islam se multiplient.

Prochain article : «Immigration: les pays européens cherchent la pédale de frein»

Royaume-Uni: un enseignant suspendu pour avoir montré une caricature de Mahomet

Une école du nord de l'Angleterre s'est excusée jeudi et a suspendu un enseignant pour avoir montré en classe une caricature du prophète Mahomet, ce qui avait provoqué un mouvement de protestation.

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L'islam, dans son interprétation stricte, interdit toute représentation du prophète Mahomet. «L'école présente des excuses sans réserve pour l'utilisation d'une image totalement inappropriée dans un récent cours d'études religieuses. Elle n'aurait pas dû être utilisée», a déclaré le directeur, Gary Kibble. «Le membre du personnel a aussi adressé ses excuses les plus sincères», poursuit-il, soulignant qu'il avait été «suspendu» dans l'attente d'une enquête «indépendante». «Il est important pour nos enfants d'apprendre les fois et croyances, mais cela doit être fait d'une manière respectueuse et sensible», ajoute-t-il.

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Le Figaro


À LIRE AUSSI :Belgique : un enseignant suspendu pour avoir montré une caricature de Mahomet

Note : Le slogan "Je suis Charlie" crée en 2015 n'aura même pas tenu 6 ans. A cette vitesse, que restera-t-il de l'Europe et de nos libertés dans 50 ans avec l'islam?

On se souvient que les hypocrites de gauche, tels Sommaruga, Hollande ou encore Merkel défilaient en prétendant défendre nos "valeurs communes". Aujourd'hui, ces mêmes politiciens - qui militent pour le multiculturalisme détruisant justement nos valeurs - se font très discrets face à la censure des caricatures.

Harry et Meghan passent aux aveux : ils ont menti lors de leur interview avec Oprah Winfrey

Lors de l’interview, le duc et la duchesse de Sussex avaient dit s’être mariés dans le plus grand secret trois jours avant la cérémonie retransmise dans des millions de foyers de par le monde. (...)

Un certificat en guise de preuve

Les plus hautes autorités de l’Église anglicane s’en étaient d’ailleurs inquiétées affirmant qu’à leur connaissance, un double mariage n’était pas possible et n’avait jamais eu lieu. Elles avaient raison, il n’y a jamais eu de mariage secret avant la grande cérémonie publique. En atteste un document officiel, le certificat de mariage daté du 19 mai 2018.

Un porte-parole du couple a fini par reconnaître que les vœux échangés trois jours avant la cérémonie diffusée à la télévision n’étaient que personnels et n’avaient rien d’un mariage en bonne et due forme.

Lalibre.be


S'ils mentent sur un sujet aussi banal, pourquoi ne mentiraient-ils pas pour le reste?

On notera qu'ils n'ont avoué que lorsqu'ils ont été forcés de le faire. C'est-à-dire face aux déclarations de l'église et après les révélations du Sun.

Rappels :

Royaume-Uni : Le prince Harry et son épouse Meghan atteignent une impopularité record après leur interview

Meghan et Harry ont signé un accord à 112 millions de livres sterling pour faire filmer leur quotidien

Le Prince Harry dénonce un racisme structurel au Royaume-Uni

Harry et Meghan installés en Californie : Leur nouvelle maison a coûté plusieurs millions au prince Charles

Meghan et Harry donnent des leçons d’écologie mais font exactement le contraire

Le prince Harry a rendu hommage aux victimes de l’attentat en… partageant le repas du Ramadan avec des musulmans

Meghan Markle accusée de harcèlement par ses anciens employés

 

Royaume-Uni : Le prince Harry et son épouse Meghan atteignent une impopularité record après leur interview

Le prince Harry et son épouse Meghan Markle ont atteint des records d'impopularité au Royaume-Uni après leur interview à la télévision américaine, selon un sondage de l'institut YouGov sur 1 664 adultes (PDF, en anglais), publié vendredi 12 mars.

Pour la première fois, les sujets de Sa Majesté sont plus nombreux à avoir une opinion négative (48%) du prince Harry que positive (45%). Ils ne sont que 31% des sondés à avoir une opinion positive de Meghan Markle, tandis qu'une majorité (58%) la considère de manière négative.

(...)

