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Islamo-gauchisme – Médias milliardaires et gauchistes – Guerre civile
Michel Garroté -- A deux jours du premier tour de l'élection présidentielle française et au lendemain de l'attentat islamiste sur les Champs-Elysées, la présente compilation d'analyses - je le précise d'emblée - est longue. Et c'est pourquoi je commence par en donner les divers contenus, afin que les lectrices et lecteurs puissent, s'ils le souhaitent, aller directement sur le contenu qui les intéresse le plus. La compilation commence par une série de réflexions d'Ivan Rioufol et de Les 4 Vérités sur le gauchisme, l'islamo-gauchisme et le Decodex. Puis, la compilation reprend diverses analyses (de Réinformation.tv et de Challanges) sur les Médias milliardaires et leurs méthodes très militantes. Enfin, la compilation cite des extraits d'une analyse du Général Antoine Martinez sur les risques de guerre civile.
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Gauchisme et Islamo-gauchisme :
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Ivan Rioufol : Parler de radicalisation pour désigner à la fois le mouvement Sens Commun, la formation issue de La Manif pour Tous qui a rejoint François Fillon, et le totalitarisme islamique en guerre contre la démocratie revient évidemment à édulcorer la dangerosité des fanatiques ayant fait allégeance à l’Etat islamique. Ceux-là peuvent se satisfaire de cette soumission en marche. Les intimidations des islamistes, qui sont les premiers à se réclamer du vivre ensemble, de l’antiracisme et des droits de l’homme pour consolider leur impunité, semblent malheureusement efficaces. Fillon, candidat des Républicains se distingue de ses concurrents par un discours sans fard contre l’islam radical.
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Fillon est celui qui s’est le plus engagé dans la défense des Chrétiens d’Orient, victimes d’une épuration par l’islam sunnite. Lors de son meeting du 9 avril, à Paris, il avait appelé les Français musulmans "à se soulever contre l’obscurantisme et à nous aider à faire le nettoyage". Il persiste ce mercredi dans Le Parisien : "Je veux combattre l’intégrisme avec les musulmans". Et si Marine Le Pen n’épargne pas non plus l’islamisme, elle le fait parfois d’une manière oblique. Lors d’un meeting à Lyon, le 5 février, elle avait cru bon de dénoncer à la fois le totalitarisme djihadiste et le totalitarisme affairiste, présentés comme deux effets de la mondialisation. Ce relativisme saugrenu n’aide évidemment pas à hiérarchiser les dangers. Il faut néanmoins remarquer que la présidente du FN a, depuis quelques jours, repositionné plus clairement son discours.
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Ivan Rioufol : L’islamo-gauchisme, cette alliance du marxisme et du djihad contre l’Occident libéral et capitaliste, s’est désormais installé, comme une plaie, dans les rangs de l’extrême gauche et chez les plus radicaux des socialistes. Manuel Valls, qui était le seul de sa famille politique à avoir mis en garde contre ce fascisme islamiste et son antisémitisme, n’a évidemment aucun point commun, sur ce sujet, avec Benoît Hamon et ses accommodements. Si l’ancien premier ministre a déclaré, mardi, ne pas vouloir parrainer son concurrent désigné par la primaire du PS, en dépit des engagements initiaux, c’est bien parce que le candidat à la présidentielle n’a pas rompu les liens avec l’idéologie islamiste et ses exigences de visibilité et de respect. Elle a réussi à faire passer, chez les moins regardants et autres idiots utiles, le musulman pour le nouveau damné de la terre.
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Ce clientélisme est l’une des plus graves faiblesses de Hamon. Pour autant, le soutien de Valls à Emmanuel Macron n’a rien d’évident non plus. L’enfant chéri du progressisme "bienveillant" ne montre, en effet, aucune envie d’engager l’épreuve de force contre le nouveau totalitarisme qui exige et obtient la soumission des plus dociles. Valls, lui, avait eu le mérite de le désigner comme l’ennemi à "combattre et abattre". La gauche rampante et collaborationniste devrait au moins lire ce que les islamistes eux-mêmes écrivent de leur stratégie. Ils ont ce mérite de faire ce qu’ils disent. Carlos, par exemple. Le terroriste vénézuélien, converti à l’islam à 25 ans et déjà condamné deux fois à la perpétuité depuis son arrestation par la France en 1994, comparaît depuis lundi devant la Cour d’assises spéciale de Paris. Il doit répondre, 43 ans après les faits, de l’attentat du Drugstore Publicis (2 morts, 34 blessés).
