Kiel (All.) : Un Tunisien étrangle son ex-amie allemande alors que son bébé était à côté d’elle. « Elle a fait de mon fils un chrétien »

Acte de folie dans l'hôtel "Pelli-Hof" à Rendsburg : une mère (âgée de 28 ans) est étranglée à côté de son bébé.

Son assassin décrit le déroulement des événements de la nuit de sa mort dans sa chambre d'hôtel devant le tribunal régional de Kiel.

Le Tunisien Hamzar D. (25 ans, précédemment condamné pour crimes violents) et Ann-Kathrin K. s'étaient rencontrés dans une discothèque.

En juillet 2019, leur enfant, un garçon, est né. "Mais après la naissance, elle a changé", affirme Hamzar D. Dispute, séparation. Il se plaint que la mère lui a longtemps caché son fils, et qu'elle aurait alors fait de son fils un chrétien.

Les rencontres dégénèrent, il y a eu des coups et une interdiction d'entrer en contact. Néanmoins, les deux individus continuent de se rencontrer. Ils passent la nuit du 13 février dans une chambre d'hôtel, boivent de la vodka Red Bull - il déclare qu'ils ont fait l'amour. Puis leur enfant se réveille et crie. La mère quitte la chambre d'hôtel. Il prend soin de son fils. Il s'endort.

D. découvre des photos d'hommes sur le téléphone portable de son ex. Il devient fou, il essaie de se pendre dans la salle de bain avec sa ceinture. Il s'ouvre les veines et avale jusqu'à 70 comprimés.

Ann-Kathrin K. revient. Il y a une dispute. Il l'étrangle. "Je voulais juste qu'elle se taise." La femme s'effondre. D. essaie de la réanimer, appelle l'ambulance. La police arrête l'homme. Son bébé va être placé dans un foyer d'accueil.

La mère et la soeur de la victime se trouvaient dans la salle d'audience, choquées d'entendre le récit de la nuit du décès.

Le procès se poursuit le 14 août.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

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Kiel (All.) Un requérant d’asile débouté poignarde à mort une mère de 2 enfants. Il est déclaré irresponsable.

C'est la scène d'un film d'horreur : un homme a attaqué une mère de deux enfants avec un couteau et l'a poignardée 37 fois. La femme est morte des suites de ses blessures. Après le meurtre de Preetz, au sud-est de Kiel, l'auteur, âgé de 25 ans, a été condamné : Il sera placé dans un établissement psychiatrique fermé.

Lundi, le tribunal régional de Kiel a estimé qu'il était prouvé que le demandeur d'asile afghan avait tué la femme par au moins 37 coups de couteau.

"Plusieurs de ces coups ont été fatals", a déclaré le président Jörg Brommann. Par exemple, un coup de couteau dans le cerveau a saigné cette femme à mort. Le tribunal a qualifié le crime de sournois car l'homme est entré dans la maison de la femme sans qu'on le remarque, par une fenêtre de la cave, et l'a poignardée par surprise.

Schizophrénie paranoïaque : l'ex-soldat est considéré comme irresponsable

Le suspect ayant eu au moment du meurtre une poussée aiguë de schizophrénie paranoïaque, il est considéré comme irresponsable et ne peut pas être sanctionné. Etant donné qu'il représente une menace pour la société, il doit être placé de manière permanente en psychiatrie, a déclaré le président.

[...]

L'accusé est un ex-soldat. Il avait demandé l'asile mais sans succès. Lui et sa victime se sont rencontrés lors d'un anniversaire. Ils ont entretenu une relation durant un certain temps. [...]

"Il savait exactement ce qu'il faisait".

Selon le président, le crime montre "une volonté absolue de détruire dans le sens d'un meurtre ciblé et intentionnel". L'accusé "savait exactement ce qu'il faisait et a vu ce qu'il avait fait", a déclaré le juge.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Amp.mopo.de

Kiel (Allemagne) : impunité pour les migrants coupables de vols en magasin

La direction de la police de Kiel et de hauts représentants du parquet se sont mis d’accord fin octobre 2015 pour ne pas poursuivre pénalement les réfugiés sans papiers d’identité ou sans certificat d’enregistrement pour des « délits simples/de basse intensité » comme les vols en magasin ou les destructions de biens.

C’est ce qui ressort d’un document interne que nous avons en notre possession. [...]

Pour les « délits plus sérieux (Règle : à partir de coups et blessures et vol particulièrement grave) », il faudra consulter le parquet. [...]

Karl-Hermann Rehr, responsable régional du syndicat de la police, a fait part de sa consternation :  » Cette directive, c’est la démission de l’État de droit. La police est soumise à une obligation de poursuite pénale, à laquelle on renonce ici. »

Kieler Nachrichten