FranceInfo

 

Royaume-Uni : “Le très honorable Lord Ahmed” jugé pour des agressions pédophiles, précédemment condamné pour avoir causé la mort d’un homme, il avait imputé à “un complot juif” sa précédente sentence

20 février 2020

Nazir Ahmed, ancien pair travailliste, a violé un garçon et tenté de violer une fille alors qu’elle était adolescente, selon le tribunal

[…]

L’homme de 63 ans est jugé à la Sheffield Crown Court où il nie deux chefs d’accusation de tentative de viol d’une fille de moins de 16 ans, d’attentat à la pudeur sur un garçon de moins de 14 ans et de viol sur un garçon de moins de 16 ans, tous auraient eu lieu au début des années 1970. . Ses frères Mohammed Farouq, 70 ans et Mohammed Tariq, 65 ans, également de Rotherham, sont accusés d’attentat à la pudeur sur un garçon de moins de 14 ans, mais ne sont pas aptes à plaider et à subir un procès des faits.

[…]

L’article dans son intégralité sur Express


22 avril 2019

Un membre de la Chambre des Lords sera jugé en décembre, il est inculpé d’infractions sexuelles contre des enfants.

Lord Ahmed of Rotherham a comparu devant un juge de la Cour suprême de Sheffield pour une brève audience.

Il est accusé d’agression sexuelle grave et d’attentat à la pudeur contre un garçon de moins de 11 ans.
L’ homme de 61 ans est également inculpé de tentative de viol d’une jeune fille de moins de 16 ans.
Les accusations portent sur des dates comprises entre 1971 et 1974.
Le pair, de East Bawtry Road, Rotherham, est apparu sous son nom, Nazir Ahmed, avec deux de ses frères.
Mohammed Farouq, 68 ans, de Worrygoose Lane, Rotherham, qui est inculpé de quatre chefs d’attentat à la pudeur sur un garçon.
L’un de ces chef d’accusation est lié au fait que le garçon avait moins de huit ans, à la fin des années 1960.
Mohammed Tariq, 63 ans, de Gerard Road, Rotherham, est inculpé pour deux chefs d’attentat à la pudeur contre un garçon de moins de 11 ans.
Le pair, qui a quitté le parti travailliste en 2013 [voir NDLR], n’a parlé lors de l’audience préliminaire que pour confirmer son nom, sa date de naissance et sa nationalité.
Lors d’une audience de 20 minutes, le juge Jeremy Richardson, a fixé la date du procès pour les trois hommes au 2 décembre.
Il a précisé qu’une nouvelle audience aurait lieu le 14 juin et que les trois personnes ont été libérées sous caution.

Traduction FDeSouche d’un article de la BBC


NDLR: En 2007, Lord Ahmed avait causé la mort d’un homme lors d’un accident de la route et avait été condamné à de la prison pour  sa “conduite dangereuse”. En 2013, il fut amené à quitter le parti travailliste après qu’il eut imputé à un “complot juif” sa condamnation antérieure. 

Plus tôt en 2019, “le très honorable Lord Ahmed” (son titre officiel) a été accusé d’avoir usé de son poste à la Chambre des Lords pour avoir des relations sexuelles avec des femmes vulnérables.

Via Fdesouche

 

Royaume-Uni : Une centaine de migrants incendient le bâtiment qui les abrite, après avoir menacé et séquestré le personnel

Royaume-Uni – le ministre de l’Intérieur a dénoncé ce soir le comportement des migrants accueillis dans une caserne transformé en foyer de demandeurs d’asile : une centaine de migrants ont déclenché une émeute, incendié des bâtiments et menacé le personnel.

Le ministre de l’Intérieur a fermement condamné les troubles à la caserne Napier de Folkestone, dans le Kent, qui auraient éclaté après que les migrants ont appris qu’ils ne seraient plus transférés dans des hôtels.

Le comportement des personnes impliquées est “profondément offensant pour les contribuables de ce pays”. C’est une “insulte” de suggérer que le site, qui abritait autrefois des soldats britanniques, n’est “pas assez bon” pour les demandeurs d’asile.

Des dizaines de pompiers sont actuellement sur les lieux car on peut voir d’énormes flammes engloutir au moins un des bâtiments.