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Or Carlos, marxiste et islamiste, est un des théoriciens de cet islamo-gauchisme qui fait aujourd’hui partie du paysage politique français. Dans son livre, L’islam révolutionnaire (Editions du Rocher, 2O03), Ilich Ramirez Sanchez, dit Carlos, invitait déjà les "mouvements anti-globalisation" à venir rejoindre la lutte pour "libérer le monde de l’exploitation impérialiste et la Palestine de l’occupation sioniste". Rejetant la différence entre islam et islamisme, il écrit : "L’Islam est par essence "politique" en tant qu’organisation divine de la communauté des croyants".
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D’ailleurs, pour lui, la France a déjà basculé : "Du fait des flux migratoires nés de la colonisation, elle est déjà et depuis des décennies dar al-islam (terre d’islam,NDLR). Des moquées, des lieux de culte s’érigent partout. Cette conquête spirituelle se fait sans violence. Le facteur démographique joue en la faveur de l’Islam", etc. Pour Carlos, "la lutte armée est non seulement licite, mais elle devient une obligation religieuse et par conséquent un devoir moral quand il n’existe aucune solution non violente". L’islamo-gauchisme est dans cette logique d’affrontement et de guerre civile. Autant le savoir, précise Ivan Rioufol.
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Et à propos du "barrage" qu'il faudrait faire, non pas à l'islamisme violent et conquérant, mais au Front national (le seul parti politique français qui ne fait pas dans l'islamophilie très tendance), Ivan Rioufol écrit : Faire barrage fait monter le niveau. Cette donnée ne s’applique pas seulement aux eaux retenues. Les voix comprimées peuvent aussi produire cet effet. Rien de tel, pour faire croître le vote FN, que de poursuivre la stratégie du No pasaran !, héritée des républicains espagnols. Rien n’est plus convenu dans cette campagne que de faire à Marine Le Pen le reproche de sa recherche d’affrontement. Pourtant, c’est Emmanuel Macron, le chantre de la bienveillance, qui désigne le FN comme un "ennemi".
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Ce faisant, le leader d’En Marche ! installe dans les esprits une notion de guerre civile qu’il réfute du côté de l’islam totalitaire. La gauche, qui n’a rien à dire sur les grands sujets posés par l’asphyxie migratoire et la montée de l’islamisme dans les cités, déploie également toute sa violence verbale pour disqualifier les solutions qu’apporte ce parti. Les mesures avancées par le FN peuvent être évidemment contestées. Mais la pire des réponses consiste à ne pas vouloir traiter les sujets d’inquiétude portés par ses électeurs. Ceux-là ne méritent pas d’être accusés d’antisémitisme ou de racisme, même s’ils veulent, en effet, un retour à la nation souveraine et à la différence existentielle entre le citoyen et l’étranger. Criminaliser ce conservatisme oblige à dénigrer tout ce qui a constitué la "douce France", conclut Ivan Rioufol.
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A propos de la présidentielle et du communisme, Ivan Rioufol écrit notamment : Arrêtez les frais ! Un autre "Grand débat" sur la présidentielle n’est pas nécessaire. La resucée prévue le 20 avril n’apportera rien de plus à la longue et fastidieuse soirée d’hier (près de 4 heures !) diffusée par CNews et BFMTV. Elle n’a d’ailleurs recueilli que 6,3 millions de téléspectateurs. La lutte des classes, promue par Philippe Poutou et Nathalie Arthaud, a fait rappeler que ce communisme qui se pavane et fait la leçon reste l’héritier de celui qui, au XXe siècle, a causé plus de cinquante millions de morts. La faucille et le marteau, qui se retrouvent aussi parfois sur des drapeaux brandis lors de meetings de Jean-Luc Mélenchon, m’indignent autant que la vision d’une croix gammée. Mais si le régime nazi a connu son procès de Nuremberg, qui a heureusement criminalisé son idéologie et son insigne, le communisme n’a jamais eu à se confronter à ses propres massacres. Il passe à la télé, conclut Ivan Rioufol.
