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Le Fonds monétaire international a annoncé lundi 13 avril, le versement d'une aide d'urgence à 25 pays dont 19 africains pour leur permettre d'alléger leur dette et de mieux faire face à l'impact de la pandémie de Covid-19.
La mesure annoncée permet de couvrir pour six mois les remboursements de la dette envers le FMI et "d'allouer une plus grande partie de leurs ressources à leurs efforts en matière d'urgence médicale et d'aide", souligne le communiqué du FMI.
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Les pays qui bénéficieront d'un allégement du service de leur dette sont les suivants : Afghanistan, Bénin, Burkina Faso, Comores, Gambie, Guinée, Guinée Bissau, Haïti, Îles Solomon, Libéria, Madagascar, Malawi, Mali, Mozambique, Népal, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Rwanda, Sao Tomé-et-Principe, Sierra Leone, Tadjikistan, Tchad, Togo et Yémen.
"Le Venezuela est dans une situation similaire à celle de l'Allemagne en 1923 ou à celle du Zimbabwe à la fin des années 2000", commente lundi dans un blog Alejandro Werner, un des responsables du Fonds monétaire international (FMI).
"Le Venezuela reste englué dans une profonde crise économique et sociale", a résumé Alejandro Werne. Et en 2018, le pays pétrolier enregistrera une récession à deux chiffres pour la troisième année d'affilée, précise-t-il.
La contraction du PIB en 2018 (-18%) devrait être encore plus marquée qu'en 2017 (-16,5%), alors que la production de pétrole continue de s'effondrer, faute de liquidités pour moderniser les champs pétroliers, relève encore le FMI.
Le Venezuela tire 96% de ses revenus du pétrole. Or, en juin, le Venezuela n'a produit que 1,5 million de barils de brut par jour, soit son plus bas niveau en 30 ans, a récemment indiqué l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
Le FMI pointe par ailleurs du doigt la mise en circulation d'un nombre toujours plus grand de billets, ce qui alimente l'hyperinflation.
Il souligne d'ailleurs que les pays voisins risquent d'être de plus en plus exposés aux répercussions de l'effondrement de l'économie vénézuélienne.
La pénurie de nourriture, les difficultés croissantes pour accéder aux soins de santé, à l'électricité, à l'eau, aux transports, combinées aux problèmes d'insécurité, ont fait fuir en masse la population qui se réfugie notamment en Colombie et au Brésil.
afp/dk
L'organisation internationale estime que si la Grèce ne parvient pas à convaincre ses créanciers européens d'alléger sa dette d'ici le 20 février, le pays ne parviendra pas à venir à bout de celle-ci – et connaîtra de vives turbulences politiques.
Même si de nouvelles mesures d'austérité étaient prises en Grèce, la crise de la dette que connait le pays est condamnée à être «explosive», a prévenu le Fond monétaire international (FMI), cité notamment par la presse britannique. La dette d'Athènes atteint désormais 176% du PIB selon l’institution financière, malgré des coupes dans le budget public réalisées par le gouvernement d'Alexis Tsipras qui n'avaient pas manqué de provoquer de fortes mobilisations sociales, le Premier ministre ayant été élu sur un programme de rupture anti-austérité.
Dans un rapport confidentiel ayant fuité la semaine dernière dans la presse, le FMI se montre extrêmement pessimiste quant à la capacité de la Grèce à se tirer de ce bourbier budgétaire – quelles que soient les politiques mises en place dans l'urgence : «La Grèce ne peut pas sortir [d'elle-même] de son problème d'endettement», indique sans ambages le document.
La solution à ce problème ne dépend pas d'Athènes, selon l'institution internationale basée à Washington : «La Grèce a besoin d'un allègement de dette conséquent de la part de ses partenaires européens, afin de restaurer la viabilité de sa dette.» Le pays a en effet jusqu'à juillet 2017 pour rembourser environ 3,8 milliards d'euros à la Banque centrale européenne (BCE). Un compromis doit donc être trouvé entre Athènes et ses créanciers européens au plus vite – et tout particulièrement d'ici le 20 février, date du prochain sommet des ministres des Finances de l'eurozone. Dans le cas inverse, s'inquiète le FMI, une crise politique pourrait bien survenir.
Nos remerciements à Monsieur Scheller
Le Fonds monétaire international (FMI) va se réunir pour discuter de la condamnation (prononcée le lundi 19 décembre 2016) de sa directrice générale, Christine Lagarde, pour négligence coupable dans l'exercice de ses fonctions en France, a indiqué un porte-parole de l'institution. Le conseil d'administration du FMI, qui représente ses 189 Etats membres, devrait en effet se réunir bientôt pour évaluer les plus récents développements.
