L’ONU appelle les gouvernements « à promouvoir la régularisation des migrants en situation irrégulière »

Covid-19 : les Etats doivent protéger les droits des migrants (experts de l’ONU)

« Les droits des travailleurs migrants dans le monde, en particulier ceux des secteurs essentiels, doivent être garantis et des mesures doivent être prises pour protéger leur santé », ont déclaré mardi Can Ünver, Président du Comité des Nations Unies sur les travailleurs migrants, et Felipe González Morales, Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits humains des migrants.

« Des milliers de migrants sont actuellement bloqués aux frontières du monde entier, en Asie, en Afrique, dans les Amériques ou en mer sur les côtes de l’Europe », ont rappelé les experts, qui ont également annoncé la publication en ligne d’une note d’orientation commune sur les conséquences de la pandémie de Covid-19 sur les droits humains des migrants.

Dans leurs 17 lignes directrices publiées à l’intention des gouvernements, les experts exhortent les États à garantir les droits et la continuité des procédures pour les personnes ayant besoin d’une protection internationale, y compris l’accès à leur territoire, et les exhortent à poursuivre les opérations de recherche et de sauvetage des personnes en détresse en mer.

« Les gouvernements doivent garantir l’accès des migrants et de leurs familles aux services sociaux qui dans certains pays affichent les niveaux les plus élevés de contagions et de décès dus à la Covid-19 », ont-ils déclaré.

Les experts ont attiré l’attention sur la plus grande vulnérabilité des migrants en situation irrégulière ou sans papiers. « Ils occupent des emplois instables – généralement sans prestations, ni droit aux allocations de chômage – et, dans certains cas, ont été exclus des mesures d’assistance sociale mises en œuvre par les États », ont-ils déploré, non sans rappeler les contributions économiques importantes des migrants aux sociétés dans lesquelles ils vivent.

« Dans ce contexte, nous appelons les gouvernements à promouvoir la régularisation des migrants en situation irrégulière », ont-ils dit.

[…]

« Nous voulons alerter le monde sur le fait que l’impact de la pandémie de Covid-19 sur la capacité des migrants à travailler a déjà entraîné une baisse globale des envois de fonds envoyés à leurs familles dans leur pays d’origine, dont la survie dépend d’eux, ainsi que pour les pays où les envois de fonds sont l’une des principales sources de revenus de leur économie », ont-ils expliqué, soulignant que les familles luttent littéralement pour leur propre survie.

[…]

UN News

Via Fdesouche


Rappels :

Suède : Une agence de « contre-propagande psychologique » pour surveiller les opinions dissidentes

Ylva Johansson, commissaire européenne : « L’immigration ne doit être considérée que sous un angle positif. Les migrants font partie de nous. »

Amsterdam : La mosquée répond « habituez-vous » aux citoyens qui se plaignent des appels à la prière

La Commission européenne travaille à rendre le Pacte sur les migrations juridiquement contraignant

 

Marrakech : cinq jeunes risquent la prison pour avoir mangé pendant le ramadan

La police a procédé à l’arrestation de cinq jeunes dont deux filles qui fumaient en plein jour et en public à Marrakech. Il leur est reproché d’avoir violé le ramadan et le confinement.

Après leur arrestation, ces cinq jeunes, résidant au quartier El Mellah dans l’ancienne médina de Marrakech, ont été placés en garde à vue au commissariat du seizième arrondissement de police, rapporte Al Massae. Ils seront présentés devant le juge chargé des affaires de flagrant délit au tribunal de première instance de Marrakech. Leur procès se déroulera à distance en raison de la crise sanitaire liée au covid-19.

Les mis en cause seront poursuivis en vertu de l’article 222 du code pénal marocain. Cet article stipule que tout individu, connu pour son appartenance à l’islam et rompant ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le ramadan, est passible d’un à six mois d’emprisonnement et d’une amende. Ils seront également poursuivis pour violation du confinement imposé par les autorités afin de freiner la propagation du coronavirus dans le royaume.

Bladi.net

Nos remerciements à pierrebxl

 

France : Pour Noël, la ministre de l’Ecologie s’envole pour Marrakech et créé la polémique

Les individus de gauche continueront à profiter de tous les privilèges pendant que les Suisses seront assommés de taxes "écologiques".

Ceux qui ont les moyens culpabilisent ceux qui n’en ont pas de vouloir vivre comme eux. Ainsi, cette supercherie verte n’existe que pour asseoir la domination d’une certaine élite sur le reste de la société. Ce qui prouve bien que l’écologie politique n’est qu’une politique élitiste.

**********

La ministre de la Transition écologique et solidaire, Élisabeth Borne, a quitté l'Hexagone pour passer les vacances de Noêl en famille à Marrakech, au Maroc, rapporte Le Parisien ce mardi.

 

Son cabinet précise à BFMTV qu'elle s'est envolée "pour quelques jours" sur une ligne régulière, "intégralement à ses frais bien évidemment". Il avait déjà expliqué au Parisien qu'elle sera "intégralement à son bureau" la semaine prochaine. Dans l'intervalle, elle reste "en contact permanent" avec ses secrétaires d'Etat, et notamment Jean-Baptiste Djebbari, en charge des Transports.

 

[...]

Alors que les Français peinent à rejoindre leurs familles pour les fêtes de fin d'année, faute de trains disponibles, les vacances de la ministre au Maroc passent mal. "C'est un peu choquant", a notamment réagi Claude Goasguen, député Les Républicains de la 14e circonscription de Paris le 25 décembre sur France Info.

Bfmtv.com

Lausanne : L’employée sénégalaise vole les clients de la fiduciaire

M.S., 42 ans, a démarré sa carrière par de gros mensonges: ses certificats d’emplois et ses études aux Etats-Unis étaient bidons.

Cela ne l’a pas empêchée d’être embauchée dans le cabinet grugé et de gravir les échelons jusqu’à intégrer le comité de gestion et détourner le fameux million. Une fois pincée, la quadragénaire a passé 17 mois en prison préventive.

A sa remise en liberté, elle s’est volatilisée grâce à son passeport sénégalais. Aujourd’hui, elle vivrait à Dakar.

Source