Allemagne. Cologne: Rupture du Jeûne du ramadan et appel à la prière en pleine rue. (Vidéo)

Keupstraße: les musulmans rompent le jeûne ensemble à une table de 200 mètres de long.

A noter que cette rue est connue pour être un lieu central pour la communauté kurde et turque.

 

 

 

C'est la période de Jeûne du mois du Ramadan, au cours de laquelle les musulmans dévots sont autorisés à manger seulement après le coucher du soleil. Vers 22 heures, ils peuvent « rompre» le jeûne.

Environ 1 500 personnes ont assisté à la table richement garnie sur la Keupstraße. Il y avait de la viande, des légumes, de la soupe aux lentilles, des pâtisseries fraîches et bien d'autres délices.

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Nos remerciements à Alain Jean-Mairet pour son travail de recherche et sa vidéo

Catholicisme islamo-compatible

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Le texte ci-dessous, qui date d'il y a quelque temps déjà, est un nouvel exemple de cette forme mièvre et aveugle d'un certain catholicisme, pas tout le catholicisme, mais d'un certain catholicisme. C'est là typiquement une forme de catholicisme islamo-compatible. Et ce, alors que les chrétiens en terre d'islam vivent un abominable calvaire.
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Cardinal Tauran : « Ensemble, œuvrons au bien de ceux qui sont dans le besoin », écrit le cardinal Tauran aux musulmans (le cardinal Tauran est le président du Conseil pontifical au Vatican). Comme chaque année le cardinal Jean-Louis Tauran adresse un message de fraternité aux musulmans du monde, à l’occasion de leur entrée dans le mois de jeûne du ramadan. Il relève cet évènement religieux « centré sur le jeûne, la prière et les bonnes actions », est également apprécié des chrétiens, « vos amis et voisins ». « Selon une tradition qui nous est chère, nous souhaitons partager avec vous, en cette occasion, quelques réflexions dans l’espoir de renforcer les liens spirituels qui nous unissent », écrit notamment le cardinal Tauran qui est le président du Conseil pontifical (ministère du Vatican), en charge des relations avec les autres religions.
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Cardinal Tauran : Le haut-prélat relève que les textes sacrés de l'islam et du christianisme mettent l'accent sur la miséricorde envers les personnes éprouvées qui cherchent à « soigner leurs blessures ». Dans l'islam, poursuit-il, Dieu est « Celui qui pardonne (al-Ghafir), Celui qui pardonne beaucoup (al-Ghafour) ». C’est pourquoi, au-delà des situations « très complexes » dont la solution « dépasse nos capacités », il est vital « que tous œuvrent ensemble pour venir au secours de ceux qui sont dans le besoin, indépendamment de leur appartenance ethnique et religieuse » et que « musulmans et chrétiens travaillent main dans la main ».
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Cardinal Tauran : Ils sont notamment appelés à œuvrer ensemble pour que les victimes de conflits et des violences dans le monde trouvent dans l’islam et le christianisme des témoins privilégiés de l’amour agissant et miséricordieux de Dieu. « Quand nous regardons l’humanité d’aujourd’hui, nous éprouvons de la tristesse à cause de nombreuses victimes des conflits et de la violence – nous pensons ici, en particulier, aux personnes âgées, aux enfants, aux femmes, et spécialement à ceux qui sont en proie au trafic des êtres humains – ; nous pensons aussi à tous ceux, nombreux, qu’affligent la pauvreté, la maladie, la dépendance, les catastrophes naturelles et le chômage », note le cardinal.
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Cardinal Tauran : Ces situations invitent à ne « fermer les yeux ou détourner notre regard de ces souffrances ». Car c’est « une source de grand espoir d’apprendre que des musulmans et des chrétiens travaillent main dans la main pour aider les nécessiteux. Ainsi, nous obéissons à un commandement important dans nos religions respectives ; nous manifestons, de la sorte, la Miséricorde de Dieu et nous offrons, en tant qu'individus et en tant que communautés, un témoignage plus crédible de nos convictions. 