 

 

(…)

On pense que l’incident a commencé dans la salle à manger de l’établissement, où les demandeurs d’asile ont commencé à retourner les tables

(…)

Selon certaines sources, le personnel a été barricadé dans une pièce, bien qu’ils aient réussi à se libérer, tandis que les fenêtres étaient brisées et qu’un bâtiment était incendié.

(…)

Daily Mail

Via Fdesouche

Traite humaine et gangs pédophiles au Royaume-Uni : libération de Ahdel Ali, meneur du gang dit “de Telford”, condamné à une peine de 26 ans de prison… en 2012

Libération du meneur du gang de Telford

Il était l’un des deux meneurs d’un “grooming gang” qui s’attaquait à des filles d’à peine 13 ans à Telford, son arrestation avait été permise par une investigation “l’opération Chalice” ainsi que par une enquête indépendante sur l’exploitation sexuelle d’enfants.

La députée Lucy Allan a confirmé qu’Ali, désormais âgé de 32 ans, avait été libéré ce mercredi.

Connu sous le nom d’Eddie, il avait été condamné à une peine prolongée de 26 ans de prison, 18 de détention avec une période supplémentaire de huit ans sous probation

Lucy Allan avait précédemment critiqué la décision de faire bénéficier au frère de Ahdel Ali : Mubarek Ali, d’une libération anticipée sans que les victimes et leurs familles soient consultées par le ministère de la Justice.

Mubarek Ali, connu sous le nom de Max, âgé de 36 ans, avait été condamné à 22 ans de prison, dont 14 ans de prison ferme et huit de probation, pour sept chefs d’accusation : dont 4 ans, qui portaient sur la prostitution infantile et sa facilitation…

[…]

L’article dans son intégralité sur Shropshirestar via Fdesouche

Royaume-Uni : elle pense monter dans un taxi, elle est séquestrée et violée par 3 individus

Trois hommes sont emprisonnés pour le viol “brutal” et la séquestration d’une femme à Redcar

[…]

Qader Ahmadi, 32 ans, Aram Khudur Hussain, 30 ans, et Darbaz Jalil Haje, 26 ans, ont conduit une femme dans une propriété de Redcar et l’ont violée à plusieurs reprises.

[…]

Ils ont tous plaidé non coupables

[…]

Nigel Soppitt, défendant Hussain, a déclaré que son client pourrait envisager de retourner au Moyen-Orient et a exhorté le juge à imposer la peine la plus courte possible compte tenu des circonstances.

[…]

L’article dans son intégralité sur Gazette Live via Fdesouche

Royaume-Uni : les supporters de Millwall huent leurs joueurs et ceux de l’équipe adverse pour s’être agenouillés en hommage à “Black Lives Matter”

CHAMPIONSHIP – Le retour du public dans les stades de football anglais a été entaché samedi par les huées de supporters de l’équipe de Millwall (D2) lorsque leurs joueurs et ceux de Derby ont mis genou à terre en hommage au mouvement antiraciste “Black Lives Matter”.

Les supporters de Millwall ont fait parler d’eux en ce samedi qui marquait le retour du public dans les stades pour les différents championnats anglais. Pas en bien. Une partie des fans des Lions a hué les joueurs quand ils ont mis genou à terre en hommage au mouvement antiraciste “Black Lives Matter”, samedi, lors de la rencontre face à Derby County au Den, dans le cadre du Championship (D2 anglaise).

 

Les chants des supporters se sont brusquement interrompus au coup de sifflet de l’arbitre marquant le début de l’hommage, juste avant le coup d’envoi du match comptant pour la 16e journée. Une partie du public a distinctement hué joueurs, staff, arbitre et officiels qui effectuaient dans leur quasi-totalité ce geste.

(…) Dans un tweet, la fédération anglaise de football (FA) a “fortement condamné l’attitude des spectateurs qui ont manifesté activement leur opposition” à ce geste de solidarité. Le football anglais avait décidé, depuis la reprise des compétition mi-juin dernier, de marquer son soutien à ce mouvement antiraciste avant chaque match, même si chaque joueur peut décider d’effectuer ou pas ce geste. (…)

Eurosport

Via Fdesouche

Le Prince Harry dénonce un racisme structurel au Royaume-Uni

Dans une interview au « Evening Standard », le petit-fils d'Elizabeth II dénonce un racisme structurel au Royaume-Uni et appelle à une prise de conscience.

