Florence (Italie) : un groupe de 100 migrants sénégalais sème la terreur dans le centre historique suite à la mort d’un de leur compatriote

Les tensions accumulées au cours de la journée qui a suivi le meurtre d’un citoyen sénégalais par un Italien suicidaire, ont provoqué la colère et le vandalisme à Florence.

Un groupe d’environ 100 Sénégalais, tandis qu’à l’intérieur du Palazzo Vecchio il y avait un sommet entre les représentants de la communauté et les institutions, ont décidé de se déplacer dans le centre-ville pour protester et crier leur colère.

 

 

 

 

Via Fdesouche.com

 

Florence (Italie) : le soir du Nouvel An, des « gangs de Nord-Africains » ont semé la terreur en agressant des passants au hasard

Plusieurs citoyens dénoncent les agressions subies sur les places de Florence la nuit de Nouvel An : « Orange mécanique », « des fauves », « frappés sans motif ».

Les places au pied du Ponte Vecchio ont été investies par une violence insensée, œuvre de gangs de Nord-Africains , dans une explosion d’agressions qui rappellent à quelque chose près ce qui s’est produit il y a deux ans à Cologne. (…) plusieurs victimes de ces bandes se sont retrouvées à l’hôpital. Elles ne se connaissaient pas mais ont partagé ce Nouvel An 2018 gâché

Diego Capolongo, 28 ans, place de la Repubblica, vers 4h du matin. Résultat : 30 jours d’Itt et des blessures encore bien visibles. Mais il n’est pas le seul, un garçon de 17 ans figure aussi parmi les victimes des violences gratuites. Devant la boutique Apple, il a été frappé d’un coup de tête qui lui a fracturé le nez.

Quatre victimes affirment que les auteurs de ces violences seraient des nord-africains d’une vingtaine d’année. La police enquête en espérant que les caméras de surveillance auront enregistré ces agressions. (…)

Le premier à dénoncer publiquement la violence était Massimo Paesani, oncle de Capolongo et militant au mouvement 5 étoiles. « A 04h10, Place de la République, des dizaines d’Africains du Nord ont effectué un raid contre des citoyens italiens qui venaient de célébrer et de porter un toast à la nouvelle année, » a-t-il déclaré dans un post Facebook.

Il Giornale via Fdesouche.com

Pour ne pas faire «applaudir le meurtre d’une femme», Carmen ne meurt plus à l’opéra de Florence

Pour dénoncer «le fléau des violences faites aux femmes», le metteur en scène du célèbre opéra de Georges Bizet, Carmen, au théâtre de Florence en a changé la fin. Carmen ne meurt plus sous les coups de poignard de Don José.

La lutte contre la violence faite au femmes s'invite désormais jusque dans les créations artistiques des siècles passés. Le metteur en scène Leo Muscato présente dès le 7 janvier, au Teatro Maggio à Florence, une version édulcorée de Carmen, le célèbre opéra de Georges Bizet, dans laquelle cette dernière ne meurt pas, contrairement au texte original. Il justifie sa décision par l'idée de ne pas faire «applaudir le meurtre d'une femme».

«L'idée m'a été suggérée par le directeur du théâtre qui voulait que je trouve un moyen de ne pas faire mourir Carmen. Il estime qu'à notre époque, marquée par le fléau des violences faites aux femmes, il est inconcevable qu'on applaudisse le meurtre de l'une d'elles», explique ainsi Leo Muscato dans des propos rapportés par l'AFP le 4 janvier.

Le metteur en scène reconnaît avoir été dans un premier temps «déconcerté» par un tel révisionnisme artistique, étant donné que le destin de Carmen, bohémienne séductrice et rebelle poignardée par le brigadier Don José, constitue le «moteur» du chef-d'œuvre de Georges Bizet. Mais après un mois de réflexion, il s'est finalement plié au desiderata de son directeur, soulignant être revenu avec une «solution» dans laquelle Carmen ne mourrait pas mais se défendait contre son agresseur «d'une façon inattendue, comme n'importe qui le ferait à sa place».

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