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Decodex et des conneries :
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Lu dans Les 4 Vérités : Les médias « mainstream » ont un problème avec la vérité. Ils accusent volontiers la « réinfosphère » et l’information alternative de mentir. Pourtant, les mensonges sont au moins aussi répandus dans la « grande » presse. Pour lutter contre le « complotisme » qui aurait cours dans la « réinfosphère », « Le Monde », journal de l’oligarchie s’il en est, a lancé le « Decodex », qui note les sites d’informations selon des critères obscurs. Mais ces notations n’excluent pas des approximations ou des omissions – qui s’apparentent fort à des mensonges.
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Ainsi l’Observatoire de la christianophobie, dirigé par Guillaume de Thieulloy, est-il présenté comme un site « traditionaliste », alors qu’il s’agit d’un site oecuménique, évoquant toutes les confessions chrétiennes, et comme donnant des informations « non vérifiées », alors que tous ses articles font référence au minimum à une source et souvent davantage. Détail croustillant : la « preuve » de l’absence de source de l’Observatoire de la christianophobie est donnée par une référence… au « Monde des religions », c’est-à-dire que « Le Monde » est juge et partie ! Si l’on voit comment « Le Monde » méprise des vérités aussi aisées à découvrir, on devine que ses « enquêtes » doivent être des plus contestables, conclut Les 4 Vérités.
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Médias milliardaires :
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Réinformation.tv révèle : Un récent sondage Sofres/Kantar média publié par la Croix révèle que « la confiance dans l’information relayée par les différents médias est historiquement basse ». Avec 41 %, la télévision perd 9 points de confiance, la radio perd 3 points à 52 %. Ce sondage n’est que la confirmation d’une défiance de plus en plus grande des Français à l’égard de ceux que l’on appelle « les grands médias ». Pour répondre aux questions posées par Armel Joubert des Ouches dans ce documentaire, nous avons interrogé Jean-Claude Bourret, ancien présentateur des journaux de TF1 et de la Cinq. Le journaliste, qui fut également rédacteur en chef à France Inter et à RMC, évoque la mainmise des milliardaires sur les médias depuis ces 20 dernières années en particulier.
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« J’ai toujours dénoncé l’interpénétration qui existait entre le pouvoir politique et le pouvoir médiatique, explique-t-il, mais de façon mesurée car vous ne pouvez pas attaquer de front ceux qui sont beaucoup plus puissants que vous sinon ils vous écrasent ! Je l’ai dénoncé dans des journaux comme Télé Star, Télé 7 jours. Cela m’a valu de perdre le journal de 20 heures sur TF1 au moment où il y a eu la grande manifestation (1984) en faveur de l’école libre parce que j’avais fait mon métier de journaliste ! ». Ce jour-là en effet, parce qu’il est le seul à annoncer un chiffre officiel « censuré par l’Agence France presse » – 800.000 personnes présentes à la manifestation – Jean Claude Bourret s’attire les foudres du pouvoir socialiste de l’époque.
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C’est alors François Mitterrand qui dirige le pays. Il est un fait que si Radio France (France Inter, France Info) et France Télévision appartiennent à l’Etat, les « grands patrons » sont propriétaires de la plupart des gros médias dans le pays. Bouygues détient TF1, LCI et TMC ; Dassault possède le groupe le Figaro ; Patrick Drahi est propriétaire du journal Libération et de l’Express ; quant à BFMTV et RMC, ces deux médias sont entre les mains d’Alain Weill, actionnaire majoritaire du groupe NextradioTV. Il faut également compter sur Vincent Bolloré, Bernard Arnault ou Arnaud Lagardère. Des banques telles que le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel détiennent également des parts importantes dans la presse régionale notamment.
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Pour Ivan Rioufol, essayiste et journaliste au Figaro, il faut admettre que « les journalistes sont tous formatés. Je suis surpris de constater que les journalistes qui sortent des écoles n’ont pas d’esprit critique ». Robert Werner, ancien rédacteur en chef à TF1 – pourfendeur de l’énergie éolienne, voir notre reportage « Energie éolienne, la grande escroquerie » – estime lui que « la culture générale de la part de la grande majorité de journalistes laisse pleinement à désirer. Parlez-leur de la Saint Barthélémy, parlez-leur des guerres de Vendée, c’est le vide ». Dans ce documentaire de 26 minutes, Armel Joubert des Ouches a également interviewé Martial Bild, Directeur de la rédaction de TV libertés, Jeanne Smits journaliste depuis une trentaine d’année, mais aussi Frédéric Pons, journaliste – écrivain et professeur aux écoles de Saint Cyr. Frédéric Pons qui est l’auteur de nombreux ouvrages vient d’achever Le martyre des chrétiens d’Orient, livre publié chez Calmann-Lévy, conclut Réinformation.tv.
