Allemagne. Thüringen: Des militants de gauche préparaient des bombes visant l’extrême droite.

La police criminelle de Thüringen a trouvé plusieurs kilogrammes de substances chimiques dans 3 appartements .

À présent une enquête est ouverte à l'encontre de deux hommes. L'un deux s'engageait dans une coalition contre des néo-nazis.

Un témoin a donné l'indice détérminant : Losrsqu'il a remarqué qu'un homme avait reçu une plus grande livraison de fertilisants, il a alors alerté la police.

Durant la perquisition à Thüringen, ils ont trouvé une grande quantité de produits chimiques et même "de l'explosif préparé (par auto-laboratoire) en petites quantités", a annoncé Monsieur Gera, porte-parole du ministère public.

Mardi après-midi, des policiers ont fouillé quatre propriétés dans la municipalité de Saalfeld – parmi elles se trouvaient deux biens immobiliers à Rudolstadt ainsi que deux dans la localité de Uhlstädt-Kirchhasel. Deux suspects se trouvent au centre de l'enquête.

Les deux hommes, âgés de 25 et 31 ans, sont accusés de préparation d'un crime à l'explosif et de radiation.

En outre, le suspect âgé de 31 ans est membre de l'Alliance Zivilcourage und Menschenrechte ("courage civil et droits de l'homme") dans le comté Saalfeld-Rudolstadt. Selon le journal, il aurait organisé des manifestations publiques contre les événements néonazis dans la région.

Selon les informations du procureur, de l'acide butyrique, de la poudre de magnésium et de soufre ont été trouvés en grandes quantités dans trois des objets étudiés. Il s'agirait de 20 kilogrammes. Le procureur n'a pas voulu confirmer. La quantité exacte doit encore être relevée par les enquêteurs.

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Extrémistes et racistes – Sans rire qui sommes-nous ?

Ivan-Rioufol-1

   
La gauche politico-médiatique parisienne -- cette caste arrogante et inculte -- nous taxe "d'extrémistes racistes". Sans rire, qui sommes-nous vraiment ? Nous ne sommes ni extrémistes, ni racistes. Nous sommes de droite, un point c'est tout. Ci-dessous, je publie les extraits de deux chroniques, celle d'Ivan Rioufol ('Le Figaro', un journal centriste) et celle d'Elisabeth Lévy ('Causeur', un hebdo de centre-droit).
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Ivan Rioufol écrit : L’Agence France Presse classe votre serviteur, dans une dépêche, parmi les "figures idéologiques majeures de l’extrême droite". Cette caricature est d’habitude utilisée par les sectaires et leurs censeurs, quand ils veulent faire taire un indésirable. Que le procédé soit repris par une institution publique réputée objective est une anecdote qui illustre le noyautage de l’information officielle par le camp du Bien. Être classé à l’extrême droite signifie rejeter les valeurs de la démocratie et de la liberté, pour leur préférer l’autoritarisme, la violence, la rupture.
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Ivan Rioufol : Pour le libéral que je suis, dénonciateur de la pensée totalitaire qui progresse à gauche, le coup de pied de l’AFP est celui de l’âne. S’affirme, chez les "progressistes" en déroute, une montée de l’intolérance et des anathèmes. Ces maux ont les traits du véritable extrémisme. D’ailleurs, si la CGT ne se réclamait de la lutte des classes et du communisme, idéaux qui lui valent l’attendrissement des médias, elle mériterait d’être comptée dans les mouvements fascistoïdes. Le mépris qu’exprime le patron du syndicat, Philippe Martinez, pour la démocratie, y compris dans l’entreprise, a les caractéristiques d’un comportement factieux.
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Ivan Rioufol : Il n’y a pas que ses bacchantes qui le rapprochent de Staline. Martinez est l’hériter d’une idéologie dictatoriale. Il s’emploie à le démontrer en recourant, en dépit de sa dérisoire représentativité, au chantage, à la prise d’otages d’usagers, à la censure de journaux, à la violence syndicale. Pierre Gattaz, patron du Medef, a raison quand, dans Le Monde de mardi, il dénonce la "dérive" de la CGT et fait remarquer : "On ne peut pas laisser une minorité agissante, révolutionnaire, paralyser l’économie". En réalité, l’étiquetage "extrême droite" est un fourre-tout utilisé par la gauche pour poursuivre son œuvre de déconstruction, conclut Ivan Rioufol.
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De son côté, Elisabeth Lévy écrit : Le problème de la droite, comme celui de la gauche de gouvernement, est d'abord politique: à elles deux, elles peinent à séduire plus de la moitié des électeurs. Et cela traduit bien sûr une déroute idéologique. La droite aurait dû être capable de repenser la nation, de reposer la question des frontières et, plus profondément, d'élaborer une nouvelle synthèse entre l'héritage et le nouveau pour refonder ou réaffirmer notre identité collective. Au lieu de quoi elle se contente de faire de l'accompagnement de circonstances qui lui échappent.
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Elisabeth Lévy : Et tandis que certains courent après la gauche pour avoir l'air plus moderne qu'elle, d'autres croient trouver dans le seul passé les forces pour l'avenir. On peut se demander si la droite, après la gauche, n'est pas en train de se terranoviser et de renoncer aux classes populaires qui, comme chacun sait, ont tendance à mal voter. Je suis allée à Béziers assister aux rencontres organisée par Ménard. J'ai été frappée par l'état de colère, d'exaspération et d'inquiétude de la salle. Or, quoi qu'en pensent mes amis qui, comme vous, cher Alexandre, souffrent peu ou prou d'économisme, ces gens peuvent supporter le chômage et l'appauvrissement, pas la perspective de la disparition comme peuple.
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Elisabeth Lévy : À tort ou à raison, une partie de la France invisible décrite par Guilluy se sent menacée dans son identité collective, par l'immigration de masse et par la progression d'un islam séparatiste. Certes, l'économie c'est important, mais les questions identitaires sont brûlantes et il faut les traiter au lieu de se payer de bons sentiments. L'urgence aujourd'hui n'est même pas de décider ce que nous voulons faire mais de savoir qui nous sommes, conclut Elisabeth Lévy.
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Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/06/gros-plan-sur-les-extremistes.html
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http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/06/04/31001-20160604ARTFIG00068-elisabeth-levy-la-droite-se-terranovise-et-renonce-aux-classes-populaires.php
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La Suisse compte 200 à 300 djihadistes potentiels

Christian Hofer: On remarquera que cette responsable tait volontairement l'information la plus importante: l'origine ethnique de ces jihadistes. Cela étant censuré afin que les Suisses ne se rendent pas compte à quel point la propagande favorable à l'immigration est criminelle. De surcroît, le fait qu'ils aient une maturité prouve bien que cela n'a rien à voir avec le manque d'éducation.

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Le Service de renseignement de la Confédération a en ce moment 200 à 300 terroristes possibles dans le viseur.

Le Service de Renseignement de la Confédération (SRC) scrute notamment les réseaux sociaux et les personnes qui y expriment des sympathies pour l'Etat islamique, qui font montre d'un comportement suspect ou qui semblent s'exclure de la société, a déclaré la cheffe de l'Office fédéral de la police (fedpol) dans l'émission «Samstagsrundschau» de la radio alémanique SRF.

Le profil d'éventuels djihadistes est quelque peu différent en Suisse, par rapport à la France ou la Belgique. Ici, on doit aussi prendre en considération des jeunes qui commenceraient à se radicaliser après une rupture dans leur parcours de vie. Ils ne sont peut-être jamais allés en Syrie et ont une maturité en poche, a expliqué en substance Mme della Valle.

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