"Vous savez, quand vous vous rendez dans un magasin avec votre enfant et que vous ne voyez que des poupées blanches, est-ce que vous vous demandez pourquoi il n'y a pas une seule poupée noire ? Et c'est juste un exemple de ce que nous, en tant que personnes blanches, ne pouvons pas percevoir, contrairement à une personne de couleur, de couleur noire. C'est une situation que nous ne pouvons pas comprendre, car le monde a été créé par des Blancs, pour des Blancs."

S'il ne souhaite pas désigner forcément des coupables, il estime que les mentalités doivent évoluer sur le sujet. « C'est une histoire d'apprentissage, juge Harry.

[...]

Lepoint.fr


Note : Sa famille est dépendante de l'argent que verse le contribuable britannique. Cet individu a bénéficié de tous les privilèges imaginables grâce à son titre de noblesse, c'est-à-dire un concept discriminatoire qui infériorise le simple citoyen.

Rappels :

Harry et Meghan installés en Californie : Leur nouvelle maison a coûté plusieurs millions au prince Charles

Meghan et Harry donnent des leçons d’écologie mais font exactement le contraire

Grande-Bretagne : Le prince Harry s’excuse pour le racisme institutionnel

Le prince Harry a rendu hommage aux victimes de l’attentat en… partageant le repas du Ramadan avec des musulmans

Royaume-Uni : désormais les enseignants mettront en garde leurs élèves contre l’intolérance de gauche et contre les associations LGBT poussant les enfants à changer de sexe

Les élèves apprendront que la “cancel culture” [=néo-maccarthysme] est une forme de harcèlement et qu’empêcher de s’exprimer [“No-platforming”] est une atteinte à nos libertés.

Dans le cadre des efforts du gouvernement pour protéger la liberté d’expression, les élèves du secondaire apprendront que les personnes ayant des opinions controversées doivent être respectées.

Dans les manuels du ministère de l’éducation, les enseignants ont pour instruction de dire aux élèves que la “cancel culture” qui s’est installée dans de nombreuses universités – où des individus appellent au boycott d’une personne ou d’une entreprise dont ils n’approuvent pas les opinions, dans l’espoir de perdre leur emploi ou leurs clients – n’est pas une composante d’une “société tolérante et libre”.

Cette initiative semble être une réponse directe aux incidents qui ont empêché des intervenants traditionnels, dont l’ancienne ministre de l’Intérieur Amber Rudd, de s’exprimer dans les universités, à cause d’opposants politiques.

Les commentaires font partie d’une présentation de diapositives dans un module sur les “relations respectueuses”, dans le cadre du nouveau programme scolaire sur les relations à autrui et l’éducation sexuelle qui débute cette année.

L’une des diapositives dit : “Réaffirmez le fait que chacun doit montrer le même respect aux autres, même s’ils sont différents. Expliquez le mal causé par la “cancel culture” et l’importance de la liberté d’expression et d’association pour une société tolérante et libre.”

“Enseignez que la censure et la privation de moyen de s’exprimer sont nuisibles et préjudiciables. Expliquez que le fait de chercher à faire “cancel” des personnes (par exemple en les faisant partir de leur poste d’autorité ou de leur emploi) simplement parce que vous n’êtes pas d’accord avec elles, constitue une forme d’intimidation et n’est pas acceptable”.

Le ministre de l’éducation, Gavin Williamson, a menacé à plusieurs reprises de légiférer si les universités ne faisaient pas plus pour protéger la liberté d’expression sur les campus.

 

Dans une autre section, le ministère déclare que les enseignants ne doivent pas suggérer que “les enfants pourraient être d’un sexe différent en fonction de leur personnalité et de leurs intérêts”.

Il avertit également les écoles de ne pas travailler avec des associations qui promeuvent l’idée que “la non-conformité aux stéréotypes de genre doit être considérée comme synonyme d’une identité de genre autre”.

Les règles semblent être une réponse aux critiques croissantes envers des groupes d’activistes considérés comme poussant les enfants et les jeunes à changer de sexe, de nombreux enfants disant plus tard regretter leur décision.

