Le rappeur islamiste Médine éructe contre la Marseillaise qui “fait dégueuler” et crie “Allah akbar”.

Le rappeur Médine a publié une vidéo sur son compte Instagram en plein confinement. Il y a proféré des paroles anti-France et n’a pas hésité à crier un “Allah akbar”.

« Bientôt, je lève une victoire de la musique. Et je commence mon discours par ‘Allah Akbar’ ». En plein confinement, le 3 mai dernier, il s’est filmé à son domicile pour présenter un morceau encore très offensant. Le rappeur Médine a déblatéré des propos à connotations islamistes notamment en employant les mots « Allah akbar» mais aussi en injuriant la France. Il déclare clairement : « La Marseillaise, même en Gospel, ça fait dégueuler. » En second plan, on peut voir écrit derrière lui ‘Happy Ramadan’.

[...]

Valeursactuelles.com

L’ASVI s’oppose à la venue du rappeur de Haine Médine à Neuchâtel le 30 novembre

Communiqué de l'Association Suisse Vigilance Islam

Chers lecteurs des Obs, chers sympathisants,

Médine est un rappeur de haine dont certains textes sont des appels explicites à la haine des Blancs et à leur meurtre. 

Comme vous le savez peut-être, notre association a réussi obtenir en octobre que la municipalité de Lausanne impose des contraintes sans précédent au rappeur pendant son concert aux Docks le 27.10:

-engagement formel de sa part à respecter le Code pénal suisse, notamment les articles 261bis (contre la  discrimination raciale) et 259 (contre les appels aux meurtres)

-présence d'inspecteurs de police dans la salle pour vérifier que le rappeur tient parole

-enregistrement du concert

Tout ceci est documenté sur notre page d'accueil:

http://www.vigilanceislam.com/ 

et dans cet article:

https://www.rtn.ch/rtn/Actualite/Culture/Lausanne-refuse-d-interdire-le-concert-de-Medine-aux-Docks.html

Une pétition électronique que nous soutenons contre sa venue à Neuchâtel a déjà récolté environ 1100 signatures.

https://www.change.org/p/violaine-blétry-de-montmollin-non-à-la-venue-du-rappeur-médine-à-la-case-à-chocs-de-neuchâtel-le-30-novembre-2018

Par ailleurs, nous avons écrit à Mme Blétry-de Montmollin, responsable de la sécurité de Neuchâtel. Nous lui demandons l'interdiction du concert ou, au moins, l'imposition des mêmes contraintes qu'à Lausanne:

http://www.vigilanceislam.com/images/Actions/Lettre-ASVI-Neuchatel.pdf

En copie de cette lettre se trouve un certain nombre de personnalités dont M. Alain Ribaux, responsable Sécurité du canton de NE.

Nous sollicitons votre aide pour diffuser cette lettre et la pétition.

Tous ensemble, nous devons faire pression sur les autorités pour que, au moins les mêmes contraintes qu'à Lausanne soient imposées à Médine à Neuchâtel.

Nous comptons sur vous.

Avec nos meilleurs messages,

Comité ASVI

http://www.vigilanceislam.com/

https://twitter.com/vigilanceislam

https://fr-fr.facebook.com/Association-Suisse-Vigilance-Islam-793113944144556/

https://www.youtube.com/channel/UCHGArMIGJqw8m9bRaA211pA

Médine au Bataclan : les concerts du rappeur ont été transférés au Zénith de Paris

Les concerts du rappeur Médine, prévus au Bataclan les 19 et 20 octobre prochains, auront finalement lieu au Zénith de Paris, le 9 février 2019. La salle de concert parle d'«une volonté d'apaisement», le rappeur d'une décision «douloureuse».

Les concerts de Médine au Bataclan n'auront pas lieu. Un communiqué de la salle a annoncé ce 21 septembre que les concerts du rappeur étaient reportés et transférés «dans une autre salle parisienne».

«Médine et Le Bataclan ont décidé, dans une volonté d'apaisement, que les concerts initialement prévus au Bataclan, les 19 et 20 octobre 2018, soient reportés dans une autre salle parisienne. Nous espérons ainsi que Médine pourra accueillir son public dans les meilleures conditions qui soient», peut-on lire dans le communiqué.