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Mediapart & Canard Enchaîné - Deux stratégies opposées :
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Dans Challanges, Marc Baudriller livre l'analyse que voici : Le Canard enchaîné, qui a lancé l'interminable affaire Fillon, mène la danse des affaires dans cette campagne électorale mais son concurrent Mediapart se porte très bien. Le site payant d'Edwy Plenel créé il y a maintenant neuf ans vient de publier ses comptes 2016. Son créateur a longuement détaillé la fourmilière qu'il anime. Outre les articles de la rédaction, Mediapart livre sur le web des documentaires tournés en vidéo, des débats enregistrés dans son studio, il s'est associé avec des chercheurs, avec un pool européen d'enquêteurs, il publie une revue sur papier, des livres... Impossible de tout citer. Il a surtout 131.000 abonnés qui payent chaque mois. Cette idée de site éditorial payant paraissait un peu déraisonnable voilà neuf ans, c'est devenu une entreprise très prospère. Les 32 salariés du départ sont aujourd'hui 74. L'entreprise occupait 350 m2 de bureaux dans l'est parisien, elle s'étale maintenant sur 600 m2. C'est peu dire qu'Edwy Plenel a réussi son pari.
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Mediapart, en retrait face au Canard enchaîné dans l'affaire Fillon, est cependant souvent comparé à cette institution de la cinquième République qui fête ses 100 ans qui a sorti tant d'affaires, des Micros du Canard aux diamants de Bokassa en passant par les avions renifleurs et tant d'autres. A elle seule, la comparaison en dit donc long. Le Canard vend presque 400.000 exemplaires par semaine en moyenne, trois fois le nombre des abonnés à Mediapart. Surtout, le Canard a mis de côté 124 millions d'euros. De quoi vivre pendant cinq ans sans la moindre recette.
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Mediapart n'a évidemment pas cette cagnotte. Mais le site de Plenel affiche en 2016 deux fois la rentabilité du Canard en 2015 (ce sont les derniers chiffres disponibles): 2,04 millions d'euros de résultat net l'an dernier sur un chiffre d'affaires de 11,6 millions d'euros pour Mediapart contre 2,2 millions d'euros de résultat net sur un chiffre d'affaires 2015 de 24,5 millions. Mais les deux médias d'investigation affichent deux stratégies très différentes. L'un reste craintif, l'autre affiche un gros appétit. Alors que le Canard thésaurise pour résister en cas de coups durs, Mediapart veut se développer, participer à des initiatives du même genre dans les grandes villes de France ou à l'étranger, conclut Marc Baudriller.
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Guerre civile :
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Le Général Antoine Martinez : Les événements dramatiques qui se sont déroulés sur notre propre sol depuis quelques années et surtout récemment sont autant de signaux d'alarme totalement ignorés par ceux qui nous gouvernent et qui ont plongé le peuple dans la désespérance et l'exaspération. Cette exaspération alimente une colère qui ne cesse de monter et qui conduit à une radicalisation des esprits. Alors, si la primauté du politique sur le militaire n'est absolument pas contestée, la Grande Muette [ndmg - l'armée française], garante de la continuité historique directement liée à la sécurité et à la protection de son peuple, doit à présent, devant le danger imminent qui menace le pays, briser le silence pour rappeler aux responsables politiques leurs obligations à l'égard de la Nation.
