La semaine du genre à Sciences Po : la prestigieuse institution en vient à soutenir des activistes du mouvement « queer »

Si l'édition 2016 est un peu plus sobre que les précédentes, les élèves de la rue Saint Guillaume auront tout de même pu assister au cours de la semaine écoulée à des conférences aux intitulés de choix. Citons : « Eco orgasme : comment jouir dans le respect de l'environnement et de soi ?», « Réappropriation de ses fluides corporels » — dans le but de «les sublimer, les déguiser, les intégrer à une production plastique/artistique» —. Ou encore « Théories, pratiques et solidarités chez les féministes islamiques ».

Limpide… Les crus passés furent, semble t il, encore plus savoureux ?

Il y a deux ans, une « messe noire » fut organisée où des bibles furent brûlées dans le jardin de l'école, tout comme des ateliers sur « la sodomie et les jeux de cordes », des expositions mêlant représentations sadomasochistes et photographies de fillettes de 5 ans, accompagnées de légendes obscènes.

La volonté de Sciences Po de faire de l'idéologie du genre une vérité générale est claire et institutionnalisée

Il convient de signaler l’existence du programme Presage, relatif à la recherche et à l'enseignement des « savoirs » sur le genre. Il faut souligner aussi l’utilisation de la novlangue orthographique « non sexiste » dans les courriels d'un nombre croissant d'enseignants, ainsi que la mise à l'index des étudiants qui osent interroger la pertinence de ce militantisme politique.

Contre le soutien de l’école à celui ci, un collectif d’étudiants indignés a signé une tribune dans le Figaro Vox

Car si à Sciences Po les années passent et les « Queer Week » se succèdent, l'indignation monte et de nombreuses consciences s'éveillent.

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