Dans un tweet publié le même jour, le rappeur a fait part de la nouvelle du report de ses concerts, évoquant une décision «douloureuse». Il a également annoncé que c'est au Zénith de Paris qu'il donnera son prochain concert parisien, le 9 février 2019.

 

 

Plus tôt dans la journée, l'un des avocats des victimes de l'attentat du 13 novembre avait demandé l'ouverture d'une enquête contre le rappeur qui devait se produire en octobre au Bataclan, arguant que les paroles de plusieurs de ses chansons incitaient à la haine, la discrimination et la violence. «Je pense qu'une enquête doit être diligentée et que des poursuites doivent être engagées», a-t-il déclaré.

Depuis juin, la polémique ne cessait d'enfler. D'abord dénoncée sur les réseaux sociaux, puis reprise par des personnalités politiques de droite, la programmation de deux dates du rappeur Médine au Bataclan avait suscité de vives réactions. En cause notamment, les textes de certaines de ses chansons qui vilipendent la laïcité, ainsi que ses liens avec une association qui donne la parole à des prédicateurs islamistes. Un pedigree jugé incompatible avec la tenue d'un concert dans une salle désormais devenue l'un des symboles de la barbarie djihadiste en France.

Ses détracteurs dénonçaient principalement les paroles de la chanson Don't laïk, dont le clip a été diffusé en 2015 : «Crucifions les laïcards comme à Golgotha», «Si j'applique la Charia les voleurs pourront plus faire de main courante», «Marianne est une femen tatouée "Fuck God" sur les mamelles» ou encore «J'mets des fatwas sur la tête des cons».

Face aux critiques, le rappeur, qui assume une ligne provocatrice en tant qu'artiste, avait toutefois déjà reconnu avoir eu «la sensation d’être allé trop loin». Dans une interview accordée aux Inrocks en mars 2017, il déclarait ainsi : «La provocation n’a d’utilité que quand elle suscite un débat, pas quand elle déclenche un rideau de fer. Avec Don’t laïk, c’était inaudible et le clip a accentué la polémique. J’ai eu la sensation d’être allé trop loin.»

RT

Appel de 100 patriotes : pas de Médine au Bataclan, au nom du respect dû à nos morts

Tout est parti d’une mobilisation des Français sur les réseaux sociaux. La venue de Médine, rappeur islamiste, au Bataclan a été violemment critiqué. Puis, Patrick Jardin, père d’une des victimes du terrorisme islamiste, a appelé « à empêcher le crachat à la mémoire des victimes du Bataclan ».
Récemment, cinq associations patriotes (CNRE, Ligue du Midi, Résistance républicaine, Riposte laïque et SIEL) ont décidé de lancer un appel patriote à soutenir la démarche de Patrick Jardin, avant d’être rejoints par 100 signataires issus de divers horizons (politique, médias, société civile …).

L’appel de Patrick Jardin à empêcher le crachat à la mémoire des victimes du Bataclan nous a bouleversés. Nous ne pouvions pas laisser ce père éploré crier dans le désert et se retrouver seul, le 19 octobre au soir, face à Médine, face aux 1 500 spectateurs indifférents à la tragédie du 13 novembre 2015. 

Alors, les courriels et coups de fil ont été nombreux entre les responsables de 5 associations patriotes, CNRE, Ligue du Midi, Résistance républicaine, Riposte laïque et SIEL et nous avons décidé de lancer un appel patriote à soutenir la démarche de Patrick Jardin.

Le voici, ci-dessous. Nous avons passé 48 heures assez folles à faire circuler notre projet de texte pour trouver les 100 patriotes qui le signeraient, qui en feraient la promotion et le feraient connaître de leur famille de pensée. Elles sont toutes représentées, sauf celles qui n’ont pas voulu répondre à l’appel.

Nous voulions que chaque Français puisse se reconnaître dans cette Union des Patriotes qui se lève pour empêcher l’inimaginable, Médine chantant devant les corps encore chauds des victimes de terroristes islamistes.

Au 19 octobre devant le Bataclan ! 

Pas de Médine au Bataclan, au nom du respect dû à nos morts

Le 13 novembre 2015, une série d’attentats islamistes causaient, dans différents points de Paris, la mort de 130 personnes dont 89 seront exécutées, de manière barbare, au Bataclan. Des centaines d’autres resteront handicapées et traumatisées à vie.