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Cela devient même un devoir lorsque l'État trahit la Nation, comme c'est le cas depuis plusieurs années, et que l'intérêt supérieur du pays est en cause : suivre l'évolution de la situation sur un laps de temps de huit années et constater, sur de nombreux points, l'aggravation de cette dernière en raison du déni des réalités des responsables politiques, de leur manque de vision à long terme et de la prise de décisions contraires aux intérêts de la Nation. L'évolution dramatique de la situation de la France, et d'ailleurs de l'Europe, par la faute des responsables politiques qui ne veulent pas admettre la stratégie de conquête d'un islam incompatible avec la démocratie et qui mènent le pays vers le chaos, nécessite que la Grande Muette brise à présent son silence pour provoquer un sursaut, conclut le Général Antoine Martinez.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Sources :
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/surtout-ne-pas-dire-le.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/03/lislamo-gauchisme-plaie-mortel.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/faire-barrage-fait-monter-le.html
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/04/pitie-pas-un-autre-grand-debat.html
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http://www.les4verites.com/culture-4v/manipulations-mediatiques
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http://reinformation.tv/defiance-envers-medias-discredit-joubert-67335-2/
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https://www.challenges.fr/election-presidentielle-2017/la-campagne-dans-les-medias/mediapart-face-au-canard-enchaine-deux-strategies-d-investigation-opposees_460607
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http://www.apopsix.fr/catalogue/quand-la-grande-muette-prendra-la-parole--978-2-35979-135-8.html
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Pierre Jovanovic: Si Macron est élu, la France n’existera plus.
Extrait de l’entretien avec Pierre Jovanovic: un regard sans concession sur l’actualité politique et économique. Pierre Jovanovic évoque l’élection présidentielle américaine, l’Europe, enfin ce qu’il en reste…
Bloomberg annonce Marine Le Pen présidente en 2017
Michel Garroté - Un an après avoir anticipé le Brexit et Trump, l'agence de presse Bloomberg annonce Marine Le Pen présidente et un Frexit pour 2017 (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Bloomberg s'est lancé le défi d'envisager les événements et les actualités qui pourraient bien être amenés à devenir réels au cours de l'année 2017, compte tenu du contexte actuel et des mutations économiques, géographiques, politiques et militaires vers lesquelles nous nous dirigeons. Le travail auquel se livre Bloomberg est largement inspiré par - et lié à - l'actualité du monde qui nous entoure.
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Comme écrit plus haut, Bloomberg avait anticipé le Brexit et la victoire de Trump, ce qui donne à cette agence de presse une forte crédibilité. Donc, pour 2017, Bloomberg anticipe la victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle française, et, dans les mois qui suivront, la tenue d'un référendum sur une sortie de la France de l'Union européenne.
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L'agence Bloomberg anticipe en outre : Qu'en Allemagne, Angela Merkel perdra les élections. Qu'en Italie, le leader du Mouvement 5 Étoiles, Beppe Grillo, se hissera au pouvoir et lancera l'idée d'un référendum pour la réintroduction de la lire italienne. Qu'au Royaume-Uni, Theresa May, elle, se verra dépassée par un candidat de la ligne dure du Brexit, après que les discussions sur la mise en place du Brexit n'aboutissent pas à quelque chose de concret. Qu'en Grèce, la crise économique persistera mais, que cette fois, aucun renflouement par l'UE ne sera prévu.
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Parmi les autres événements anticipés par Bloomberg, on trouve également un retour en grâce, sur la scène internationale, de la Russie de Vladimir Poutine (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.slate.fr/story/130589/monde-2017-predictions
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Fillon avec ou sans faiblesses ?
Michel Garroté - Certes, selon certains, Fillon apparaît comme le seul candidat capable de battre le FN en 2017. Mais dans la presse, on ne dit pas pour autant : "Fillon est le seul" ; on dit : "Fillon apparaît comme le seul". Nuance ! "Apparaître" et "être" sont deux choses différentes ! N'est-il pas ? Il est...
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Je note que personne n'avait prédit le Brexit. Que personne n'avait prédit la victoire de Trump. Que personne n'avait prédit que 'Mutti Merkel' ferait marche-arrière concernant la 'massive migration mahométane' (MMM en abrégé...). Que personne n'avait prédit la montée des partis populaires et souverainistes en Europe. Et, par conséquent, personne ne peut "prédire" (avec ou sans boule de cristal) la victoire de François Fillon, ou, celle de Marine Le Pen, aux présidentielles de mai 2017.
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Je note avec amusement, qu'en ce moment, Fillon est "harcelé" (aïe...) par toutes celles et tous ceux qui, aussi bien à droite qu'à gauche, lui "conseillent" (de la part d'un ami qui vous veut du bien...) d’adoucir son projet, de mettre de l'eau dans son vin. Mais celles et ceux qui agissent ainsi, connaissent-ils vraiment "le-Fillon-nouveau" ? Et sont-ils persuadés qu’il reculera dans son projet, dans son programme et dans sa volonté de réforme ? La réponse est : ils ne connaissent rien à ce sujet ; ils ne sont persuadés de rien ; et donc ils ne savent rien.
