CHRONIQUE DU PLUS GRAND GÉNOCIDE DE TOUS LES TEMPS
L'immigration massive d’individus de type non caucasien [1], notamment maghrébin, et leur assimilation forcée imposée aux nations traditionnellement peuplées de personnes de type caucasien y entraîneront inévitablement un monde à population de type caucasien minoritaire. Au sens le plus strict de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide édictée par l’ONU, celui des personnes de type caucasien est, à terme, la conséquence quasi inéluctable. De plus, on peut raisonnablement inférer que ce génocide des populations de type caucasien est programmé à un niveau situé au-delà de la politique. Il est d’autant plus inéluctable qu’un autre génocide programmé par cette même volonté supra politique, celui des chrétiens dans le monde entier, est à l’œuvre depuis plusieurs décennies et que, depuis peu, il s’étend géographiquement et s’intensifie.
I. Comment s’ordonne le génocide des populations de type caucasien
► Par le déplacement, depuis un demi-siècle, de millions d'immigrants de type non caucasien dans les pays traditionnellement peuplés d’europoïdes.
► Par la contrainte légale exercée sur ces peuples à « s'enrichir » de cultures différentes, à se diversifier (« la diversité »), à saisir une chance (« une chance pour la France »), etc. Ce type de contrainte se nomme « assimilation forcée ». Dans ce qu'il est convenu d'appeler les démocraties occidentales, elle est amenée et facilitée par une subtile propagande qui hypnotise les peuples et les rend incapables de s'opposer. Elle va conduire à la subjugation des populations de type caucasien par des peuples de type non caucasien. Elle s’apparente à ce que le gouvernement chinois pratique au Tibet. Wikipédia : « L'assimilation forcée - Un peuple qui abandonne totalement les traits de sa culture propre au profit d'un autre peuple qui le domine est dit subjugué. » L’immigration massive et l'assimilation forcée conduisent inévitablement à un mélange de peuples. Le peuple subjugué n’a plus d’existence propre. Le ou les peuples dominants peuvent y imposer leurs valeurs ou ce qu’ils croient être leurs valeurs ainsi que leurs lois, en l’espèce celles découlant de la charî'a puisque la religion largement dominante de ces peuples est l’islam. S’agissant du Tibet, la même situation est considérée par les milieux indépendantistes tibétains comme un génocide. Sans qu’il soit possible de s’étendre ici sur ce sujet, car cet article se veut aussi synthétique que possible, pour admettre et comprendre la suite, il est nécessaire de faire remarquer que le mal nommé « génocide » tibétain – en réalité la sinisation du Tibet – n’a pu être possible que grâce à la complicité du XIVe dalaï-lama – donc traître à son propre peuple – avec les autorités chinoises. Il s’agit pourtant d’un génocide en ce qui concerne les europoïdes dans des pays qui en sont traditionnellement peuplés, et ceci en vertu de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, article II – c) : « Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle. »
► Par les refus non dits des gouvernements occidentaux successifs de renoncer aux politiques à intention génocidaire qu’ils ont mis en place contre leurs propres peuples.
► Par la promulgation de lois scélérates prétextant le « racisme » envers les immigrants de type non caucasien, les « discours de haine », etc. ceci afin d’étouffer légalement toute forme d’opposition à cette même politique à intention génocidaire.
► On doit ajouter à cette situation le fait que, dans le cas d’une subjugation des populations de type caucasien par une majorité musulmane dont l’idéologie prône « l’extermination des juifs et des chrétiens jusqu’au dernier et partout où ils se trouvent » (Coran), le génocide à venir est plus que probable, la destruction physique totale des europoïdes est une quasi certitude.
