Coup dur pour la Chine : le Japon s’apprête à rapatrier massivement ses industries

Le Japon s’apprête à frapper la Chine de plein fouet par un exode massif de ses industries manufacturières, suite à la pandémie de coronavirus qui a mis le monde à genoux.

Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a proposé de «construire une économie moins dépendante d’un seul pays, la Chine, afin que le pays puisse mieux éviter les ruptures de la chaîne d’approvisionnement», rapporte le Nikkei Asia Review.

Ces plans ont donné des frissons au Parti communiste chinois, car d’autres grandes économies mondiales sont prêtes à suivre le mouvement, rapporte  Politicalite.

La Grande-Bretagne, l’Union européenne et les États-Unis – qui vantent les mérites de la politique «America First» depuis près de quatre ans – pourraient suivre le mouvement.

À Pékin, ce serait la panique chez les dirigeants, non élus, du Parti communiste.

«Il y a maintenant de sérieuses inquiétudes quant au retrait des entreprises étrangères de Chine», a déclaré une source économique chinoise.

«Ce dont on a surtout parlé, c’est de la clause des mesures économiques urgentes du Japon qui encourage (et finance) le rétablissement des chaînes d’approvisionnement.»

«Si la pandémie n’avait pas frappé, la première visite d’État du président chinois Xi Jinping au Japon se serait déjà terminée par la déclaration de Xi, fier d’inaugurer une «nouvelle ère» dans les relations sino-japonaises. Il aurait applaudi Abe alors que le Japon se préparait pour le prochain grand événement, les Jeux olympiques de 2020

«Au lieu de cela, le voyage de Xi et les Jeux olympiques de Tokyo ont été reportés, et les relations sino-japonaises sont à un tournant.»

Source : Voice of Europe
Traduction Cenator

Au risque de froisser Pékin, un sous-marin japonais a mené un exercice inédit en mer de Chine méridionale

Selon le quotidien Asahi Shimbun, l’un des 18 sous-marins que compte la Force d’autodéfense navale japonaise, le « Kuroshio », a participé pour la première fois, le 13 septembre, à un exercice en mer de Chine méridionale, précisément au sud-ouest du récif de Scarborough, lequel est passé sous le contrôle de Pékin en 2012, alors qu’il appartenait aux Philippines. Plusieurs navires nippons ont été également été sollicités pour cette manoeuvre, dont le destroyer porte-hélicoptère JDS Kaga.

Plus tard, les informations du journal ont été en grande partie confirmées par le ministère japonais de la Défense, lequel a pour habitude de rester très discret sur les activités des sous-marins.

Selon ce dernier, cet exercice, qui a donc impliqué un sous-marin dont la mission était de se soustraire à la détection d’autres navires, a été mené à bonne distance des îlots aménagés à des fins militaires par Pékin en mer de Chine méridionale, en particulier dans les archipels Spratleys et Paracels.

Pour Tokyo, cet exercice est « légitime » dans la mesure où il a été réalisé dans les eaux internationales. Seulement, malgré les prétentions de ses voisins, Pékin revendique la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale, une région stratégique pour le commerce maritime mondial (et donc pour l’approvisionnement énergétique du Japon) et riche en hydrocarbures et en ressources halieutiques.

Aussi, le ministère chinois des Affaires étrangères ne devrait pas manquer d’émettre une protestation officielle auprès de Tokyo, comme ce fut le cas quand le navire d’assaut amphibie britannique HMS Albion navigua, fin août, près des îlots contestés dans le cadre d’une opération dite FONOP [Freedom of navigation operation] en mer de Chine méridionale.

D’autant plus que, ce 17 septembre, le sous-marin JDS Kuroshio, de la classe « Oyashio », est attendu à Cam Ranh, au Vietnam, afin de marquer la coopération militaire entre Tokyo et Hanoï. Là aussi, ce serait un première depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Pour rappel, la Chine et le Vietnam ont un différend au sujet des îles Paracels, ce qui donne lieu régulièrement à des incidents navals dans cette partie de la mer de Chine méridionale.