“Nous sommes conscients que les sujets impliquant le genre et le sexe biologique peuvent être complexes et sensibles”, indique le guide.

“Vous ne devez pas renforcer les stéréotypes nocifs, par exemple en suggérant que les enfants pourraient être d’un sexe différent à cause de leur personnalité et de leurs centres d’intérêt.”

“Les ressources utilisées dans l’enseignement sur ce sujet doivent toujours être adaptées à l’âge des enfants et fondées sur des preuves.”

“Les matériels qui suggèrent que la non-conformité aux stéréotypes de genre doit être considérée comme synonyme d’une identité de genre différente ne doivent pas être utilisés et vous ne devez pas travailler avec des organisations externes qui produisent de tels matériels.”

“Si les enseignants ne doivent pas suggérer à un enfant que sa non-conformité aux stéréotypes de genre signifie que sa personnalité ou son corps sont mauvais et a besoin de changer, les enseignants doivent toujours chercher à traiter les élèves avec sympathie et soutien.”

Daily Mail

Via Fdesouche

Royaume-Uni : une étude confirme que les enfants blancs pauvres sont de très loin les plus défavorisés à l’école, les moyens ciblent les minorités

Les enfants blancs de la classe ouvrière sont les laissés pour compte du système scolaire, sont confrontés à une vie de désavantage économique et seront les plus touchés par la crise du coronavirus, révèle une nouvelle étude.

Malgré cela l’aide à l’amélioration des niveaux éducatifs est souvent destinée à des zones ethniquement diverses et à des élèves issus de minorités – ce qui ne fait que truquer le jeu contre les garçons et les filles blancs et pauvres, selon les universitaires.

Un professeur de l’université d’Oxford a déclaré que la situation critique des enfants blancs de la classe ouvrière était considérée comme “pas à la mode” et “n’en valant pas la peine”. Et il a suggéré que le fait même de soulever la question était “taboue”, en particulier dans les cercles universitaires, car elle était associée à la “pensée politique de la droite dure”.

L’étude, soumise à la Commons Education Select Committee, révèle que les élèves blancs ayant droit à des repas scolaires gratuits ont deux fois moins de chances que leurs camarades issus de minorités ethniques pauvres d’obtenir de bons résultats dans les huit GCSE utilisés pour les tableaux de classement des écoles. Ils sont également plus susceptibles de fréquenter une école en échec et de vivre dans des communautés en difficulté dans le Nord et dans les Midlands.

Lee Elliot Major, professeur de mobilité sociale à l’université d’Exeter, a averti les députés que ces élèves souffriront le plus des effets de la pandémie et seront confrontés à une “cicatrice éducative et économique permanente”.

Malgré le poids des preuves montrant que ces élèves sont les laissés-pour-compte du système scolaire, les programmes visant à relever les normes les négligent souvent.

Des chercheurs de l’université de Plymouth ont cité un projet pilote de frais de scolarité soutenu par le gouvernement et destiné aux grandes villes ayant des populations diverses, ainsi que des règles de charité qui exigent un pourcentage de participants issus de minorités ethniques.

Ils affirment que de tels programmes excluent de fait les zones à prédominance blanche, comme les villes côtières défavorisées. Le Dr Alex Gibson, chercheur senior à Plymouth, a déclaré dimanche au Mail que le manque d’aide pour les enfants blancs de la classe ouvrière pourrait s’expliquer, en partie, par “une volonté d’être daltonien”.

Le professeur Peter Edwards, responsable de la chimie inorganique à Oxford, a déclaré que la recherche ne laissait “aucun doute” sur le fait que les enfants blancs de la classe ouvrière, et les garçons en particulier, étaient abandonnés.

Le sort des jeunes enfants blancs défavorisés est largement ignoré”, a-t-il déclaré. C’est encore un sujet tabou dans de nombreux domaines où il doit être abordé.

Le choc économique de la crise de la Covid – et potentiellement du Brexit qui se dessine – entraîne un besoin urgent de nouvelles réflexions et de nouvelles actions”.

Il a ajouté que le mantra progressiste selon lequel le fait d’être blanc confère “un avantage ou un privilège inhérent” avait contribué à ce que les garçons britanniques blancs pauvres se retrouvent au bas de l’échelle de l’éducation.