II. Le génocide des chrétiens sur la Terre entière
Comme pour aggraver la situation décrite ci-dessus, on doit encore y ajouter une politique non moins intentionnelle des gouvernements occidentaux destinée à laisser continuer, de par toute la Terre, le génocide des chrétiens par les peuples à religion musulmane dominante ou non. Avec la récente proclamation d’un califat mondial par l’État islamique sunnite, ce génocide des chrétiens – et au surplus de tous les non musulmans comme les bouddhistes, les hindouistes, les animistes en Afrique, etc., et également les chiites – ne peut que s’étendre géographiquement et s’intensifier du fait que les gouvernements occidentaux font mine de ne pas comprendre l'extrême gravité de l’enjeu. Comme pris d’un côté entre des décisions supra nationales qui leur sont à eux-mêmes imposées et qui les dépassent ou auxquelles ils se plient par cupidité et, de l’autre côté, par une certaine conscience de leurs devoirs, on peut d’ailleurs constater que leur politique n’a plus aucune cohérence, tant au Moyen-Orient, en Afrique qu’à l’intérieur de leurs frontières, et tout particulièrement en France.
Si, depuis quelques semaines et autant que puisse en juger un observateur français, les médias nationaux ne sont pas complètement muets sur le sort des chrétiens d’Irak et d'autres minorités religieuses, le mot « génocide » n’est pratiquement jamais utilisé, les faits ne sont pas rapportés dans toute leur horreur ni leur ampleur, pas plus en mots qu’en images. Dans leur écrasante majorité, les Français ignorent et ignoreront donc encore longtemps les flagellations, excisions et circoncisions en masse, décapitations – y compris d'enfants en bas âge –, égorgements, lapidations, crucifixions, amputations en croix, enterrements vivants, ventes d’esclaves sur les marchés, etc. Compte tenu de l’évidence de la politique génocidaire intentionnelle décrite en première partie de cet article, on peut logiquement imaginer qu’il en est strictement de même dans toutes les nations occidentales.
Le pape François lui-même évoque la situation en des termes qui ne laissent aucunement la comprendre et, surtout, il ne dénonce jamais son véritable et seul responsable : l’islam. Lorsque quelques voix éminentes se font entendre, l’islam est toujours épargné, comme par exemple dans cet éditorial du Figaro daté 11 août 2014 où Jean d’Ormesson, écrivain et membre de l’Académie française, parle d’une « grande et belle religion »... Il y a quelques mois, Marine Le Pen elle-même déclarait : « Je respecte l’islam. »
On peut cependant démontrer objectivement que la barbarie prétendument exercée par des individus ou des groupes terroristes « islamistes » autrement nommés « jihadistes » est en fait commandée par les principaux livres qui sont au fondement même de l’islam et qui forment la sunna : le Coran ainsi que les hadîths les plus authentiques reconnus par les muhaddiths, ces « savants » de l’islam spécialistes en hadîths.
Ces dénis des réalités à l’échelle mondiale montrent que la programmation de ces deux génocides découle de décisions supra nationales et qui se situent au-dessus de la politique.
Du fait que cette politique génocidaire globale est clairement intentionnelle, les Occidentaux ne peuvent donc bien évidemment pas compter sur leurs dirigeants, qu’ils soient nationaux, européens ou américains pour y mettre un terme. Ils ne peuvent compter non plus ni sur la presse de grande diffusion, ni sur les autorités religieuses pour les informer du danger qui les menace eux-mêmes.
Si, individuellement, les europoïdes continuent à ne pas réagir à la programmation de ce double génocide, tout comme les chrétiens du Moyen-Orient, d'Afrique et ceux vivant dans d’autres pays orientaux à population majoritairement musulmane ou non, les premiers en seront également les victimes sur leur propre sol à terme plus ou moins rapproché.
En dernier lieu, comment la bien-pensance peut-elle soutenir que ces atrocités ne sont que le fait de groupes terroristes isolés et déconnectés du prétendu « véritable islam » alors qu’elles sont perpétrées tous les jours à plus ou moins grande échelle dans une quarantaine de pays de par toute la Terre ?
Philippe Costa di Costanzo
Chronique publiée avec l'autorisation de son auteur
Dépôt Société des gens de lettres de France, 13 août 2014