En juillet 2016, saisie par les Philippines au sujet du récif de Scarborough, la Cour permanente d’arbitrage de La Haye estima que les prétentions chinoises en mer de Chine méridionale n’avaient « aucun fondement juridique ». Pour autant, cet avis n’a pas dissuadé Pékin de poursuivre l’installation de capacités de déni et d’interdiction d’accès sur des récifs des archipels Spratleys et Paracels, pratiquant ainsi la politique du fait accompli.

Cela étant, en janvier, un sous-marin nucléaire d’attaque [SNA] chinois de type 093 (classe Shang) fut repéré par la Force d’autodéfense navale japonaise alors qu’il naviguait à proximité de l’archipel nippon Shenkaku, que Pékin revendique également.

« Envoyer un sous-marin en plongée près du territoire d’un autre pays va à l’encontre des règles internationales », avait alors affirmé Itsunori Onodera, le ministre japonais de la Défense.

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Le Japon entend-il transformer l’alliance avec Washington en Moscou-Pékin-Tokyo?

Les déclarations de Vladimir Poutine et Shinzo Abe sur la conclusion d’un traité de paix faites à Vladivostok transformeraient qualitativement les relations entre Moscou et Tokyo. À l’heure actuelle, il ne s’agit pas d’une alliance à part entière, mais ces changements ne resteront pas inaperçus dans la région.

Sur fond de la proposition de Vladimir Poutine de conclure un traité de paix sans condition préalable avec le Japon, lors du Forum économique oriental à Vladivostok, Moscou et Tokyo ont la chance de transformer qualitativement leurs relations bilatérales, annonce le Journal de Montréal.

Les relations entre ces deux pays ont toujours étaient assombries par la question de l'archipel des Kouriles, dont l'appartenance à la Russie était contestée par la partie japonaise. Ce problème non seulement ne permet pas de conclure un traité de paix, mais aussi dissuade la coopération économique russo-japonaise. En cela, les entreprises japonaises pourraient investir dans des projets d'exploitation de ressources en Sibérie, souligne le journal.

L'initiative du Président russe et la réaction positive du Premier ministre japonais Shinzo Abe pourraient inverser cette situation, estime l'auteur de l'article. Selon lui, une zone de libre-échange ou une administration conjointe sur les Kouriles pourraient figurer parmi des solutions possibles. Dans ce contexte, des experts et médias ne nient pas la possibilité d'une alliance entre la Russie, le Japon et la Chine, pour que l'archipel puisse s'intégrer au projet chinois de nouvelle route de la soie.

Toutefois, ces prévisions sur un axe Moscou-Pékin-Tokyo semblent être prématurées, estime le quotidien. Les liens militaires et économiques entre le Japon et les États-Unis sont trop forts pour être rompus du jour au lendemain. Bien que des Japonais se prononcent contre la présence militaire américaine dans leur pays, notamment contre la base à Okinawa, Tokyo et Washington restent des alliés proches.

Néanmoins, il y a des facteurs diluant l'amitié monolithique nippo-américaine. La situation sur la péninsule coréenne échappe à l'influence de Washington, alors que Moscou et Pékin s'engagent de plus en plus sur le dossier coréen, constate le Journal de Montréal. Quant à Tokyo, il pourrait être intéressé au rapprochement avec la Russie pour diminuer l'influence de la Chine dans la région. Ainsi, plus Washington emprunte la voie de l'isolationnisme, plus ses alliés chercheront d'autres alliances, conclut l'auteur de l'article.

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Comment le Japon sélectionne l’immigration de travail : “Savoir parler japonais, réussir un test de compétences, interdiction de faire venir la famille…”

En clair, l'exact contraire de l'immigration incompétente que nous subissons et imposée par les Ong.

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À la mi-juin, le cabinet du gouvernement japonais a approuvé les bases de la politique économique et fiscale pour cette année. Cela inclut l’établissement d’un nouveau statut de résident au Japon, dans un effort pour accepter plus de travailleurs étrangers. Dans notre commentaire aujourd’hui, Reiko Sakurai, commentatrice de la NHK, nous parle de certains problèmes liés aux tentatives pour augmenter le nombre de travailleurs étrangers au Japon.

Reiko Sakurai :
Jusqu’à maintenant le Japon avait pour politique d’accepter de plus en plus de gens avec des compétences particulières. Cependant, ce système a cessé de fonctionner. Le gouvernement révise la situation dans l’espoir d’augmenter le nombre de travailleurs étrangers au Japon.