Le professeur Edwards a mis en garde contre “de graves conséquences socio-économiques et sociopolitiques si cette large cohorte de jeunes au Royaume-Uni ne se voit pas offrir le type d'”actions positives” et les avantages évidents que d’autres groupes ont au nom de l’inclusion, de la diversité et de l’égalité”.

“Cela conduira à des perceptions troublantes et à un cercle vicieux”, a-t-il déclaré. Je crois que c’est un point tout à fait critique ; non seulement pour utiliser l’énorme potentiel inexploité qu’il doit y avoir, mais aussi vis-à-vis de la menace réelle de déstabilisation du tissu même du pays”.

Le professeur Elliot Major a déclaré que les décideurs politiques devraient se concentrer sur des alternatives professionnelles à la voie “classe moyenne, enseignement supérieur” des diplômes universitaires.

Les universitaires de Bristol ont déclaré que les 1 300 livres sterling que les écoles reçoivent pour chaque enfant en repas scolaires gratuits pourraient être ajustées afin d’orienter davantage de fonds vers les élèves blancs les plus pauvres.

Le Commons committee a lancé son enquête sur les “groupes laissés pour compte” plus tôt cette année, lorsque son président, Robert Halfon, a déclaré qu’il y avait une “tendance inquiétante à ce que les élèves blancs issus de milieux pauvres aient des résultats inférieurs à ceux de leurs camarades”, ajoutant : “Il faut faire plus pour lutter contre cette injustice sociale très réelle.”

Lors des EGE de l’année dernière, le dénommé “score de progression” des élèves blancs avait chuté alors que celui de la plupart des autres ethnies s’était amélioré.

Le programme national de tutorat du gouvernement, d’une valeur de 380 millions d’euros, permettra de payer les frais de scolarité des élèves les plus défavorisés.

Daily Mail

Via Fdesouche

En 2020, le Royaume-Uni a connu le plus grand afflux d’immigration clandestine de mémoire d’homme

Douvres : Faites comme chez vous

6 sept. 2020 - Platform Media

En 2020, le Royaume-Uni a connu le plus grand afflux d'immigration clandestine de mémoire d'homme, avec plus de 4 000 personnes qui ont fait le voyage depuis les côtes françaises jusqu'aux eaux britanniques.

Steve Laws, un habitant de Douvres, s’est senti interpellé par le nombre de personnes entrant au Royaume-Uni, mais aussi par le manque d'attention médiatique et de sensibilisation nationale à cette crise.

Filmées avec son téléphone, les images de ce journaliste citoyen documentant l'arrivée de centaines de migrants sont immédiatement devenues virales. Dans ce reportage, Steve nous fait partager ses expériences des tentatives de dissimuler le problème et donne un aperçu du monde obscur du trafic d’êtres humains.

Il y a un passage fascinant, à 8:15, où Steve raconte comment il a parlé avec des clandestins qui accostaient au Royaume-Uni et leur a demandé pourquoi ils étaient là.

Les réponses des migrants peuvent appuyer la théorie d’une volonté d’anéantir l'Occident par le biais de la migration de masse – c’est-à-dire que des quantités d'étrangers, hostiles aux valeurs occidentales, sont amenés dans les pays occidentaux même s'ils ne le veulent pas vraiment, afin de favoriser à de multiples niveaux l'effondrement de ces nations.

Sous-titres automatiques anglais ou français disponibles sur Youtube

https://www.youtube.com/watch?time_continue=108&v=KlNC4DlJwkI&feature=emb_logo

Royaume-Uni : Le ministère de l’Intérieur réserve 4000 chambres d’hôtel pour les demandeurs d’asile

Le ministère de l’intérieur du Royaume-Uni a réservé 4 000 chambres d’hôtel pour les demandeurs d’asile dans diverses villes d’Angleterre et d’Écosse, suite à une pénurie de logements pour les nouveaux arrivants pendant l’examen de leur demande d’asile, pénurie due à la fois à une hausse des immigrations illégales à travers la Manche et aux contraintes liées au Covid 19.

