Lausanne: Il se défend avec un poing américain contre des agresseurs maghrébins multirécidivistes, il est poursuivi par la justice

«Les enfants me montrent du doigt à cause de mes cicatrices, confie David*. J'ai déprimé. J'ai peur de sortir le soir. Je me méfie des étrangers. J’ai subi quatre à six mois de traitement.» Avec la justice. Agressé deux fois en quelques semaines à Lausanne, il a acquis deux poings américains et un couteau à cran d'arrêt. C’est en se défendant de deux agresseurs au couteau en novembre 2013 qu'il en a blessé un.

Les poings américains ont permis de résoudre une partie de l'affaire: du sang a tracé l'un des auteurs de l'agression, un Algérien détenu en Italie. Son complice, un Tunisien de 25 ans, a été arrêté alors qu'il tentait de rejoindre l'Italie en train. Il venait d’arriver d’Italie où il avait purgé des années de prison. Il avait aussi été condamné à Sion.

Durant la même nuit, avec son ami tout aussi illégal en Suisse, il a agressé trois personnes, dont David. «Ils étaient agressifs, menaçants. Je n'ai pensé qu'à ma survie», a raconté l'une des deux autres victimes.

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Vaud : Onzième condamnation pour un récidiviste en séjour illégal

Deux jours après sa sortie de prison, un jeune Maghrébin muni d’un hachoir avait agressé en novembre dernier une joggeuse dans un parc lausannois pour lui voler son iPhone. Le Tribunal correctionnel lui a infligé jeudi deux ans fermes .

«Je voulais vraiment un iPhone 6», a-t-il déclaré à la police. C’est sur celui d’une joggeuse occupée à rédiger un SMS sur un banc dans le parc de Valency, à Lausanne, qu’il jette son dévolu le 11 novembre dernier, vers 10h du matin.

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Genève: Le requérant d’asile agresse deux agents de sécurité du foyer de réfugiés des Tattes

Tout le multiculturalisme si cher à la gauche résumé dans cet article. Merci Sommaruga. Bien entendu, le fait que ces Maghrébins puissent aussi s'en prendre à des Suisses n'effleurent pas nos bien-pensants. Mieux, notre gouvernement n'a jamais trouvé de solution avec cette racaille si ce n'est de leur donner de l'argent pour qu'elle parte.

L’homme ne comprend pas pourquoi il se retrouve dans une cellule à la prison de Champ-Dollon. Dans sa tête, la victime, c’est lui et personne d’autre. Le 25 avril, ce requérant d’asile africain débouté rentrait dormir dans sa chambre au foyer des Tattes, à Vernier. Le chemin de ce ressortissant de Sierra Leone croise, selon son récit, celui «d’une bande de Maghrébins» qui lui en veut. Sans évoquer de mobile, il raconte lors de son audition à la police avoir été tabassé par ces cinq inconnus dans la rue. Une pluie de coups, décrit-il en substance.

 

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Genève. Une série d’agressions par des Maghrébins: La police demande de ne pas en faire une psychose.

Une série d'agressions terrorise un quartier.

Un groupe d'au moins trois personnes terrorise les résidents depuis plus d'un mois. Surtout les promeneurs de chiens. Au moins une dizaine d'entre eux s'est fait agresser.

"La police municipale nous demande de ne pas en faire une psychose. On croit rêver." s'exclame N. B.

P.R., lui a vécu la même mésaventure. En pire. "Un homme en capuche grise est passé derrière moi en me disant salut alors que je promenais mon chien. J'ai répondu mécaniquement, puis il m'a demandé du feu. Je lui ai expliqué que je ne fumais plus. Accompagné d'un complice, il a insisté et m'a tapoté la poitrine. Il a ensuite volé mon porte-monnaie à la manière "Zizou". Il devenait de plus en plus virulent et m'a décroché une droite en pleine face. J'ai saigné. J'ai essayé de le calmer. Il m'a insulté puis est parti."

Selon plusieurs sources, les deux acolytes sont des Maghrébins d'une vingtaine d'années liés au marché de la drogue. L'un est connu des services de police pour une interdiction d'entrée sur le territoire helvétique.

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