Une féminazie nous explique tranquillement comment sauver l'espèce humaine en éradiquant les hommes dès leur conception
https://youtu.be/PaBj2g2z5mY
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Une féminazie nous explique tranquillement comment sauver l'espèce humaine en éradiquant les hommes dès leur conception
https://youtu.be/PaBj2g2z5mY
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La semaine passée, la police a communiqué les faits qui ont eu lieu le 2 décembre à la piscine de Theresienbad à Vienne. Un requérant irakien de 20 ans a violé un enfant dans une cabine de toilette. L’enfant a subi de très graves blessures. Voir ici
Heute at : Vous avez eu connaissances des déclarations du criminel lors de son audition.
La maman Dunja R. : Oui « une urgence sexuelle », mon sang bout. Je viens de Serbie. J’ai habité 5 ans dans un centre Caritas et j’ai cohabité avec des personnes en provenance de nombreux pays. Je ne suis donc pas une raciste. Mais les déclarations derrières lesquelles cet Irakien se cache sont monstrueuses.
Heute at : Vous n’êtes pas seulement préoccupée par les blessures physiques de votre fils.
Dunja R. : Les cicatrices de l’âme ne guériront peut-être jamais. Le petit ne peut dormir qu’avec des tablettes de Trittico. Il crie et pleure toutes les nuits. Lorsqu’il remarque mon désespoir, il se retourne comme s’il érigeait un mur. Il a déjà parlé de suicide à l’école. Sa douleur précipite toute la famille dans un gouffre.
Heute at: Souhaitez-vous une expulsion du violeur de votre fils ?
Dunja R. : Oui, mais après avoir exécuté sa peine ici. J’ai eu connaissance du traitement réservé aux violeurs d’enfants en prison.
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Nos lecteurs nous prient de publier (merci à Yogilours)
Horgoš est le dernier village au nord de la Serbie avant le poste-frontière de Röszke en Hongrie. Des mois durant, ce fut l’un des points de passage principaux des clandestins pour rejoindre l’Europe occidentale. Des heurts importants ont eu lieu à ce point-frontière les 15 et 16 septembre lorsque la Hongrie a décidé d’arrêter le passage des clandestins depuis la Serbie.
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Persuadée qu’elle attend une fille, Lana ne se pose jamais la question du sexe de son futur bébé. Mais lors d’un rendez-vous chez son gynécologue, son médecin lui apprend que l'enfant est un petit garçon. La jeune américaine est alors enceinte de 5 mois. Elle reste enfermée chez elle durant 3 jours et finit par prendre une décision impensable: haïssant les hommes, elle ne peut pas garder cet enfant. "Je savais ce qu’il me restait à faire, écrit Lana. Je ne pouvais pas amener un nouveau monstre sur Terre.[..]"
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Article complet
Alors que les socialistes et Najat la Sinistre de la "Rééducation nationale" transforme les garçons en filles pour ne pas dire en futures lopettes :
Oui pendant ce temps les musulmans partout en Europe et en Afrique renforcent leurs garçons pour en faire des guerriers:
http://youtu.be/CRZiVCv2EQY
Les garçons sont en général plus turbulents que les filles, c’est bien connu. Mais d’après une tribune parue dans Libération, cela pourrait relever « d’un trouble du comportement », ou, bien plus grave, « d’un problème lié à la construction même de l’identité masculine ».
Ainsi, le problème n’est pas de « sauver » les garçons, ni de lutter pour l’égalité entre les filles et les garçons, ni même de combattre une homophobie qui structure leur construction identitaire. Le problème est d’en finir avec la fabrique des garçons. D’explorer la manière dont familles, école et société projettent sur les « petits mâles » des rêves, des désirs ou des fantasmes qui influent sur leurs identités et leurs carrières. – Sylvie Ayral et Yves Raibaud, Libération, 06/11/2014
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