Presque trois ans plus tard, cette salle de spectacle, qui appartient au Groupe Lagardère dont le Qatar est à présent le principal actionnaire, a osé proposer au rappeur islamiste Médine d’y tenir un spectacle, les 19 et 20 octobre prochains. Ce « chanteur » n’hésite pas à prôner ouvertement, sur des photos, le djihad, avec un sabre, appelle dans ses chansons, à crucifier les laïcards, se vante de « fêter les émeutes comme tu fêtes la Toussaint », avec des paroles ouvertement racistes et haineuses.

Cette insulte à la mémoire des victimes, à la souffrance de leur famille, cette provocation malsaine à l’encontre de la France et de ses morts innocents ne paraît pas émouvoir notre gouvernement. Pourquoi pas des concerts de Médine à Nice, à l’église de Saint-Étienne-du-Rouvray, à Magnanville, et partout où les coreligionnaires de Médine ont tué ? Qui pourrait accepter que des adeptes de l’idéologie d’Adolf Hitler osent monter un spectacle à Oradour-sur-Glane ?

Les Français, durement touchés dans leur chair par une série d’attentats sanglants et par de multiples agressions au camion, à la voiture, au couteau ou à la kalachnikov, ne peuvent accepter ce nouveau défi des islamistes qui, à cette occasion, testent les capacités de résistance de notre nation.

Si les « Gaulois » acceptent cela, sans réagir, la France sera la risée du monde, et nos compatriotes devront accepter bien d’autres humiliations par la suite. Ce nouveau défi est intolérable. Il est temps de mettre un coup d’arrêt à ce funeste scénario.

Au-delà de nos différences, nous appelons tous nos compatriotes à se rendre disponibles pour montrer, par leur présence massive devant le Bataclan, que la France n’est pas prête à se laisser humilier par Médine et ses complices islamistes, sur son propre sol.

Il en va de l’honneur des Français.

Tous devant le Bataclan, le 19 octobre à 18 heures.

Patrick Jardin, père de Nathalie, assassinée au Bataclan le 13 novembre 2015.