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A ce propos, Yvan Rioufol écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Fillon a encore à faire ses preuves, bien entendu. Reste que sa désignation comme candidat à la présidence de la République vient mettre fin au long règne (près de trente ans) de la droite honteuse, centriste et conformiste, que Juppé entendait perpétuer avec l’appui de la majorité des médias. Ses soutiens venus de la gauche, de fonctionnaires, de féministes, de militants homosexuels, de mosquées et de prédicateurs musulmans, ont mis au jour les ambiguïtés chiraquiennes de cet homme au "modernisme" déjà dépassé.
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La défaite sans appel de Juppé est révélatrice de la volonté d’un électorat réactif de tourner une page et de s’assumer clairement dans son choix de rupture conservatrice. La recherche d’une unité retrouvée des Républicains, qui alimentait hier soir les commentaires des médias audiovisuels, n’est certainement pas souhaitable. La claque que viennent de prendre les centristes nigauds et les zozos de l’"identité heureuse" les invite à aller voir ailleurs. En se mobilisant massivement pour Fillon, les électeurs l’invitent à s'émanciper une fois pour toute de cette fausse droite culpabilisante, moralisatrice et tire en bas, prête à se coucher devant l’islam politique et ses exigences de soumission.
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A partir de ce jour, Fillon ne peut se permettre aucune faiblesse s’il veut attirer à lui une partie de l’électorat sans parti fixe, qui se désespère de trouver un point d’ancrage à droite. Sur le papier, ses solutions libérales et identitaires sont de bonnes réponses qui demandent à être précisées. La colère du peuple peut être canalisée. Mais pour cela, Fillon va devoir l’entendre jusqu’au bout s'il ne veut pas qu'elle lui échappe, ajoute Yvan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/11/le-triomphe-de-fillon-peut-nui.html
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Les cathos français ne sont pas démocrates-chrétiens
Michel Garroté - Quand on demande aux catholiques français croyants et non-prratiquants pour lequel des candidats LR ils voteraient, 36% répondent Alain Juppé, 31% Nicolas Sarkozy et 17% François Fillon. Chez les catholiques croyants et pratiquants, Sarkozy fait légèrement mieux que Juppé avec 33 % des intentions de vote pour Sarkozy contre 31% pour Juppé. François Fillon, en revanche, ne bénéficie pas du ralliement du mouvement opposé au mariage homosexuel 'Sens commun' ; il est pointé à 15% sur ce segment.
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Le président du Parti chrétien-démocrate (PCD), également membre de LR, Jean-Frédéric Poisson, bénéficie d'une misérable prime chez les catholiques pratiquants à 6% et d'une prime encore plus misérables à 3% auprès de l'ensemble des catholiques. En clair, les catholiques français ne sont pas intéressés par le seul candidat LR qui soit démocrate-chrétien : Jean-Frédéric Poisson. C'est aberrant mais c'est comme ça. Mais au fait, qui est ce démocrate-chrétien Jean-Frédéric Poisson ?
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Jean-Frédéric Poisson (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Il y a une fracture idéologique qui passe aujourd’hui à travers toutes les familles politiques, hormis à travers le Parti chrétien-démocrate, et qui énonce des priorités différentes pour les sociétés. Il y a des projets fondés sur des logiques personnalistes – c’est celui que nous portons au PCD et qui est résumé par la pensée sociale chrétienne. Et il y a des logiques principalement dominées par le marché, dans lesquelles j’inclus les logiques étatistes. Cette ligne de fracture traverse tous les partis. C’est vrai au Front national, partagé entre « la ligne Philippot » et « la ligne Marion » –, c’est vrai chez les Républicains – à la primaire, mes six autres concurrents sont sur la ligne libérale –, c’est vrai aussi au Parti socialiste puisque ce qui sépare les frondeurs d’Emmanuel Macron est exactement la même division.
