Christian Hofer: On relèvera le manque de respect de ces frontaliers envers les Suisses et la décision d'un peuple légitime sur ses terres. Il est vrai que ces Français ne savent plus ce que le mot démocratie signifie.
Leur pays est responsable de nombreux crimes sur notre territoire sans que cela ne gêne le Groupement transfrontalier, la délinquance de leur immigration bien-aimée dégoulinant sur notre territoire dans la violence la plus abjecte.
Cela démontre encore une fois l'immense arrogance de la France vis-à-vis de la Suisse (tel le cas Sarkozy ou celui de Montebourg), outre le fait que ces gens surchargent nos routes et pourrissent ainsi la vie des Suisses, que le gouvernement français ait milité pour la destruction de notre secret bancaire et que la France rétrocède avec beaucoup de retard son dû dans les caisses helvètes - ce qui met en grave danger les cantons - ce Groupement transfrontalier fait pression sur la Compagnie Générale de Navigation (compagnie financée par les cantons) pour que les horaires soient en adéquation avec leurs exigences. On citera encore le cas de l'aéroport de Bâle-Mulhouse, où la France veut imposer son dictat et ainsi détruire financièrement cet aéroport malgré un contrat signé en 1949.
Bien entendu, à cela s'ajoute les accommodements de la gare d'Annemasse en France, payés par...les Suisses pour que les frontaliers français puissent venir encore plus nombreux et faire ainsi pression sur nos salaires. Je vous laisse juger à quel point ce "Groupement transfrontalier" est hypocrite et impertinent.
Ces frontaliers pensent visiblement avoir un quelconque droit sur notre pays ou même nous donner des ordres. Bien entendu, ces mêmes individus seraient bien incapables de demander quoi que ce soit à leur président socialiste, car ils savent que les autorités françaises se moquent éperdument de leur situation. Il est grand temps que nous les traitions de la même manière.
**********
Le Groupement transfrontalier européen réagit à la mise en œuvre de l’initiative «Contre l’immigration de masse».
L’initiative «Contre l’immigration de masse» avait suscité de vives inquiétudes chez les frontaliers. Comment réagissent-ils à la loi d’application qui sera votée aujourd’hui? Les réponses de Michel Charrat, président du Groupement transfrontalier européen (GTE), qui compte 35 000 adhérents.
Vous avez pris connaissance des grandes lignes de la loi d’application de l’initiative UDC. Qu’en pensez-vous?
En voyant la disparition des quotas et de la préférence indigène, les frontaliers sont rassurés. C’était le plus inquiétant, d’autant que les quotas n’ont jamais existé pour les frontaliers. Quant au terme «indigène», il était choquant. Un certain nombre d’inquiétudes planent cependant quant à savoir comment les Offices régionaux de placement (ORP) vont procéder pour la présentation des dossiers.
Rappels:
Genève: Frontaliers haut-savoyards toujours plus nombreux
Genève a franchi en juillet les 100’000 permis frontaliers
Suisse : Seuls 20% des travailleurs étrangers répondraient au besoin de l’économie
Suisse: Paris refuse de livrer les informations sur les antécédents judiciaires des frontaliers