Hillary Clinton organise une soirée pour ses donateurs déçus

   
Michel Garroté - Après avoir dépensé 1,2 milliard de dollars pour sa campagne présidentielle, un record historique (du jamais vu), voilà qu’Hillary Clinton organise une soirée pour remercier des sponsors qui ont donné des millions pour assurer sa victoire, pardon, sa défaite (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : ce prix de consolation sera-t-il suffisant pour motiver le réseau de donateurs pour la prochaine présidentielle ? Hillary Clinton, la candidate démocrate perdante à l'élection présidentielle américaine 2016, a en effet bénéficié de la campagne politique la plus coûteuse de toute l'histoire du pays, selon le New York Post.
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L'ensemble des dépenses de sa campagne (incluant les dons privés, non plafonnés, et les aides publiques) s'est ainsi élevé à 1,2 milliard de dollars. Le contribuable allemand a versé 2,4 M EUR à la Fondation Clinton sans le savoir. Outre les donateurs privés, ce sont les contribuables allemands qui s'avèrent avoir versé plus de 2 millions d'euros à la Fondation Clinton, et la France, selon les documents obtenus par le New York Post, n’ont apparemment rien à leur envier. Sans oublier l’Arabie saoudite, le Qatar ou encore le Koweït qui figurent parmi les plus généreux donateurs.
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Par opposition, le républicain Donald Trump, qui a remporté la course à la Maison Blanche, n'a dépensé que 600 millions de dollars, soit la moitié du budget de la démocrate. De surcroît, Donal Trump a financé un peu plus d'un dixième de sa campagne lui-même. ​Et voilà qu’après avoir perdu, à la grande surprise de ses nombreux donateurs, Mme Clinton organise une soirée pour tous ceux qui n'ont pas lésiné afin de pouvoir continuer à bénéficier de leur influence illimitée et d’immenses sommes d’argent. La Fondation Clinton a même financé le mariage de la petite Chelsea, la fille des Clinton, si on en croit les mails de John Podesta, révélés par WikiLeaks.
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Ce prix de consolation sera-t-il suffisant pour compenser les rêves déçus des milliardaires ? Hillary Clinton et le candidat démocrate à la vice-présidence Tim Kaine vont faire la fête à l'hôtel Plaza le 15 décembre 2016. La soirée aura lieu dans la grande salle de bal au troisième étage (ndmg - ne pas trop se pencher au-dessus du balcon).
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Les invités viendront nombreux. Parmi eux, Harvey Weinstein, Anna Wintour, Alan Patricof, Tory Burch et Marc Lasry, selon les informations du New York Post. « Heureusement, il n’y aura pas de balcons, donc personne ne pourra sauter », ironise une source du tabloïd (ndmg - décidément, le balcon...). Et d’ajouter : « Essaye-t-elle de garder le réseau des donateurs en vie pour la prochaine présidentielle ? » (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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https://fr.sputniknews.com/international/201612121029132270-hillary-soiree-sponsors/
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Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Trump – La défaite des journalistes

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Michel Garroté - La victoire de Donald Trump, ce n'est pas seulement la défaite de Hillary Clinton. La victoire de Donald Trump, c'est aussi la défaite, la déroute, le Trafalgar, la Bérézina des journalistes, cette "sale race" de coqs morveux. Entre hier mercredi et aujourd'hui jeudi, je suis pris d'un fou rire à chaque fois que je les vois nous annoncer, à la télévision, la fin du monde, ni plus, ni moins. Arrogants et mauvais perdants, les journaleux nous prédisent maintenant l'Apocalypse. Sur le petit écran, ils se livrent à des grimaces, des tics nerveux, des contorsions faciales, des crispations du front jusqu'au menton, bref, c'est le cirque, le zoo, le sketch. Cela dit, j'ai tout de même trouvé quelques journalistes - en marge de la caste médiatique - dont je publie ci-dessous les analyses.
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Ainsi, dans le 'Wall Street Journal', Gerald Seib écrit notamment : “Pitoyables”. C’est par ce terme méprisant qu’Hillary Clinton a un jour brocardé les partisans de Donald Trump (“en gros, vous pouvez placer la moitié des partisans de Trump dans ce que j’appelle le panier des pitoyables”, a-t-elle déclaré en septembre). Une insulte dont ils se sont emparés avec fierté pour en faire un véritable symbole. Le 8 novembre, se parant de ce dédain de la classe politique comme d’un titre de gloire, la horde de Trump a réalisé une formidable percée dans le système électoral américain et offert au candidat républicain une victoire stupéfiante (voir lien vers source en bas de page).
