France : Le scandale des mineurs étrangers isolés (mineurs non accompagnés) [vidéo]

Alors que la presse n'en parle quasiment jamais, Gilles Pennelle (Conseiller régional FN de Bretagne, Président du groupe FN au Conseil régional, Conseiller Communautaire Fougères,
Conseiller Municipal de Fougères) a décidé de dire toute la vérité sur le scandale des "mineurs étrangers isolés"

La Suisse priée de mieux accueillir les mineurs non accompagnés

Les requérants d'asile mineurs qui arrivent en Suisse sans leur famille devraient bénéficier de structures particulières. L'ONU appelle à réformer la procédure pour mieux adapter les centres fédéraux d'accueil.

Par rapport à la situation dans d'autres pays, le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR) reconnaît que la prise en charge en Suisse fonctionne bien et que les standards sont "solides".

"La réforme actuelle constitue une occasion idéale de mettre en oeuvre des aménagements souvent simples et peu coûteux", estime toutefois la cheffe du Bureau de l'agence onusienne pour la Suisse et le Liechtenstein, Anja Klug.

Sites protégés recommandés

Parmi les priorités, le HCR recommande des sites protégés, séparés selon le sexe et un enseignement scolaire adapté aux mineurs. Une personne de contact doit être responsable de chacun d'entre eux, et seule une femme devrait prendre en charge une jeune fille.

Le HCR appelle aussi à répondre aux besoins particuliers de certains requérants. Des procédures doivent être établies pour les identifier systématiquement, notamment les personnes handicapées, les personnes âgées, les femmes enceintes ou les victimes de violences.

ats/ebz

Minimiser la restriction de mouvement

Le HCR recommande encore de minimiser les restrictions à la liberté de mouvement, y compris en dehors des centres, et de protéger la vie privée et familiale des requérants. Il souhaite la garantie d'un encadrement permanent et la présence de personnel médical, mais aussi des programmes d'occupation d'utilité publique ou encore des cours de langue.Le dialogue des requérants avec la société civile doit être favorisé. Ces personnes doivent aussi pouvoir conserver leur téléphone portable et avoir accès à Internet, affirme également le HCR.

Seine-et-Marne : une cinquantaine de migrants mineurs essaient d’investir le tribunal

Photo : Meaux (Seine-et-Marne), ce mercredi. Une cinquantaine de migrants mineurs ont déboulé au palais de justice, afin de rencontrer un juge des enfants.

LP/Guénaèle Calant

 

Action surprenante autant que spectaculaire. Une cinquantaine de jeunes ont déboulé, mercredi, vers 11 heures du matin, sur le parvis du palais de justice de Meaux (Seine-et-Marne). Ils voulaient rencontrer un juge des enfants. Leur particularité : il s’agit des «mineurs non accompagnés» actuellement hébergés à l’hôtel Confort, situé à Meaux, dans le quartier de Beauval. Derrière ce vocable : des mineurs isolés originaires d’Afrique (Mali, Guinée, Nigeria ou encore Côte d’Ivoire), arrivés sur le territoire français sans leurs familles, par différentes filières.

Suite

Allemagne. Munich: 400’000 euros par mois pour un centre de requérants mineurs abritant… 15 personnes.

MUNICH. Les coûts considérables d'un centre pour réfugiés sont catastrophiques pour la capitale bavaroise. Actuellement, les frais d'exploitation se montent à quelque 400.000 euros par mois, selon un rapport du journal der Welt.

Mais seulement 15 jeunes demandeurs d'asile sont installés en ce moment dans le logement.

Le « Young Center réfugiés » situé à la rue de Mars, près de la gare de Munich a commencé à fonctionner en avril 2016, comme un point focal pour les réfugiés mineurs non accompagnés. Dans ce centre, les requérants d'asile passent un examen médical, sont enregistrés et bénéficient d'un suivi psychologique.

L'établissement dispose de 180 lits de courte durée avec des chambres de deux à quatre lits, des cuisines et des salons et des bureaux. (...) Pour chaque groupe de cinq enfants et adolescents, un animateur est à disposition

Il y avait seulement huit locataires en mars...

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

La campagne bernoise sur l’accueil des migrants mineurs bat son plein

Dans le canton de Berne, un référendum des milieux proches de l'UDC, visant l'enveloppe destinée à l'accueil des requérants mineurs non accompagnés, a abouti. La campagne en vue de la votation du 21 mai bat son plein.

Les cantons doivent-ils dépenser des millions pour mieux accueillir les requérants d'asile mineurs non accompagnés? Oui, a estimé le Grand Conseil bernois, qui a voté récemment un crédit de 105 millions de francs à cet effet.

Mais un référendum des milieux proches de l'UDC a abouti: les Bernois se prononceront donc le 21 mai sur ce crédit.

La campagne a véritablement démarré: après la conférence de presse des partis soutenant le crédit, puis vendredi celle du comité référendaire, les partis jeunes, qui regroupent toutes les formations sauf l'UDC, se sont à leur tour exprimés lundi.