Par ailleurs, le conseil du comté de Kent a averti qu’il avait atteint les limites de sa capacité d’accueil pour les enfants demandeurs d’asile. Alors que les migrants adultes et les familles qui arrivent sur les côtes du Kent sont envoyés dans d’autres régions du pays, le Kent conserve la responsabilité des enfants non accompagnés. qui sont maintenant au nombre de 600.

Dans toute la Grande-Bretagne, le nombre de chambres occupées par les demandeurs d’asile n’est pas connu, mais on estime qu’il s’agit de milliers, rapporte le Times.

Nigel Farage a diffusé sur Twitter une vidéo où on le voit visiter un hôtel à 54 £ la nuit hébergeant des demandeurs d’asile. Le ministère de l’Intérieur a présenté ses excuses pour cette «erreur».

Plus de 4 000 migrants sont arrivés au Royaume-Uni cette année après avoir traversé la Manche, dont au moins 597 entre le 13 et le 16 août.

Le 16 août, 112 migrants sont arrivés sur les côtes du Kent, portant le total pour ce mois à au moins 1 232, battant le record de juillet qui était de 1 118 arrivées.

En général, il y a suffisamment de logements disponibles pour les demandeurs d’asile, car il y a toujours des personnes qui partent après que leur demande d’asile a été acceptée ou refusée. Mais actuellement ce n’est plus le cas et il a fallu trouver des hôtels, en général trois étoiles. Depuis mars, en effet, le nombre de personnes dans le système de l’asile a augmenté, car le pays a provisoirement arrêté de couper l’aide sociale aux personnes arrivant à la fin de la procédure d’asile, c’est-à-dire dont la demande a été acceptée ou refusée. Ceci afin d’éviter que des personnes ne se retrouvent sans abri pendant la période de confinement.»

Source : Home Office books 4,000 hotel rooms for asylum seekers - Daily Mail
Résumé Cenator

Gangs pédophiles au Royaume-Uni : 7 individus comparaissent libres, sous le coup de 20 chefs d’accusation de viol

Bradford

Ces hommes, âgés de 26 à 40 ans, ont comparu collectivement, répondant à 20 chefs d’accusation de viol qui auraient été commis entre mars 2009 et mars 2010.

Waqaas Ali, 26 ans, est accusé de deux chefs de viol contre un enfant

Hassan Syed Basharat, 31 ans, est accusé d’un chef de viol et de complot en vue de viol avec Imran Sabir.

Imran Sabir, 40 ans, est également accusé d’un chef d’accusation de viol et de complot en vue de viol avec Basharat.

Omar Safdar, 28 ans, a été accusé de cinq chefs d’accusation de viol sur un enfant.

Sayeed Hafeez, 34 ans, est accusé de deux chefs de viol.

Amjad Hussain, 34 ans, est accusé de trois chefs de viol.

Baber Hussain, 34 ans, est accusé de cinq chefs d’accusation de viol et d’un chef d’accusation d’activité sexuelle avec pénétration sur une jeune fille. 

Source The Telegraph and Argus

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Londres : un migrant afghan de 24 ans jugé pour avoir violé une jeune fille de 13 ans dans un parc

Londres (Royaume-Uni) – Feroz Khan, 24 ans, originaire d’Afghanistan, est accusé d’avoir emmené l’adolescente à la périphérie du parc et de l’avoir violé.

Ce prédateur sexuel est jugé pour avoir violé une jeune fille de 13 ans près du château de Hampton Court après l’avoir repérée dans un magasin, a-t-on appris au tribunal.

Le ressortissant afghan Feroz Khan, 24 ans, aurait attaqué la jeune adolescente près de la résidence royale, datant du XVIe siècle.