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Dans 'La Stampa', Marco Tosatti, de son côté, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La défaite la plus retentissante, ce n'est pas Hillary Clinton qui l'a subie. Ce qui l'a subie, c'est une façon de faire du journalisme qui ne pourrait pas être plus éloignée de ce que devraient être les règles du jeu. Aux États-Unis - et chez nous - les médias ont sans vergogne pris parti en faveur des lobbies de pouvoir et d'intérêts conduits par Clinton.
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Pas seulement dans les commentaires : en dissimulant des informations qui auraient pu faire du tort à la candidate démocrate, en exaltant au maximum de tous les aspects négatifs possibles et imaginables de son rival, en insultant - comme racistes, semi-analphabètes, bigots et ainsi de suite - tous ceux qui ne soutenaient pas la responsable du désastre libyen et syrien, grande alliée des Saoudiens et du Qatar, et financée par eux.
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Et pourtant, beaucoup d'informations qui jetaient une lumière inquiétante sur Hillary, ses relations, ses cadavres dans le placard, circulaient librement sur les réseaux sociaux et plus généralement sur Internet. Elles n'étaient pas reprises par les journaux liés à elle et aux gens qui dans l'ombre manœuvraient les financements, les sondages et l'opinion publique.
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Mais, évidemment, les électeurs, eux, ont vu, lu et entendu. Et le bon sens, la théologie du moindre mal, a prévalu. Il serait intéressant, d'un point de vue sociologique, de pouvoir éclaircir quel rôle les réseaux sociaux ont joué dans la formation de l'opinion des électeurs. En dépit de la grosse caisse que les médias, aux États-Unis ont battue sans relâche pour Hillary.
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Deux observations : tout d'abord, cette campagne a marqué - au cas où il en était besoin - la fin du mythe du journalisme anglo-saxon par rapport au reste du monde ; comme pour la couverture de la guerre en Syrie, les médias ont montré leur incapacité à mener à bien un travail impartial.
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Mais aussi l'incapacité à faire leur métier, c'est-à-dire à saisir des éléments de doute et d'incertitude. Quelle crédibilité aura perdu, aux États-Unis et chez nous, une information aussi clairement peu fiable ?, conclut Marco Tosatti (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).

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De son côté, dans 'Causeur', Elisabeth Lévy écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Voilà des années que les journalistes observent le plouc occidental avec mépris et suffisance, qu’ils dénoncent ses manières « déplorables », l’engueulent pour ses votes lamentables et lui prodiguent des leçons de maintien pour élargir son esprit étroit. Peut-être avez-vous raté cette breaking news : au lendemain de l’élection de Donald Trump, Marine Le Pen et l’éditorialiste du Monde ont eu exactement la même analyse. « Ce n’est pas la fin du monde, c’est la fin d’un monde », a déclaré la première (qui peut remercier sa plume pour cette belle formule). « L’élection de Donald Trump est un bouleversement majeur, une date pour les démocraties occidentales.
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"Comme la chute du Mur de Berlin, comme le 11-Septembre 2001, cet événement ouvre sur un nouveau monde", écrivait pour sa part Jérôme Fenoglio, le directeur du Monde qui, pour l’occasion, avait sorti les grands mots. Bien sûr, la convergence s’arrête là, car le rêve de la patronne du FN est le cauchemar du journaliste (et de 95% de ses confrères). Or, avec l’élection du « très controversé Donald Trump », comme on l’appelle désormais sur France Inter, ce rêve et ce cauchemar ont effectivement acquis une nouvelle consistance. Dans le nouveau monde dont on nous annonce l’avènement, Marine Le Pen aura probablement beaucoup plus de pouvoir que Jérôme Fenoglio.
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Et quoi qu’on pense de l’ascension annoncée de la première, on peut trouver quelques vertus à la déconfiture du second et de sa corporation. Voilà des années que Fenoglio et ses congénères observent le plouc occidental avec mépris et suffisance, qu’ils dénoncent ses manières « déplorables » comme dit Hillary Clinton, l’engueulent pour ses votes lamentables et  lui prodiguent en toute occasion des leçons de maintien destinées à élargir son esprit étroit, à désodoriser ses idées nauséabondes et à aérer ses peurs rances. Et voilà des années que le populo affirme avec constance qu’il ne veut pas du monde mondialisé et ouvert à tous les vents qu’on lui présente comme son avenir inéluctable.