Centres spécialisés pour les mineurs

Le Grand Conseil bernois avait largement dit oui à ce crédit de 105 millions pour les quatre ans à venir, censé assurer aux requérants mineurs un accueil adapté.

Berne, comme d'autres cantons, a décidé de les héberger dans des centres spécialisés. Il y va de la protection de l'enfance, telle que définie par l'ONU et que la Suisse s'est engagée à garantir, selon le Grand Conseil.

Jeunes "à traiter comme des adultes"?

Or, les montants alloués par la Confédération ne suffisent pas à accueillir convenablement ces mineurs non accompagnés, raison pour laquelle Berne veut engager des millions supplémentaires, à l'instar d'autres cantons.

L'UDC s'y oppose, jugeant que les solutions bernoises sont trop luxueuses, qu'elles grèvent les caisses de l'Etat et saignent le contribuable, alors que le canton ne cesse de lancer de nouveaux programmes d'économies.

"Faciliter l'intégration"

Le comité référendaire estime que ces mineurs non accompagnés doivent être traités comme des adultes: dans leur pays d'origine, ils seraient "mariés depuis longtemps" et "gagneraient leur vie", selon les référendaires, on peut donc les intégrer dans les centres pour requérants adultes.

"Faux!", rétorquent tous les autres partis, qui soulignent que la plupart de ces jeunes resteront en Suisse, et qu'il faut donc tout faire pour faciliter leur intégration.

Alain Arnaud/kkub

Source RTS

France: Un fiché S encadrait les mineurs d’un foyer

En août, France Bleu révèle qu'un jeune homme de 24 ans a été licencié du foyer pour jeunes dans lequel il travaillait, à Caen. Son employeur a découvert qu'il était fiché S et mis en examen pour s'être rendu en Syrie.

Depuis décembre 2015, cet homme de 24 ans est mis en examen, avec son frère, âgé de 21 ans, pour "association de malfaiteurs en vue de préparer un acte de terrorisme". Ces deux habitants d'Hérouville-Saint-Clair, dans le Calvados, sont suspectés de s'être rendus en Syrieen 2014.

France Bleu révèle ce mardi matin qu'alors même qu'il était mis en examen, le jeune homme de 24 ans, qui est également fiché S, a travaillé de nuit dans un foyer pour jeunes de Caen. De juillet 2015 à août dernier, il a été engagé en CDD pour surveiller sept jeunes dans ce foyer d'une association pour la sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence (ACSEA).

Une soirée d'hommage à un djihadiste mort

Ses employeurs n'étaient pas au courant de sa situation judiciaire, car le jeune homme, qui a dû présenter un extrait de son casier, n'a jusqu'ici jamais été condamné. Son contrat a pris fin lorsque, en août dernier, le Normand a été arrêté chez lui, avec son frère.

Ils n'auraient pas respecté leur contrôle judiciaire, qui, selon France 3, les astreignait à ne pas entrer en contact avec certaines personnes de leur entourage. D'après la chaîne, les deux frères sont aussi poursuivis pour avoir rendu hommage à un djihadiste mort en Irak, lors d'une soirée. Un juge antiterroriste de Paris a demandé leur placement en détention, mais les deux hommes ont finalement été laissés libres. 

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Les mariages forcés en hausse en Suisse: Les mariées mineures sont érythréennes, somaliennes, irakiennes, afghanes et syriennes

Les autorités constatent un nombre croissant de cas de mineurs mariés avant leurs 16 ans. Certains ne sont que des enfants.

De 2005 – année de création du centre – jusqu’en 2015, seuls cinq cas avaient été découverts. Ces sept derniers mois, 26 victimes en dessous de 16 ans ont été signalées. Il y a l’histoire de cette Somalienne de 10 ans, qui, bien que fréquentant une école comme tous les enfants de son âge, a déjà été mariée.

Les mariées mineures proviennent en majorité des communautés érythréenne, somalienne, irakienne, afghane et syrienne installées en Suisse.

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Suisse: Le nombre de mineurs arrivant sans famille explose.

Les cantons sont confrontés depuis plusieurs mois à une forte augmentation du nombre de requérants d’asile mineurs non accompagnés (RMNA). En août, la Suisse comptabilisait 244 nouvelles entrées, contre 37 en janvier. Genève a atteint le maximum de ses capacités. Même situation dans le canton de Vaud.

Pas d’abris PCi pour les mineurs

«La situation est extrêmement difficile dans tous les cantons. Tous les jours, on est obligé de chercher des solutions.

Un mineur reconnu sera traité différemment: il aura droit à un représentant légal, on attendra moins de précisions dans son récit, il sera souvent hébergé dans une structure spécifique. Surtout, il ne pourra pas être renvoyé dans le cadre d’une procédure Dublin: c’est le lieu où il se trouve qui fera foi et non le premier pays européen par lequel il est entré.

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