Morges (Vaud) : Un Guinéen condamné pour braquage. Il était interdit de territoire en Suisse.

Le Guinéen qui comparaissait par défaut la semaine dernière a également été reconnu coupable d’infraction à la loi sur la circulation routière, pour avoir roulé sans permis avec une voiture hors circulation, ainsi que d’infraction à la loi sur les étrangers. En effet, officiellement installé en France puis en Espagne, le quadragénaire était sous le coup d’une interdiction de territoire helvétique.

Il écope de 5 ans et 25 jours de prison (...). Cette peine s’ajoute à trois peines de prison déjà prononcées à Genève pour d’autres faits.

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20min.ch

Abdoul, malade, mort 11 mois après son renvoi

Résumé Cenator: Abdoul a été débouté, après avoir épuisé toutes les possibilités de recours. Ensuite, il a été renvoyé en Guinée, après que les ONG/associations/avocats « gratuits » aient tout mis en œuvre pour qu’il obtienne un permis d’établissement. Abdoul a pu fournir des certificats médicaux pour douleur à la jambe, fatigue, vertiges... et même une contusion !

Tout cela n’a pas suffi pour amadouer le SEM.

C'est le Permis B, type « cas de rigueur », qui était visé par son avocat.

Abdoul est arrivé en Suisse à 19 ans, avec son père, comme requérant d’asile. Il a fini son apprentissage de cuisinier au CHUV il y a cinq ans (!). L’article ne dit pas ce que son père est devenu dans l’aventure, ni même pourquoi Abdoul n’a pas trouvé à son goût les pays sans guerre, totalement secure qu’il a traversés avant d’arriver en Suisse. Nous ignorons également comment il a franchi les frontières, bien gardées, des pays d’Afrique, s’il n’avait pas de papiers d’identité.

L’association Droit de rester affirme que son parcours d’intégration était sans faute. La journaliste Sophie Dupont relève qu’il était financièrement indépendant depuis des années, ce qui est rare pour les demandeurs d’asile (mais, nous le savons, également pour les réfugiés statutaires).

Abdoul, cuisinier au CHUV, était infecté par l’hépatite B (et qui sait de quoi en plus ?), bon appétit pour les malades !

Abdoul a probablement détruit ses papiers d’identité en venant en Suisse, comme le font l’écrasante majorité des requérants d'asile. Une fois renvoyé en Guinée, Abdoul n’aurait pas pu obtenir des aides, faute de papiers d’identité guinéens. Sans papiers officiels, sans argent et sans soins, il a rendu l’âme 11 mois après son renvoi.

À la demande d’Abdoul, le 7 avril 2020, en plein confinement, son avocat a demandé au SEM de faire revenir son protégé pour le soigner, et du même coup, lui octroyer 10'000 fr. de dommages et intérêts pour renvoi illégitime. Le SEM est resté de marbre. Abdoul voulait revenir travailler en Suisse mais les personnes hors UE, ne disposant pas d’un diplôme professionnel spécifique recherché (en manque), ne peuvent obtenir un permis de travail. Nous ignorons comment son avocat s’est arrangé avec la santé délabrée d'Abdoul et l’exercice d’une profession aussi exigeante, physiquement parlant, que celle de cuisinier.

Abdoul est mort à l’hôpital, seul, à l’âge de 30 ans. Selon les groupes de pression pro-asile et son avocat, appelé « représentant juridique », la Suisse serait coupable, et bien entendu responsable de sa mort.

Remarque: Avec le confinement, des milliers de personnes, disposant de diplômes, ont tout perdu, sont au chômage, tombent dans la pauvreté, et se retrouvent, malgré eux, à la charge de la collectivité.
Mais tout le beau monde qui gravite autour du business ruineux de l’asile suisse voulait encore faire revenir Abdoul pour le soigner à  nos frais.

article réservé aux abonnés: https://lecourrier.ch/2020/12/14/decede-apres-son-renvoi/

Belgique : un Guinéen condamné pour avoir « salement mutilé » sa femme. C’est culturel selon la défense.

Pour le parquet, le prévenu a méprisé la victime durant plusieurs heures, des faits que la subsitute Colienne requalifie en traitements inhumains. Elle sollicite une peine de quatre ans de prison à l’encontre du prévenu également poursuivi pour non-assistance à personne en danger suite à la chute.