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Le plouc qu’on appelle également petit blanc bien qu’il ne le soit pas toujours, veut des frontières à l’intérieur desquelles il pourra faire peuple en conservant ses traditions et ses petites manies. Certes, comme on le répète sur France Inter, Trump n’a pas été élu par les seuls ouvriers de l’Amérique périphérique, mais aussi par une Amérique blanche, aisée et conservatrice, bref  c’est un vote réactionnaire a conclu une journaliste soulagée. Il y a sans doute plus de gagnants de la mondialisation parmi les électeurs de Trump que parmi ceux de Marine Le Pen ou du Brexit, peut-être parce que la place dans le processus de production ne dit pas tout d’un homme. Et que, si la demande de réassurance nationale s’accroît à mesure que le revenu baisse, elle n’est pas réductible à un facteur économique.
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Le populo est populiste, se lamentent cependant les bonnes âmes qui ont renoncé à sauver le prolétariat ou plutôt en ont élu un nouveau. Alors, pour taper sur la tête des bonnes âmes ou au moins se la payer, le populo utilise, comme le disait Muray, le gourdin qu’il a sous la main, ici Trump, là Brexit et demain, peut-être Marine. Et tant qu’il ne trouvera pas de gourdins plus convenables, il se contentera de ceux-là qui ont au moins l’avantage de faire peur aux bien-pensants, qu’ils soient lecteurs du Monde ou du New York Times où une internaute confessait hier ne rien comprendre au pays où elle vit. Ça c’est sûr et c’est bien le problème. Quelqu’un qui a suivi la campagne à travers ces estimables journaux n’avait aucune chance de comprendre son issue.
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Je ne sais pas si on a raison d’avoir peur de Donald Trump dont certains de mes amis ne retiennent que le programme keynésien à la Roosevelt, comme si la colère anti-establishment dont il est le porte-parole devait nous faire oublier ses farces et attrapes en tout genre. En tout cas, à l’inverse de Barack Obama qui, accueilli tel le messie, ne pouvait que décevoir, Trump ne pourra nous décevoir qu’en bien. Je sais en revanche que, populiste, au-dessus de 50%, ça devient populaire. Ah oui, Hitler en 1933 aussi. Mais c’est un curieux syllogisme de déduire de la victoire relative du futur Führer dans une élection formellement démocratique que tout vainqueur qui nous déplairait est un héritier d’Hitler. Il y a quelques jours, Le Monde se désolait de ce qu’une partie des Français (suivez mon regard) n’adhérât plus au système démocratique et demandât de l’autorité, comme si les deux étaient antagonistes.
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Et les commentateurs qui, de Londres à New York, de Paris à Berlin, dénoncent avec constance les résultats des urnes, ne sont-ils pas  en rupture de démocratie ? Est-il bien démocratique d’afficher son mépris pour le cochon de votant ? « Trump se vautre dans le triomphe », titre aujourd’hui le New York Times sans le moindre égard pour les millions d’Américains qui l’ont choisi. Des populistes vous dit-on. Seulement, dans cette démocratie que les journalistes chérissent tant, un mauvais électeur pèse autant qu’un bon (aux Etats-Unis, un petit correctif fait remonter les ploucs). On l’a répété en boucle, sans en tirer la moindre conséquence : médias, analystes, sondeurs, se sont plantés en beauté.
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Ils n’ont rien vu venir, parce qu’au lieu de chercher à comprendre, ils s’efforcent de nier ce qui leur déplaît et de rééduquer ceux qui leur désobéissent. Le vote Trump est un bras d’honneur à  ceux qui prétendent savoir, à commencer par les journalistes. Ce qui signifie qu’eux et les autres prêchi-prêcheurs sont au moins en partie responsables du désastre qui les désole. Or, depuis hier, au lieu de se livrer à une salutaire autocritique et de se demander pourquoi ils ne comprennent rien aux sociétés dans lesquelles ils vivent, ils trépignent et redoublent de remontrances à l’égard des électeurs trumpistes. Désolée chers confrères et autres guides d’opinion, mais vous ne guidez plus grand-chose. Et le vent de panique qui souffle sur le quartier général est un spectacle plus réjouissant que celui de votre ancienne superbe, quand vous vous plaisiez à brûler quelques dissidents pour l’exemple.