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Jean-Frédéric Poisson : Un jour viendra où, en tout cas à droite, il faudra trancher et faire en sorte qu’un même espace réunisse tous ceux qui défendent un projet d’abord personnaliste. Cette recomposition se fera. Est-ce qu’elle se fera à l’occasion des prochaines législatives ? Je n’en sais rien. Est-ce que j’y travaille ? Bien sûr que oui. Est-ce que j’ai la volonté d’aboutir dans ce sens ? Evidemment que oui aussi. Je suis, comme président de parti même si ça peut paraître paradoxal, beaucoup moins prisonnier de lignes partisanes que d’autres. Je continue donc à tracer du sillon et à porter dans le débat public une conception qui me paraît au centre de gravité de ce que vous appelez « la droite hors les murs », même si je n’aime pas beaucoup cette expression.
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Jean-Frédéric Poisson : Je ne suis pas un politicien professionnel. J’ai d’abord été chef d’entreprise, bien ancré dans le réel et je pense que c’est absolument nécessaire pour ne pas promettre l’impossible. Ensuite, je n’ai jamais été membre d’aucun des gouvernements successifs qui ont mené ce pays au bord du gouffre. Ce n’est certes pas suffisant pour devenir un chef, mais je crois que ce peut être perçu comme nécessaire par beaucoup.
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Jean-Frédéric Poisson : Si je suis différent, c’est en raison de la cohérence de mon projet. Je refuse d’énumérer des mesures en fonction des sondages qui sortent chaque jour. C’est ce qu’il y a de plus simple pour séduire de manière éphémère, mais c’est continuer à prendre les Français pour des imbéciles. Notre pays a besoin de réformes fondamentales sur tous les sujets, notamment en ce qui concerne la famille, l’Europe, l’éducation, la liberté des corps intermédiaires, et les autres candidats ne proposent pas ces réformes de fond.
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Jean-Frédéric Poisson : La politique est une manière de concevoir la vie en société et le bien commun. On ne peut séparer les aspects de la vie des Français, cela n’a aucun sens. Cette séparation est d’ailleurs bien souvent l’occasion de mettre l’homme au service de l’économie au lieu de respecter sa dignité. C’est cette dignité humaine que je veux remettre au cœur du projet politique qui redressera la France. Chaque décision, dans chaque domaine, doit respecter la nature même de l’homme. Je ne peux par exemple pas refuser la peine de mort tout en faisant de l’homme un esclave du monde du travail. Cela n’a pas de sens puisque l’homme est un.
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Jean-Frédéric Poisson : Il faut déjà engager le retour dans leur pays de tous les étrangers qui sont entrés clandestinement dans notre pays et à qui nous n’avons rien à offrir. Il y a des réfugiés qu’il est légitime que nous aidions, mais ce n’est pas la majorité de ceux qui entrent chaque année en France. Ensuite, nous devons avoir une parole de vérité et une réaction appropriée face à l’islam, qui pose aujourd’hui clairement un problème à notre pays et à notre République. Nous devons réaffirmer ce qu’est la France et inscrire ses racines chrétiennes dans la Constitution pour que ce soit très clair pour tout le monde : libres alors à ceux qui ne s’y retrouvent pas de quitter le pays. Mais la France n’a pas vocation à devenir multiculturelle, elle doit rester la France.
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Jean-Frédéric Poisson : Je ne suis pas un libéral, car je refuse que les relations humaines passent après les relations commerciales et la logique du profit. Je suis le seul à avoir exercé la responsabilité de chef d’entreprise parmi les candidats à la primaire, je sais qu’il est possible de mettre l’économie au service de l’homme, au lieu de faire l’inverse, et que cela est préférable pour l’ensemble du corps social.
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Jean-Frédéric Poisson : Je remplacerai le ministère de l’Éducation nationale par un ministère de l’Instruction publique. L’école n’est pas là pour éduquer, elle est là pour instruire. L’éducation des enfants appartient aux parents, pas à l’État. Je m’oppose catégoriquement à l’idée développée par Vincent Peillon et le gouvernement socialiste que l’enfant doit être arraché à tout « déterminisme familial, culturel », etc. Concernant le chèque-éducation, je soutiens sa mise en place. La liberté de l’enseignement est garantie par la constitution. Il faut faciliter la mise en œuvre de cette liberté. C’est ce que permettrait l’instauration de chèques scolaires afin de passer de l’aide apportée aux établissements à l’aide apportée aux familles, conclut Jean-Frédéric Poisson (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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