En vertu des nouvelles dispositions, les travailleurs non-japonais se verront accorder un nouveau statut leur permettant de rester au Japon pour un maximum de 5 ans s’ils réussissent un test de compétences, établi par des groupes d’industries, et s’ils maîtrisent assez le japonais pour « vivre au quotidien » sans difficulté. Et ceux qui ont terminé le programme existant de stage en entreprise soutenu par le gouvernement pourront prolonger leur séjour de 5 années supplémentaires au maximum.

Le gouvernement ne vise pas à accorder la résidence permanente à ces travailleurs, et souligne qu’ils n’auront pas le droit de faire venir leurs familles. En plus, il restreint les secteurs industriels où s’appliquera le nouveau système. Le gouvernement cherche à augmenter la main d’œuvre dans les domaines où la pénurie est particulièrement grave, comme l’agriculture, les soins infirmiers, la construction, l’hébergement, et la construction navale.

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Tokyo: L’un des rares réfugiés musulmans au Japon arrêté pour des douzaines de vols

La police métropolitaine de Tokyo a arrêté un ressortissant turc qui demande actuellement le statut de réfugié et un autre étranger suspecté dans des douzaines de cambriolages dans la région de Kanto depuis le début de l’année.

Vers 18h30 le 20 avril, le ressortissant turc, un résident de 20 ans de Toshima Ward, et une cohorte masculine auraient brisé une fenêtre de la résidence d’un homme de 63 ans à Noda City, préfecture de Chiba, pour avoir accès à l’intérieur pour voler une montre et des anneaux d’une valeur de 210 000 yens.

Les deux suspects, qui sont devenus des personnes d’intérêt pour la police après un examen de la caméra de sécurité, nient les allégations.

Les suspects seraient à l’origine d’une cinquantaine d’incidents dans les préfectures de Chiba et Saitama depuis février, où la valeur des biens perdus est d’environ 10 millions de yens.

Le ressortissant turc, ethniquement kurde, a présenté une demande au bureau de l’immigration afin d’obtenir le statut de réfugié au Japon, a indiqué la police.

Plus tôt cette année, le ministère de la Justice a annoncé que plus de 19 600 ressortissants étrangers ont présenté une demande d’asile au Japon, soit une augmentation de 80% par rapport à l’année précédente. De ces demandes, 20 ont été approuvées, une baisse de 8 au cours de l’année précédente.

Source Via Suavelõs.eu

Tranche de vie au Japon : Affrontement entre Turcs et Kurdes à Tokyo

 

Environ cinq cents ressortissants Turques et Kurdes se sont affrontés devant l’Ambassade de Turquie à Tokyo le 25 octobre à l’occasion du vote anticipé pour les élections législatives turques.On déplore 12 blessés dont deux policiers.Les spécialistes parlent de « télénationalisme » Merci à yukoku2

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Japon: Les premiers djihadistes japonais placés en garde à vue

Plusieurs jeunes Japonais sur le point de partir en Syrie pour combattre au nom de l’Etat islamique viennent d’être placés en garde à vue par la police tokyoïte.

"Plusieurs jeunes Japonais sur le point de partir en Syrie pour combattre au nom de l’Etat islamique (EI) viennent d’être placés en garde à vue par la police tokyoïte", rapporte une dépêche du Mainichi Shimbun



Selon la police, il y aurait parmi eux un jeune homme de 26 ans inscrit à l’université d'Hokkaido, qui planifiait de partir le 7 octobre en Syrie et qui reconnaît les faits. 

"La police enquête actuellement sur la piste d’un recruteur djihadiste d’origine japonaise", relate le même journal, qui rappelle qu'il s’agit du premier cas de Japonais interpellés pour leurs liens supposés avec l’EI.

Source

Culture : les supporters de foot japonais nettoient le stade après le match

A la suite du match Japon-Cote d'Ivoire (coupe du monde de football), les supporters japonais ont nettoyé leur tribune.

Alors que le stade se vidait, des équipes de supporters japonais ont arpenté les gradins avec des sacs-poubelle pour tout nettoyer. C'est une pratique habituelle des supporters japonais, connus pour leur respect de la propreté. Photos ci-dessous

Sources : Sports.yahoo.com  - PolicyMic

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