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Aujourd’hui, vos bûchers ne brûlent plus et vos piloris n’intéressent plus personne, tant mieux. L’ennui, c’est que nous allons tous payer le prix de l’incroyable suffisance avec laquelle depuis des années, vous ignorez les aspirations de ceux qu’Orwell appelait les gens ordinaires, conclut Elisabeth Lévy (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-les-pitoyables-se-sont-bien-venges
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http://benoit-et-moi.fr/2016/actualite/trump-les-medias-en-accusation.html
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http://www.causeur.fr/trump-lepen-populisme-medias-brexit-40999.html
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Même perdant, Donald Trump a déjà gagné

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Michel Garroté - Les Clinton incarnent tout ce que je déteste : l'arrogance, l'hypocrisie, le mensonge, la manipulation, la corruption, la gauche-caviar, la caste politico-médiatique gauchiste, le mépris du peuple, l'islamophilie, l'israélophobie, bref, tout ce qui pue la gauche faux-cul. Et Trump ? Je le trouve atypique, audacieux, assez marrant dans son genre, et, surtout, je le crois apte à redresser les Etats-Unis, apte à trouver des compromis avec Poutine, apte à débarrasser la planète de l'Etat islamique (EI), en somme, je le trouve à la hauteur, tout simplement.
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A ce propos, Ivan Rioufol, dans un article intitulé "Même perdant, Donald Trump a déjà gagné", écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Je serais Américain, je voterais demain pour Donald Trump. Je le préfère à Hillary Clinton, corrompue et arrogante. Les Etats-Unis auraient mérité mieux que ces deux candidats, c’est entendu. La campagne fut d’une bassesse jamais atteinte, c’est exact. Mais Trump a su mettre au jour, dans une intuition remarquable, les travers d’une démocratie à bout de souffle. Observer la gauche américaine, représentée par la démocrate Hillary Clinton, se boucher le nez devant le peuple "déplorable" et être soutenue par Wall Street et l’ensemble des grands médias, fait mesurer les bouleversements politiques dont le candidat républicain est le symptôme.
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Au-delà des défauts incommodants de Trump, je le crois porteur d’une nécessaire révolution, en réaction aux excès d’un Système élitiste, claquemuré, éloigné des gens. Même si ses chances de gagner restent minces, sa seule performance actuelle, avec des moyens bien moindres que ceux de son adversaire, est déjà une première victoire. Son refus de "jouer le jeu selon les règles fixées par les médias" devrait interroger ces médias sur leur illégitime influence. Il va de soi qu’une victoire de Trump - dans une sorte de Brexit-bis révélant la révolte des peuples – serait dès lors leur très lourde défaite. La péroraison des anti-Trump est celle d’une oligarchie qui ne veut pas comprendre les ressorts de la révolte des Américains déclassés, oubliés par la gauche prolophobe.
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La pauvreté a gagné du terrain sous Barack Obama : les 38 millions de pauvres de 2008 sont devenus 46 millions, 7 ans plus tard. D’autre part, les concessions faites par l’administration américaine à l’islam politique sont une autre source de légitimes inquiétudes pour les électeurs soucieux de préserver leur identité culturelle. Or ces craintes sont balayées par la candidate démocrate pour qui le principal danger est "le réchauffement global". Il est vrai qu’Hillary Clinton a pour principale confidente Huma Abedin, qui a participé pendant dix ans à une revue islamiste publiant des textes incitant au djihad, à la haine anti-américaine et antisémite. Clinton au pouvoir serait un mauvais coup porté à l'avenir de la civilisation occidentale, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/11/meme-perdant-donald-trump-a-de.html
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Nouveaux mensonges d’Hillary Clinton

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Michel Garroté - La face cachée d'Hillary Clinton apparait toujours plus au grand jour (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le site internet Wikileaks, qui révèle chaque semaine des e-mails concernant Hillary Clinton, a dévoilé qu’une collaboratrice de la chaîne CNN avait donné à Mme Clinton la liste des questions qui allaient être posées durant un débat de la primaire démocrate l’opposant à Bernie Sanders. Mais c’est surtout l’affaire de sa propre boîte email qui s’est réinvitée sur le devant de la scène. Le FBI avait classé l’affaire en début d’année, mais son directeur, James Comey, vient d’annoncer qu’il rouvrait l’enquête sur Hillary Clinton.
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Pour rappel, Hillary Clinton a utilisé sa boîte e-mail personnelle alors qu’elle était Secretary of State, c’est à dire n°2 du gouvernement Obama en charge entre autres des affaires internationales. Or cet usage est totalement interdit, vu qu’il expose les secrets d’Etat et les opérations militaires à n’importe quel « pirate » sur internet. Hillary Clinton avait plaidé l’ignorance, et le FBI, n’ayant pas trop le choix, lui avait accordé le bénéfice du doute. Mais ses opposants avaient au passage souligné que de nombreux e-mails avaient été effacés du serveur avant l’enquête.