Henry Afonso, président de l’Union Gaulliste
Robert Albarèdes
, maire honoraire de Gréasque
Bernard Antony, président de l’Agrif et de Chrétienté-Solidarité
Anne Bastide, Ligue du Midi, Femmes en colère
Thomas Bégué, responsable du Bar associatif le Menhir-Bordeaux
Caroline-Christa Bernard, adhérente d’une Association des Victimes du Bataclan
Martial Bild, directeur de la rédaction et des programmes de TV-Libertés
François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service politique
Jean-Claude Blanchard, conseiller municipal FN de Saint-Nazaire, conseiller régional Pays-de-Loire
Hugues Bouchu, Président des Amis Franciliens de Synthèse Nationale
Paule Bouvard, militante de la Ligue du Midi et du Cercle des Citoyens Patriotes
Thierry Bouzard, musicologue
Gérard Boyadjian, cinéaste, acteur
Gérard Brazon, ancien conseiller municipal de Puteaux
Claude Brovelli, ancien journaliste de la télévision française
Franck Buhler, membre Fondateur du Mouvement pour la France, Président du Conseil Départemental de la Résistance 82
Renaud Camus, écrivain, président du CNRE
Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque
Erick Cavaglia Administrateur Ligue du Midi Gard
François Célier, pasteur et écrivain
Jean-François Cerisier, lieutenant-colonel en retraite
Georges Clément, écrivain, président du Comité Trump
Jacques Clostermann, pilote de ligne
Christian Combaz, écrivain
Jean-Christophe Comet, fonctionnaire
Dan Corbet, trésorier de Résistance républicaine
Paul-Marie Coûteaux, écrivain
Gérard Couvert, Conseiller national Debout La France
Emmanuel Crenne, conseiller régional RN Occitanie
Hervé Cuesta, président d’une association d’Anciens Combattants
Jean-Michel Darqué, Ligue du Midi de Toulouse
Raphaël Delpard, Cinéaste et romancier
Charles Demassieux, écrivain
Alain de Peretti, président de Vigilance Halal
Henri Dubost, patron du Libre Journal de l’Identité à Radio Courtoisie
Ghislaine Dumesnil, conductrice de bus, présidente des Editions Riposte Laïque
Guillaume de Thieulloy, directeur du Salon Beige
Serge Federbusch, Ancien élu de Paris
Pierre Fortin, responsable de Résistance républicaine du Var
François Galvaire, président de la Meute-France
François Gaubert, général, conseiller régional RN en Occitanie
Jacques Ghedin, trésorier de Résistance républicaine
Philippe Gibelin, Président Nationalité-Citoyenneté-Identité
Jean-Cyrille Godefroy, éditeur
Jacques Guillemain, ancien officier de l’Armée de l’Air
Roland Hélie, président de Synthèse nationale
Véronique Hervouet, écrivain, psychanalyste, vice-présidente du Siel
Pascal Hilout, né Mohamed, Résistant à l’islamisation de la France
Fanny Idoux, ex-Truchelut, professeur de danse historique
Sébastien Jallamion, ancien policier
François Jay, président du Siel Bordeaux
Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France
Jean Lafitte, Chevalier de la Légion d’honneur, Commissaire colonel de l’Armée de l’Air en retraite
Bruno Lafourcade, auteur
Carl Lang, président du Parti de la France
Ronan Le Gall, porte-parole d’Adsav (Parti du peuple breton)
Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia
Nathalie Le Guen, conseillère régionale Nouvelle Aquitaine, conseillère municipale de Bègles
Hubert Lemaire, auteur
Christian Le Scornec, ancien conseiller régional Ile-de-France
Dominique Lescure, Administrateur Bloc Identitaire
Les Brigandes, groupe musical
Yves Maillard, capitaine de vaisseau honoraire
René Marchand, journaliste, écrivain
Éric Martin, Nouvelles de France
Samuel Martin, rédacteur-en-chef du quotidien Présent
Marcel Meyer, membre du CNRE
Nicole Mina, conseillère régionale Rassemblement national
Minurne Résistance, site patriote
Françoise Monestier, journaliste, secrétaire générale de Polemia
Claire Navarro, administrateur Cercle algérianiste Rhône-Ardèche
Karim Ouchikh, président du Siel, conseiller régional Île-de-France
Lucien Samir Oulahbib, auteur, enseignant, Président de resiliencetv.fr
Guy Pagès, prêtre
Caroline Parmentier, journaliste au quotidien Présent
Frédéric Pichon, avocat, vice-président du Siel
Gérard Pince, économiste, essayiste, président de la free world academy
Christian Piquemal, général, président du Cercle de Citoyens Patriotes
Guy Rolland,

France : Le groupe “AFO”, en lutte contre le péril islamiste projetait d’assassiner le rappeur Médine

Rappel :

Le rappeur Médine, qui fait l’apologie de l’islam, sera en concert au Bataclan.

**********

 

Trois nouveaux suspects ont été interpellés ce lundi et placés en garde à vue dans l'enquête sur les activités du groupe d'ultradroite "AFO" soupçonné par la justice de vouloir attaquer des cibles liées à l'islam radical.

Le précédent coup de filet datait du mois de juin. Il visait le groupuscule d’ultradroite "Actions des forces opérationnelles" (AFO), se disant en lutte "contre le péril islamiste", et dix de ses membres présumés dont son probable chef de file, un policier à la retraite qui entendait "durcir l'action" du groupe ont été mis en examen pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle". Ce lundi, trois nouveaux suspects ont été interpellés et placés en garde à vue à 6h du matin, dans le cadre de cette même enquête, à la demande du juge antiterroriste en charge du dossier.

Selon nos informations, il s’agit d’un homme, né en 1966, interpellé à Garches (Hauts-de-Seine), et de deux femmes, l'une née en 1963 et interpellée à Sevran (Seine-Saint-Denis), l'autre née en 1940 et arrêtée à Nanterre (Hauts-de-Seine). Le principal suspect est le premier, ancien membre du groupuscule Volontaires pour la France (VPF), passionné de stratégies militaires, se disant lui aussi "survivaliste , et soupçonné d’avoir aidé à la fabrication de produits explosifs. Les deux femmes ne sont toutefois pas en reste : elles auraient assisté à toutes les réunions du groupuscule, ainsi qu’à certains entraînements.

