Québec : un père furieux que son fils étudie l’islam à l’école reçoit une mise en demeure

Un père de famille qui estime que son fils de 8 ans ne devrait pas être initié aux concepts de base de l’islam à l’école a décidé de dénoncer de façon virulente la situation sur les réseaux sociaux, ce à quoi la commission scolaire visée, située dans Lanaudière, a répliqué en lui envoyant une mise en demeure pour « propos haineux ».

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« Un pays à la mémoire vide, aux racines sèches, n’est plus un pays mais un terrain vague »

[Mathieu Bock-Coté, à propos du Québec]

(…) Notre pays est jeune et vieux à la fois. Il n’a pas une mémoire millénaire ou bimillénaire. Mais notre peuple ne se laisse pas définir non plus comme un pays neuf, comme s’il sortait tout juste de terre.

Les modernes sectaires aimeraient bien nous déraciner. Nos symboles, ils veulent les effacer, les laminer, les déconstruire. Ils prétendent nous libérer du passé alors qu’ils nous déshumanisent.

Ils provoquent une détresse psychique et culturelle que nous peinons pourtant à reconnaître, puisque nous ne voulons plus accorder quelque droit que ce soit au passé sur notre présent.

Le système médiatique, qui se fait le propagateur d’une nouvelle culture globale souvent insignifiante, cherche à frapper d’obsolescence l’héritage historique des peuples, qui entrave l’avènement de l’individu mondialisé.

Le discours historique sorti des années 1960, qui congédiait le passé à la manière d’un rebut historique au mieux insignifiant, et au pire dégoûtant, ne parle plus au cœur des Québécois à la recherche d’ancrages identitaires.

(…) Si la vieille quête de l’indépendance avorte, le noyau le plus intime de notre culture se fissurerait. Qui voudrait s’entêter dans une culture qui a consenti à s’enfermer dans les très étroites limites d’un pays qui la traite comme un résidu folklorique, sans génie spécifique, sans accès à l’universel ?

On l’oublie, mais un peuple qui perd le goût de vivre peut mourir, en devenant étranger à lui-même.

Un pays qui renoue avec ses légendes, qui redécouvre ses grands mythes, qui ne se laisse plus séduire par les déconstructeurs qui nous expliquent que tout, dans notre culture, est faux ou perfide, peut se réanimer.

Un pays sans légendes, à la mémoire vide, aux racines sèches, n’est plus un pays, mais un territoire sans âme, un terrain vague, sur lequel n’importe qui peut se permettre n’importe quoi.

Un pays, pour renaître, doit renouer avec sa part la plus intime, avec ce qu’il ne peut renier sans se trahir lui-même.

Lire l’article intégral : Journal de Montréal

——– Compléments :
• Du même auteur : L’escroquerie intellectuelle du multi-culturalisme

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«Un nouveau droit de l’homme: celui de se contrefoutre de la société d’accueil»

Ce monsieur venu d’Inde faire son doctorat à l’Université du Québec, refuse tout simplement de s’adapter, ne serait-ce que minimalement, au fait que l’on y parle français. 

Je le cite : « En tant que civilisation globale, nous avons à adopter certaines choses en commun. L’anglais est une langue d’intégration. Tu aimes ou tu n’aimes pas, mais bon. Je viens de l’Inde, ma langue maternelle est l’hindi, mais la langue qui fait que je suis ici et que je vous parle c’est l’anglais. »

Il est au Québec. Il le sait. Mais il voit dans notre prétention à vivre en français un archaïsme agaçant. Il est bien prêt à nous pardonner, mais il ne transigera pas sur l’essentiel.

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Et l’essentiel, c’est la chose suivante : il est le représentant de la civilisation mondiale à laquelle le Québec devrait s’adapter, et dont il porte la bonne nouvelle. Cette civilisation mondiale fonctionne en anglais, et il est temps pour nous de nous y adapter. Ce monsieur représente l’avenir.

Quant à nous, stupides provinciaux, c’est notre devoir de nous coucher devant lui. Ce que ce monsieur nous dit, c’est que l’immigrant ou l’étudiant de passage ne doit pas s’intégrer au Québec ou chercher à s’accommoder avec la culture de la population qui y vit, mais que le Québec doit s’intégrer à la civilisation mondiale, qu’il incarne.

(…) Nous sommes devant un nouveau droit de l’homme: celui, au nom de la civilisation globale, de se contrefoutre de la société d’accueil, de sa langue, de son identité culturelle.

Tôt ou tard, ce monsieur trouvera ici des défenseurs. Qui considèreront manifestement que tant qu’on ne se pliera pas à lui, on le discriminera.

(…) Il ne manque pas de chantres de l’ouverture à l’Autre. Mais à quel moment demanderons-nous à l’Autre de s’ouvrir à nous?

Mathieu Bock Coté – Journal de Montréal via Fdesouche

Québec: Lectures LGBT pour les écoliers et les plus jeunes

Papa porte une robe, La fille qui voulait être un garçon, Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ? Voici quelques-unes des suggestions de lecture que la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) veut proposer aux centres de la petite enfance (CPE) et aux écoles primaires.

Cette initiative vise d’abord à lutter contre les préjugés à l’égard des LGBT, mais aussi à aider les enseignants et les éducatrices à en discuter avec les enfants en leur proposant des outils et une série de questions à leur poser. « Si on veut être en mesure de développer cette ouverture à la diversité, il faut briser le mythe de l’hétérosexisme dès le plus bas âge.

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« Les gens qui s’opposent au respect de la diversité humaine, qu’ils soient racistes, sexistes ou homophobes, ils ont droit à leur opinion. Mais la société québécoise et canadienne a fait, par ses lois et ses Chartes, d’autres choix », tient-il àrappeler. M. Pétrin compte également la soumettre aux bibliothécaires dans les institutions scolaires et des démarches seront éventuellement entamées auprès des syndicats des éducatrices en garderies et des enseignants avant d’approcher le ministère de l’Éducation.

Texte complet

0% Halal, 0% Casher, 100% Québécois: La campagne qui fait scandale au Québec

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Des groupes islamiques perturbent physiquement le déroulement de cette tradition, avec le tape-à-l’œil qu’on leur connaît, dans les salles à manger de cabanes à sucre au printemps. Un autre groupe plus discret, comme nous le verrons, influence de manière religieuse la production de sirop et d’autres produits dérivés, tout en tirant profit de cette opération toute l’année.

 

Source et auteur

Nombre de médias québecois se sont insurgés contre une telle campagne:

Radio Canada

Tvanouvelles

Journalmetro