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Le contenu des e-mails pourrait avoir des conséquences, par exemple si le secret d’activités militaires a ainsi été fragilisé (chacun pense à l’assassinat de l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye alors qu’Hillary Clinton était en poste). Mais s’ajoute désormais à cela le risque d’accusations de mensonge et de parjure. Comme lors de l’affaire Monica Lewinski, frasque sexuelle de Bill Clinton alors qu’il était président, ce n’est plus l’affaire en elle-même qui est jugée, mais le mensonge (potentiel) de l’élu. Le risque pénal est donc important pour Hillary Clinton (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/hillary-clinton-menteuse-et-pas-meilleure-que-fran%C3%A7ois-hollande-pour-les-secrets-detat-.html
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Les mégadonateurs d’Hillary Clinton

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Michel Garroté - La candidate démocrate s’est appuyée sur des contributions très élevées (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page), alors qu’elle-même assure vouloir réformer le système de financement des campagnes politiques. 1,14 milliard de dollars : c’est la somme totale levée par la campagne de Hillary Clinton à la fin du mois de septembre, selon une analyse du Washington Post. D’après le journal, plus d’un cinquième de cette somme proviendrait de 100 riches individus et syndicats. Depuis les années 1970, “aucun président n’a jamais été élu avec l’aide de riches contributeurs ayant consenti des dons aussi énormes”, souligne le quotidien.
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“Clinton s’est appuyée à fond, dès le début de sa campagne, sur les super-PAC” : des “comités d’action politique” réputés indépendants des candidats, mais qui les soutiennent et qui peuvent effectuer des donations illimitées en vertu d’un arrêt de la Cour suprême de 2010, Citizens United v. Federal Election Commission. “Elle entrerait à la Maison-Blanche avec une grande dette à l’égard d’une petite élite de donateurs qui la soutiennent, elle et son mari, depuis des décennies”, relève le Post (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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http://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-des-megadonateurs-au-service-dhillary-clinton
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Nobama

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Les hommes vraiment méchants sont aussi rares que les hommes vraiment bons, mais il y a beaucoup d'impuissants qui miment, suivant le souffle extérieur qui les agite, tantôt le bien et tantôt le mal. C'est le même besoin universel de plaire, inhérent à toute impuissance, la même incapacité de s'affirmer, de s'opposer, de dominer les influences, la même absence d'opinion et de passions personnelles, en bref le même phénomène "d'adaptation au milieu" qui dicte ses flatteries en notre présence et ses médisances dans une assemblée qu'elles réjouissent.
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Il est également sincère dans les deux cas, si l'on entend par sincérité cette absence de préméditation et de fraude, cette spontanéité adaptative des miroirs et des girouettes, et il est également hypocrite, si l'on entend par hypocrisie le manque de tout sentiment certain, profond et durable. Le caméléon est gris tant qu'il marche sur le sable ; s'il passe sous un arbre, il se colore en vert ; il n'est ni plus sincère ni plus hypocrite dans un endroit que dans l'autre : il n'est partout qu'un caméléon.
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Michel Garroté
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Tais-toi Obama !

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Il paraîtrait que Donald Trump ne serait pas élu président des Etats-Unis le 8 novembre prochain (entrée en fonction en janvier 2017 et d'ici-là Obama va continuer de tout démolir et de se ficher du monde). C'est l'arrogant Barack Hussein Obama qui en est persuadé : « J'ai confiance dans le peuple américain. Ils sont conscients du fait qu'être président est un métier sérieux. Cela n'a rien à voir avec l'animation d'une émission de téléréalité, a allégué l'illusionniste Obama a qui on n'a pourtant rien demandé.
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« Ce n'est pas du marketing. C'est difficile. Cela n'a rien à voir avec simplement chercher à attirer l'attention des médias chaque jour », a-t-il poursuivi à l'attention du milliardaire. « Parfois, cela demande de prendre des décisions difficiles même si elles sont impopulaires. Cela implique d'être capable de travailler avec des dirigeants du monde entier ». Les critiques d'Obama ne semblent pas vraiment émouvoir Trump.
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« Venant de sa part, c'est même un beau compliment si vous voulez connaître la vérité », a-t-il réagi. Et le candidat républicain de se lancer dans un bilan lucide du locataire actuel de la Maison-Blanche. « Il a fait un boulot nullissime en tant que président. Regardez nos budgets. Regardez nos dépenses. On est incapable de défaire Daech. Obamacare (la réforme du système de santé votée) est une catastrophe. Nos frontières sont du gruyère. On va mettre fin à tout ça », a promis le magnat.
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Michel Garroté, 18.2.2016
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http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-americaine/etats-unis-obama-confiant-sur-le-fait-que-trump-ne-sera-pas-elu-president-17-02-2016-5553939.php
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