Jusqu’alors, seul un projet d’AFO était connu : la fameuse "opération Halal", consistant à empoisonner de la nourriture halal dans des supermarchés fréquentés par des musulmans. Nous sommes désormais en mesure d’en révéler deux autres : l’assassinat de l’islamiste radical Djamel Beghal à sa sortie de prison (survenue la semaine dernière, avant son expulsion vers l’Algérie), et celui du rappeur Médine, récemment au centre d’une polémique liée à la programmation de deux de ses concerts au Bataclan.

Pour mémoire, en juin, trente-six armes à feu et des milliers de munitions avaient été retrouvées lors de perquisitions chez des suspects, y compris des éléments entrant dans la fabrication d'explosifs de type TATP. Des investigations lancées mi-avril par le parquet avaient, en outre, permis aux policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), qui mènent cette enquête, d'établir que des membres "cherchaient à se procurer des armes" et que certains "avaient testé des explosifs et des grenades de confection artisanale". Les gardes à vue en cours peuvent durer jusqu’à 96 heures.

Source LCI Via eldorhaan.wordpress

Nos remerciements à Victoria Valentini 's back

France. Islam : Le rappeur Médine est étudié dans les manuels scolaires pour les élèves de terminale

Un extrait d’une chanson de Médine apparaît dans un manuel scolaire d’Histoire destiné aux élèves de terminale.

Apparaître dans un manuel scolaire et être étudié par des élèves. N’est-ce pas la plus belle consécration pour un artiste et encore plus pour un rappeur ? Médine l’auteur du sublime album Prose Acérée, a reposté un tweet d’une élève qui a photographié la page de son manuel d’Histoire, en y ajoutant la légende : “Est-ce que c’est ça rentrer dans l’Histoire ?” On confirme, c’est bien cela.

 

 

Médine rentre dans l’Histoire

Une page entière (dans la partie Guerre d’Algérie) est consacrée à l’apprentissage du texte de son morceau “17 octobre”, un texte fort et engagé qui traite du massacre du 17 octobre 1961, issu de son album Table d’écoute paru en 2006.

Le 17 octobre 1961 à Paris, sous les ordres des hautes autorités, a eu lieu une répression sanglante qui a causé de nombreuses interpellations, ainsi que des morts de manifestants, principalement algériens. Cet épisode douloureux, Médine a choisi de le raconter à sa manière. Avec la force, le storytelling et l’engagement qu’on lui connaît. Réécoutez ou découvrez le morceau ci-dessous, avec les paroles de nos confrères de Genius, c’est mieux !

(...)

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

Médine et son album “Jihad” pas les bienvenus au Bataclan, dénoncent Le Pen et LR

Des élus de droite se mobilisent sur les réseaux sociaux contre les deux concerts que doit donner le rappeur en octobre.

Partie des milieux identitaires qui avaient très largement oeuvré à l'annulation du concert de Black M à Verdun, l'indignation s'est étendue aux hautes sphères du Front national et du parti Les Républicains. Ces samedi 9 et dimanche 10 juin, plusieurs élus et responsables de la droite et de l'extrême droite se sont vivement opposés aux deux concerts que doit donner le rappeur Médine en octobre au Bataclan à Paris.

A l'origine de leur courroux: les paroles délibérément provocatrices du rappeur qui avait signé un album intitulé "Jihad, le plus grand combat est contre soi-même" en 2005 ainsi qu'un titre "Dont Laïk" dans lequel il s'en prenait à l'hypocrisie de la laïcité, déclarant notamment "Crucifions les laïcards comme à Golgotha".

 

"J'ai toujours utilisé la provocation comme un 'piège positif'. L'idée est d'amener les gens par la provocation", assumait le rappeur en 2015 aux Inrocks. Depuis, celui-ci a mis de l'eau dans son vin. "La provocation n'a d'utilité que quand elle suscite un débat, pas quand elle déclenche un rideau de fer. Avec 'Don't laïk', c'était inaudible, et le clip a accentué la polémique. J'ai eu la sensation d'être allé trop loin", expliquait-il en 2017. Récemment, Médine a sorti un titre très consensuel dans lequel il exprime son rêve de pouvoir jouer au Bataclan. Mais plusieurs élus ont juré qu'ils feraient tout pour l'en empêcher.

