Pendant que Martin Schulz parle de Barcelone, les femmes socialistes se marrent (Vidéo)

Pendant que Martin Schulz parle de Barcelone, les femmes socialistes se marrent

 

Le candidat socialiste s'est fendu d'un long discours, fort ennuyeux, pour commenter l'attentat islamique de Barcelone. Pour cela, il s'est fait accompagner de politiciennes socialistes, qui derrière son dos n'ont pu s'empêcher de gesticuler et de sourire, entre autres la présidente du groupe parlementaire socialiste au Bundestag, Eva Högl. La vidéo de cette intervention ratée fait maintenant le tour de l'Allemagne.

 

 

 

http://www.bild.de/politik/inland/spd/frau-kann-sich-bei-barcelona-trauer-nicht-beherrschen-52917614.bild.html

 

Traduction (Claude Haenggli) : Que s'est-il passé chez la députée Eva Högl ? Réponse de la candidate au Bundestag pour Berlin : "Aucun de ceux qui se trouvaient derrière notre président du parti et candidat à la chancellerie Martin Schulz lors de sa conférence de presse ne pouvait tout d'abord se rendre compte qu'il parlait de Barcelone".

Claude Haenggli, 20.8.2017

 

Tsunami allemand – Papa Schulz tiendrait-il la main aux ultra-gauchistes ?