Que Dieu Tout-Puissant et Miséricordieux nous aide à toujours marcher sur le chemin de la bonté et de la compassion », conclut le cardinal Tauran dans son texte débile et islamophile.
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Michel Garroté
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Molenbeek : Un élu PS avoue “90% des élèves, âgés de 17 ou 18 ans, considèrent les terroristes de Bruxelles comme des héros”

Christian Hofer: Terrorisme idéologique de la gauche, filtrage des commentaires dans les médias, immigration de masse, propagande multiculturelle avec nos impôts, déni du Grand remplacement, diabolisation des partis patriotes, mensonges, censure des statistiques criminelles et après tout cela, les socialistes pleurnichent. Bientôt il faudra les remercier de reconnaître ce que nous dénonçons depuis des années. Surtout qu'à présent le mal est tellement ancré qu'il n'y a plus guère de solution!

Pitoyable.

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Yves Goldstein, le chef de cabinet de Rudy Vervoort (PS), ne mâche pas ses mots à l'égard d'une partie des jeunes musulmans. Cité par le très sérieux New York Times, il dénonce aussi les politiques d'intégration qui ont été menées les dernières années.

"Nos villes sont confrontées à un énorme problème, peut-être même le plus important depuis la Seconde Guerre Mondiale. Comment des personnes nées à Bruxelles ou Paris peuvent qualifier de héros des gens qui sèment la violence et la terreur? C'est une vraie question qu'il faut se poser", lance-t-il.

Le conseiller communal (PS) va même plus loin, en se basant notamment sur des témoignages de professeurs actifs à Molenbeek et Schaerbeek. "90% de leurs élèves, âgés de 17 ou 18 ans, considèrent les terroristes de Bruxelles ou Paris comme des héros", dit-il, toujours cité par le journal américain.

Yves Goldstein (38 ans) a grandi à Schaerbeek. Fils d'un couple juif qui a fui le nazisme, il est actuellement chef de groupe au conseil communal de Schaerbeek. Il est aussi directeur de cabinet de Rudy Vervoort, le ministre-président de la région bruxelloise.

S'il ne retire rien sur le fond, Goldstein tient à nuancer son propos dans Het Nieuwsblad. "Juste après les attentats, j'ai dit lors d'une conférence du German Marshall Fund que j'avais un ami instituteur à Bruxelles et qu'au lendemain des attaques de Bruxelles, une partie importante de ses élèves n'avait pas condamné les faits. Le NYT a extrapolé en écrivant que je parlais de tous les établissements à Bruxelles. Le journal ne m'a d'ailleurs jamais contacté personnellement".

"Il n'empêche...", prolonge-t-il. "J'estime qu'il y a un gros problème avec une partie de la jeunesse musulmane qui affiche de la sympathie envers l'Etat islamique. Il ne faut pas uniquement se focaliser sur ces quelques dizaines de radicalisés qui seraient prêts à commettre un attentat mais surtout sur ce groupe trop large de musulmans qui ne désapprouve pas ces actes terroristes".

"Quels liens ont-ils avec la vraie diversité?"
Pour Goldstein, qui évoque sans langue de bois un sujet sur lequel son parti ne préfère pas trop s'aventurer, le modèle multiculturel a failli. "Ce mélange de différentes cultures à Schaerbeek et à Molenbeek est un échec".

Au-delà de ce constat, il dénonce l'émergence de la ghettoïsation de certains quartiers et leur uniformité ethnique. "Il y a des quartiers où certains jeunes ne fréquentent que des coreligionnaires et se retrouvent à l'école avec ces mêmes personnes. Quels liens ont-ils avec la société, avec la vraie diversité?", s'interroge-t-il. (Christian Hofer: C'est une phrase extrêmement amusante puisque les Belges sont traités comme des étrangers dans leur propre pays par ceux qui viennent d'arriver, situation cautionnée par les politiciens de gauche et autres officines "antiracistes".)

Sans vouloir stigmatiser l'islam- il insiste sur ce point- Goldstein pointe aussi du doigt la responsabilité et même les négligences de la classe politique. Il lui reproche - en s'incluant dedans - d'avoir laissé se développer des ghettos où la colère, la délinquance et le radicalisme sont devenus monnaie courante. Un terreau fertile pour les recruteurs de l'Etat islamique, selon lui.

Source

A revoir, le témoignage d'un habitant de Molenbeek lors d'une manifestation à Bruxelles, la manifestation étant considérée par la presse comme étant "d'extrême droite" alors que l'homme dénonce les mêmes faits que cet élu PS. Visiblement, seule la gauche a le droit de dire certaines vérités sans passer pour un "salaud de nazi".