"Aucun Français ne peut accepter que ce type aille déverser ses saloperies sur le lieu même du carnage du Bataclan. La complaisance ou pire, l'incitation au fondamentalisme islamiste, ça suffit!", a réagi sur Twitter la présidente du Rassemblement national (ex-FN) Marine Le Pen en reprenant les arguments de ses proches.

 

 

"Laisser un rappeur islamiste, qui se revendique 'islamo-racaille' et reprend l'imagerie du jihad, se produire au Bataclan: la dernière provocation en date. Pour l'honneur des victimes du 13 novembre, hors de question de laisser faire!", s'est indigné le sénateur FN des Bouches-du-Rhône Stéphane Ravier. "Notre mobilisation a stoppé la venue de Black M à Verdun, levons-nous tous pour faire barrage au concert de Médine au Bataclan. Pas de scène pour l'islamisme!", avait dénoncé auparavant l'élu régional Julien Odoul. "Une provocation inadmissible. Les familles des victimes ne sont pas respectées...", a enfin estimé de son côté le maire de Béziers, Robert Ménard.

Un temps cantonnés à l'extrême droite, ces arguments ont depuis été repris par des cadres du parti Les Républicains, dont le sénateur Roger Karoutchi ou encore la députée Valérie Boyer

Proche de Laurent Wauquiez, le député des Alpes-Maritimes Eric Ciotti en appelle à l'arbitrage d'Emmanuel Macron. "Si la liberté d'expression est un droit fondamental, il y a des symboles qui ne peuvent être profanés. Je demande au Président Emmanuel Macron d'interdire ce concert", indique l'élu dans un communiqué.

Source

Le rappeur Médine, qui fait l’apologie de l’islam, sera en concert au Bataclan.

Alors que Médine se produira à deux reprises en octobre au Bataclan, lieu d'une tragédie lors des attentats de Paris, une vague d'indignation s'est emparée des réseaux sociaux. L'artiste est en effet connu pour ses paroles particulièrement violentes.

Si la liberté d'expression est un droit fondamental, il y a des symboles qui peuvent aussi choquer. Ainsi, le rappeur Médine se produira les 19 et 20 octobre sur la scène du Bataclan, l'un des théâtres du drame des attentats de Paris en novembre 2015. Après l'annonce d'une deuxième date en avril dernier, les réseaux sociaux ont montré leur indignation sur la venue de Médine. Ce 8 juin, plusieurs internautes ont de nouveau relancé la polémique évoquant un «malaise» pour certains, un problème de «décence» pour d'autres.

 

Voici l'une de ses chansons:

"Crucifions les laïcards comme à Golgotha" "Si j'applique la Charia les voleurs pourront plus faire de main courante" "J'mets des fatwas sur la tête des cons"

 

 

 

 

Pourquoi ces concerts suscitent-ils la polémique ? Avant la tragédie de Charlie Hebdo en janvier de la même année, l'artiste avait écrit une chanson, «Don't laïk» (non laïque), dans laquelle il tenait des propos agressifs : «Crucifions les laïcards comme à Golgotha», «si j'applique la Charia les voleurs pourront plus faire de main courante», «Marianne est une femen tatouée "Fuck God" sur les mamelles» etc.

Médine évoque des fatwas à mettre sur la tête des cons et cite le nom de Pierre Cassen créant alors la polémique car la France vient d’être frappée par l’attentat de Charlie Hebdo. Enfin, en 2017,dans son titre « Grand Paris », le rappeur Médine insulte ouvertement les femmes françaises en les traitant de « Crasseuses de Souche ».

Le rappeur s'était expliqué en 2015, précisant que sa chanson était «une caricature tendue aux fondamentalismes, une caricature qui singe à la fois ceux qui font de la laïcité un outil d’exclusion, et à la fois ceux qui la subissent et l’expriment à travers une réaction d’hyper-identification de circonstance».

Malgré tout, Médine déchaîne encore les passions, notamment lorsqu'il annonce que ses concerts parisiens sont bientôt complets.

Source

Resistancerepublicaine.eu