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Christine Lagarde est donc déclarée coupable, mais elle ne fait pas l'objet d'une condamnation ou sanction. Amusante, cette justice française ! Il est vrai qu'il faut ménager l'image de FMI, image abîmée par le Français DSK et abîmée maintenant par la Française Christine Lagarde.
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Pour la petite histoire, la sarkozique Christine Lagarde avait décidé du versement par l'Etat (et donc par les contribuables) de plusieurs centaines de millions d'euros à un entrepreneur français ayant, entre autres, fait de la prison. En outre, Christine Lagarde se montre très favorable aux activités - sur sol français - d'institutions financières et bancaires islamiques. Une question pour terminer : Christine Lagarde sera-t-elle candidate à la présidentielle française en 2022 ?
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Michel Garroté
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Le Conseil fédéral a demandé à la BNS de libérer cette somme au Fonds monétaire international en vue du soutien aux pays pauvres.
Le FMI a publié en janvier 2016, un rapport sur les impacts économiques de l’immigration massive en Europe (disponible ici). Si l’institution mondialiste ne cesse de répéter que l’immigration est une chance pour les peuples blancs, le rapport préconise une série de mesures pour faciliter l’intégration des arrivants dans leurs nouvelles colonies.
Le point 25 du rapport (page 19) préconise, pour faciliter leur intégration sur le marché du travail, de supprimer le salaire minimum temporairement pour les « migrants » !
Granting temporary and limited exceptions from minimum wages for refugees may also be helpful.
Targeted and temporary exemptions from minimum wages may be justified on the grounds that they would offset the asylum seekers’ unique initial disadvantages relative to native workers.
Legislation in many countries allows this flexibility. For instance, in Germany recognized refugees should be treated like the long-term unemployed in the minimum wage legislation, as suggested by the German Council of Economic Experts, that is, they should be exempt from the minimum wage for the first six months of employment.
However, the benefits of these targeted interventions should be carefully weighed against the risk of creating labor market dualities that may be difficult to unwind. The temporary nature of such schemes and their underlying motivation should be clearly communicated to the native labor force to minimize potential resentment against refugees who may be perceived as competitors on the labor market.
Le cynisme est latent, puisque le rapport préconise de bien expliquer aux indigènes les motifs de cette exception, afin que les travailleurs immigrés ne soient pas considérés comme des concurrents…
Les patrons de multinationales se frottent les mains !
La dirigeante du FMI Christine Lagarde, a appelé mercredi les pays riches à « élargir leur approche » pour accueillir plus de réfugiés, dont l’afflux en Europe pourrait, selon elle, être bénéfique pour la croissance économique.
[...] Selon Mme Lagarde, cet afflux –s’il est géré « avec les mesures appropriées– peut être d’abord bénéfique aux pays d’accueil en augmentant leur population active et en dopant l’activité. « Les calculs préliminaires du FMI montrent un impact positif modéré des migrants sur la croissance dans les pays de l’UE », assure la dirigeante. Surtout, cet afflux pourrait permettre de s’attaquer au vieillissement de la population dans les pays riches et de « réduire la pression » sur le coût du système de retraites et des dépenses de santé, assure Mme Lagarde.
De leur côté, les pays d’origine des migrants vont certes pâtir de l’exil de leur population jeune et qualifiée, reconnaît Mme Lagarde. Mais ils bénéficient en contrepartie de transferts de fonds des migrants vers leurs proches qui totalisent 436 milliards de dollars en 2014, soit « plus de trois fois » le montant de l’aide publique au développement, note-t-elle, en appelant à réduire les frais de ces transferts d’argent.
Source via Fdesouche.com
Le conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann a signé à Washington un accord en marge de la réunion de Printemps de cet établissement financier et du Fonds monétaire international (FMI).
Source
Rappel: La Suisse décide de libérer 11,35 milliards pour la période 2013-2016 pour l'aide au développement
Et si l'État choisissait du jour au lendemain de vous prélever 10% sur votre épargne? Un dixième de ce qui est inscrit sur votre relevé bancaire annuel. L'idée fait sens pour le FMI, qui y voit une bonne alternative à la résolution de la crise de la dette. Avec une ponction de cet ordre, les pays "avancés" (Europe, Etats-Unis, Japon) pourraient retrouver le niveau de dette qu'ils présentaient avant 2007. En France, ça représenterait la somme de 700 milliards d'euros à prélever.