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Michel Garroté - Le parti allemand ultra-gauchiste et radical Die Linke est l'héritier du SED, l'ancien parti communiste de la RDA (la DDR, Allemagne de l'Est). Die Linke est aussi un "refuge politique" pour les anciens agents de la Stasi, police politique de sinistre mémoire, équivalent est-allemand du KGB. Bref, Die Linke, c'est l'addition des islamo-gauchiste, du SED et de la Stasi, un cocktail explosif dont les Allemands n'ont vraiment pas besoin, et, l'on peut espérer, qu'il ne se tourneront jamais -- en grand nombre -- vers cette "ultra-linke Linke" (ultra-gauche La Gauche) ou vers une alliance Martin Schulz - Die Linke.
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Or, il semblerait (allez savoir...) que Martin Schulz (Papa Schulz pour les Kameraden), du parti social-démocrate SPD, tend la main à ces gauchistes radicaux, en vue des élections législatives du 24 septembre prochain, d'où sortira le nouveau Chancelier allemand et son gouvernement (ou la Chancelière allemande Angela Merkel - Mutti Merkel - et son gouvernement démocrate-chrétien CDU-CSU).
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Martin Schulz est le candidat du parti social-démocrate SPD, mais lui même n'est pas social-démocrate. Martin Schulz est socialiste, ou, si l'on préfère, il est membre de l'aile gauche du SPD. Plus précisément, Martin Schulz est très à gauche. On peut le comparer à Benoît Hamon, ou tout au moins, moi je le compare à Benoît Hamon, n'en déplaise à certains.
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Un gouvernement Papa Schulz - Die Linke serait un désastre en matière économique avec du socialo-communisme à cent pour cent et en matière de politique étrangère, qui deviendrait islamo-gauchiste, islamophile à cent pour cent (donc encore plus islamophile que Mutti Merkel), palestinophile à cent pour cent, américanophobe à cent pour cent et israélophobe (pour ne pas dire judéophobe) à cent pour cent, bref, un désastre pour la politique allemande au Proche et au Moyen Orient, et, un désastre pour la politique allemande vis à vis de Donald Trump et donc vis à vis des USA.
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Pascale Hugues, correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point' raconte (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Sarah Wagenknecht, la tête de file de Die Linke, le parti à la gauche de la gauche allemande, promet de ne pas mettre de bâtons dans les roues du candidat social-démocrate Martin Schulz, à condition que celui-ci s'engage à donner un grand coup de volant à gauche. Die Linke abat ses cartes : « Si le SPD s'engage sérieusement à mener une politique plus sociale, ce n'est pas à cause de nous que ce projet échouera ». C'est ce qu'a fait savoir Sarah Wagenknecht, ouvrant ainsi la voie à une éventuelle coalition SPD-Die Linke-Verts au pouvoir à Berlin à l'issue des élections du 24 septembre prochain.
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L'annonce du candidat social-démocrate de corriger l'Agenda 2010, les vastes réformes de l'État-providence mises en place par l'ancien chancelier SPD Gerhard Schröder, est interprétée par Sarah Wagenknecht comme une main tendue. En effet, Die Linke n'a eu de cesse au cours des dernières années de dénoncer les réformes Schröder qui, selon le parti, creusent les inégalités entre riches et pauvres et accroît la précarité en Allemagne. Soucieux de rallier l'aile gauche du SPD qui avait massivement quitté le navire à cause de l'Agenda 2010, Martin Schulz vient d'annoncer qu'il souhaitait en particulier revenir sur la fameuse disposition Hartz IV, qui limite drastiquement l'allocation des chômeurs en fin de droits [ndmg - Pascale Hugues, correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point', serait-elle une "fan" de Die Linke ?].
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« Si nous étions en mesure de réinstaurer l'État social et de mener une politique étrangère pacifiste, nous ferions volontiers partie du prochain gouvernement. Dans ces conditions, une coalition de centre gauche est possible », affirme Sarah Wagenknecht. Pour celle qui a longtemps appartenu à l'aile radicale de Die Linke opposée à tout compromis, cette prise de position équivaut à une profession de foi de réalisme [ndmg - aile radicale de Die Linke qui elle-même est ultra-radicale, je crois que Pascale Hugues rêve les yeux ouverts]. « On peut faire bouger les choses quand on est dans l'opposition », dit-elle, tout en reconnaissant : « Bien sûr, on a les coudées plus franches pour agir quand on est au gouvernement ». Pour cela, Sarah Wagenknecht demande à Martin Schulz des preuves de son engagement : il doit concrétiser son projet encore trop vague sur de nombreux points et surtout annoncer la couleur : est-il prêt, lui aussi, à envisager une coalition avec Die Linke ?
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Avant l'arrivée providentielle [ndmg - Providentielle ? C'est un Messie temporel, Papa Schulz ?] de Martin Schulz sur la scène politique allemande, le SPD plafonnait autour de 20% des suffrages aux élections et était peut-être en passe de devenir la troisième force politique du pays après la CDU et l'AfD, le nouveau parti populiste. Si des alliances et des coalitions SPD-Die Linke fonctionnent déjà au niveau municipal et régional, jamais Die Linke n'a fait l'appoint des voix pour former une coalition au gouvernement fédéral à Berlin. La palette de couleur rouge-rouge-vert serait une expérience nouvelle. Cependant, même si ces trois partis s'accordent à unir leurs forces, il n'est pas sûr qu'ils parviennent à réunir suffisamment de voix pour décrocher une majorité. À sept mois des élections, les sondages divergent sur ce point.
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Martin Schulz, en revanche, poursuit sa montée en flèche. Pour la première fois depuis plus de dix ans, le SPD double la CDU d'Angela Merkel au 'Deutschland Trend', le baromètre de la première chaîne de télévision AFD jugé particulièrement fiable [ndmg - Pas AFD, mais ARD, chère Pascale Hugues ; première chaîne de télévision ARD qui est tellement à gauche que son 'Deutschland Trend' n'est vraiment pas crédible]. Le SPD gagne 4 points et arrive à 32 % des intentions de vote. La CDU, par contre, perd 3 point et passe à 31%. Les saillies de Martin Schulz contre l'Agenda 2010 semblent avoir joué à son avantage. 65% des personnes interrogées souhaitent, comme le promet Schulz, que la durée de l'allocation chômage soit allongée [ndmg - 65% selon la chaîne de télévision gauchisante ARD et son 'Deutschland Trend' bidon]. Seulement 29% ne sont pas d'accord, ajoute la brave Pascale (Hugues), correspondante à Berlin de l'hebdo parisien de centre-gauche 'Le Point' qui avec cet article pascalinien vire à gauche, très à gauche (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.lepoint.fr/europe/allemagne-la-main-tendue-de-martin-schulz-a-die-linke-25-02-2017-2107527_2626.php
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Pour Juncker et consorts : l’UE c’est fini ! Les peuples ne veulent plus d’eux !

Juncker, Schultz, Tusk, Mogherini et consorts ne veulent pas comprendre. Ils ne se sont toujours pas rendu compte, de la lame de fond qui est inexorable. L’Europe s’émiette tous les jours un peu plus.
Les dernières réunions au « sommet » ont démontré l’impuissance et la déloyauté des eurocrates.

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