À la défense, Me Rodeyns insiste sur le bagage socio-culturel de son client et rappelle que dans la culture africaine l’homme ne s’occupe pas des enfants et qu’il est en droit de corriger sa compagne. « Ce qu’il a fait même si, en Belgique, c’est interdit. » Il demande le maintien de la qualification en coups et blessures et plaide une peine inférieure assortie d’un sursis probatoire.

[…]

Précisions faites dans un article du  20-05-20 dans les colonnes de 7Sur7


40 mois de prison pour avoir fouetté sa femme

Jamais les policiers et les ambulanciers n’avaient vu un corps de femme à ce point meurtri. Et même l’avocat du prévenu, poursuivi devant le tribunal correctionnel pour traitement inhumain, l’admettait: en vingt ans de carrière, il n’a jamais vu une telle scène de coups, «la plus horrible de ma vie». Le prévenu, un jeune Guinéen de 23 ans, risquait 4 ans de prison. Il s’en tire avec 40 mois, avec sursis probatoire pour le surplus de la détention préventive.

[…]

La Meuse

Via Fdesouche

Condamné 13 fois, le Guinéen clandestin “doit rester en Suisse parce qu’il a un enfant”

Christian Hofer: On notera que la femme se fiche totalement de la sécurité des Suisses. Nos compatriotes ne sont là que pour payer le loyer, la nourriture et les divertissements à sa nombreuse famille. Et elle ose pleurnicher: Totalement immonde!!! Seule lui importe sa maternité (alors qu'elle a déjà 4 enfants de 3 autres unions) et son enfant. Elle se lamente alors qu'elle connaît très bien le passé de son "mari" et qu'elle profite de la société sans aucune honte. Ce n'est en aucun cas à la Suisse d'assumer la responsabilité d'un enfant qu'elle a voulu! Elle ne pense qu'à son seul plaisir en faisant peser le poids financier sur ceux qui travaillent!

On relève ici le schéma que la gauche adore: familles recomposées, multiculturalisme, délinquance, aide sociale à foison et absence d'expulsion. Vaud, comme à son habitude, se prosterne dès que le délinquant étranger se marie avec une "Suissesse".

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«Par ses récidives, il a démontré son incapacité à se conformer à la loi.» Cet avis du Secrétariat d'Etat aux migrations est un des motifs du non-octroi de permis à Amadou. De 2006 à 2012, il a écopé de 13 condamnations: 3 pour trafic de stups et 10 dues à son statut d'illégal. Berne a aussi émis «des doutes sur la volonté des époux de sceller une véritable communauté conjugale». Ce qui a le don d'irriter Mélanie: «Il a fait des conneries et il a payé. Quant aux interrogation sur notre union, c'est vraiment du foutage de gueule.»

Constatant que le Guinéen, entré illégalement en Suisse en 2005, s’était «assagi» et avait épousé une Suissesse, le canton de Vaud était favorable à l’octroi d’un permis de séjour. Mais à Berne, le Secrétariat d’Etat aux migrations a pris une mesure d’expulsion. Amadou s’est opposé à son renvoi. Jusqu’au Tribunal fédéral: «L’intérêt public de la Suisse à l’éloigner du pays l’emporte sur son intérêt privé à y vivre avec son épouse», a jugé Mon-Repos. «Je suis indignée et désespérée, s’emporte Mélanie. Il a reçu une promesse d’embauche qui me permettra de toucher moins d’aide sociale.

Mais surtout, si on le renvoie en Guinée, quel avenir la Suisse offre-t-elle à notre bébé?»

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Ebola: un Guinéen potentiellement contaminé a été admis au CHUV

Un Guinéen qui remplit les critères d'une suspicion de contamination au virus Ebola a été admis mardi au Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), à Lausanne. Il fait l'objet d'examens médicaux afin de déterminer s'il souffre effectivement de la maladie.

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Ce jeune homme est arrivé le 17 septembre au centre de requérants d'asile de Vallorbe (VD), a indiqué mardi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Selon ses déclarations, il aurait quitté son pays d'origine pour la France deux jours auparavant.

Parce que son arrivée a eu lieu pendant la période d'incubation (maximum 21 jours) et parce qu'il a déclaré à son arrivée à Vallorbe qu'un membre de sa famille serait décédé du virus Ebola, il n'a pas été admis dans le centre. Mais il a été immédiatement emmené et placé sous surveillance hospitalière à St-Loup (VD).

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