(…)

Mirror

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Royaume-Uni : violée et tuée par son « ami de confiance » qui la raccompagnait alors qu’elle venait d’avoir 20 ans

Keeley Bunker, 20 ans, avait été retrouvée allongée face contre terre dans le parc de Tamworth, dans le Staffordshire, le 19 septembre de l’année dernière, quelques jours seulement après son anniversaire. Elle avait été retrouvée par son oncle, qui avait crié « non! », en retrouvant son corps sans vie quelques heures seulement après qu’elle ait été portée disparue, a-t-on dit au tribunal. Il est présumé que l’ami de Mme Bunker, Wesley Streete, 20 ans, l’a violée et tuée, avant d’essayer de recouvrir son corps de branches dans le parc de Wiggington.
[…]
Après avoir pris un taxi pour rentrer à Tamworth, l’ami de Mlle Bunker lui a offert un lit pour la nuit, lui suggérant de « rentrer à pied plus tard dans la matinée », a déclaré Jacob Hallam QC, en ouvrant le dossier de la Couronne. Il a ajouté : « Mais Keeley a refusé – tragiquement – en disant qu’elle était fatiguée et qu’elle voulait dormir dans son propre lit. Elle a dit à son ami : « J’ai Wes, Wes vit près de chez moi, Wes va me raccompagner, tout ira bien ».
[…]
l’accusé avait dit aux gens, à la famille de Keeley, à ses vrais amis et à la police, qu’il l’avait accompagnée à une cabine téléphonique près de chez lui plus tôt ce matin-là. Et que là, ils s’étaient séparés. Il a même montré à la police la route qu’ils avaient empruntée et l’endroit où ils s’étaient séparés. C’était un mensonge. On a trouvé une caméra de surveillance qui a montré que c’était un mensonge. L’analyse de son téléphone a montré que c’était un mensonge. L’ADN a montré que c’était un mensonge ».
[…]

Metro.co.uk

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Royaume-Uni : un jeune Blanc massacré à la machette en pleine après-midi, la police publie la photo du suspect

Un suspect de « meurtre à la machette » recherché par la police après qu’un homme dans la vingtaine a été tailladé à mort.

La police des West Midlands a rendu publique une photo de Sean Bulle, 20 ans, après l’attaque en plein jour.

Les policiers se sont précipités à Heath Town à Wolverhampton à 17h20 hier après avoir reçu des rapports indiquant qu’un homme avait été attaqué avec une lame.

La victime a été retrouvée en sang dans le jardin devant un immeuble d’habitation et déclarée morte sur place.

Le détective inspecteur Jim Mahon a déclaré : « Nous avons travaillé dur pour établir ce qui s’est passé hier après-midi et nous suivons un certain nombre de pistes d’enquête. »

« Nous pensons que Bulle est peut-être impliqué et je vous demande de nous aider à le retrouver. »
[…]

Daily Mail

 

Via Fdesouche

Attaque au couteau à Reading: le suspect libyen était dans le viseur des renseignements et aurait demandé l’asile

Un jeune Libyen a poignardé plusieurs personnes, en tuant trois, samedi, dans un parc d’une ville située à une soixantaine de kilomètres de Londres.

Selon la presse, il s’agirait d’un demandeur d’asile libyen, répondant au nom de Khairi Saadallah, et habitant cette ville de 200.000 habitants située à une soixantaine de kilomètres de la capitale.

Le Figaro


L'auteur présumé de l'attaque au couteau qui a fait trois morts, samedi soir, dans un parc de Reading, à l'ouest de Londres, avait déjà attiré l'attention en 2019 des services de renseignement britanniques, le MI5, selon des informations de la chaîne publique britannique BBC dimanche, qui cite des sources de sécurité. Trois personnes sont décédées et trois autres ont été grièvement blessées.

[...]

Lalibre.be


Rappel :

Attaque au couteau près de Londres. Il y aurait 3 morts et neuf blessés. Un Libyen arrêté.

Raffia Arshad, première juge à porter le hijab au Royaume-Uni

Raffia Arshad est la première femme portant le hijab à devenir juge au Royaume-Uni.Raffia Arshad est la première femme portant le hijab à devenir juge au Royaume-Uni.

La quarantenaire a déclaré au quotidien britannique qu’elle voulait «s’assurer que le son de la diversité soit entendu» : «C’est définitivement plus grand que moi […]. C’est important pour toutes les femmes, […] particulièrement pour les femmes musulmanes». […]

Tout au long de sa carrière, elle a traité différents domaines, notamment le mariage forcé, les mutilations génitales féminines ou les affaires liées à la loi islamique. Malgré cette expérience, elle a confié qu’elle était toujours victime de préjugés et de discrimination. Elle a raconté être régulièrement confondue avec une interprète ou une cliente dans la salle d’audience.

Paris Match

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