Allemagne : Au bout de 11 mois de souffrance, un retraité est mort. Il avait été tabassé presque à mort par un réfugié

Il a lutté et souffert pendant onze longs mois. Il n'a pas réussi !

Le retraité Detlef J. (76 ans), qui a été frappé jusqu'au coma par un réfugié de Somalie, est mort ce matin dans une clinique. C'est ce qu'ont annoncé ses fils Ralf et Markus Janetzky (51 ans).

Le 15 mai de l'année dernière, le retraité avait rencontré des connaissances pour jouer au Yahtzee. Sur le chemin du retour, il a été frappé jusqu'au coma par un homme de 26 ans originaire de Somalie, apparemment sans raison.

Il a souffert de plusieurs fractures au visage. Il a perdu la vision d'un œil et depuis lors, il avait besoin de soins permanents.

L'état du retraité a continué à se détériorer jusqu'au bout. Il a dû être nourri avec une sonde gastrique. A la fin, il ne pouvait plus du tout avaler. Lundi, les fils du retraité ont annoncé que leur père était mort dans une clinique.

Le tribunal régional d'Offenburg a ordonné le placement dans un hôpital psychiatrique

L'auteur, âgé de 26 ans, a déjà été jugé en novembre de l'année dernière. Cependant, le tribunal régional d'Offenburg avait ordonné que l'homme soit placé dans un hôpital psychiatrique.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de / Focus.de

 

Christian Hofer : L'article allemand du Bild utilise la formule "Er hat es nicht geschafft!" pour signifier qu'il n'a pas réussi à survivre, l'exact contraire du slogan immonde de Merkel qui assénait son "Wir schaffen das" pour accueillir ces mêmes migrants. Aujourd'hui, cette femme n'a aucun compte à rendre malgré tout le mal qu'elle a fait.

 


Rappel :

Stuttgart (All.) : un retraité tabassé presque à mort par un demandeur d’asile. Personne ne veut lui payer les soins.

Zurich : Des militants de gauche manifestent (en voiture) pour les réfugiés, la police intervient

Mevlut Cavusoglu, ministre turc : « L’ UE doit accueillir les réfugiés et accélérer le processus d’adhésion de la Turquie, grand pays européen »

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Stuttgart (All.) : un retraité tabassé presque à mort par un demandeur d’asile. Personne ne veut lui payer les soins.

Lorsque Ralf. J. (51 ans) pousse son père en fauteuil roulant dans le couloir de l'hôpital, il pourrait pleurer. Le père ne reconnaît plus son fils et reste assis là, apathique. Detlef J. (75 ans), retraité, est une personne qui demande des soins constants après qu'un réfugié somalien l'ait frappé presque à mort.

Et chaque jour, le fils est tourmenté par cette question : A présent, qui va payer pour la triste vie de son père ?

Detlef, retraité d'Offenburg, rentrait chez lui lorsqu'il a rencontré Ali M. (25 ans). Le réfugié a notamment frappé Detlef à coups de pieds lorsque le retraité était allongé sans défense sur le sol. Cette agression s'est déroulée le 16 mai. Le réfugié se trouve en détention.

Pendant ce temps, Detlef vit un enfer. Il est désormais aveugle de l'œil gauche et il a subi plusieurs opérations du visage. Son muscle de déglutition est endommagé. On vient de lui implanter un tube gastrique pour le nourrir.

Son fils Ralf déclare : "Nous sommes censés trouver une maison de retraite."

Mais qui va payer?

Avant l'agression, Detlef J. était un retraité dynamique. Aujourd'hui, il doit être pris en charge en permanence.

Son fils Ralf calcule : "Un établissement de soins coûte entre 4400 et 4800 euros. L'assurance verse 2005 euros. En outre, la pension de papa se monte à 1200 euros. En fin de compte, il reste 1600 euros qui ne sont pas couverts. Mon frère et moi sommes censés rassembler cet argent. Nous n'y arrivons pas."

Deux institutions d'Offenburg ont déjà refusé de prendre le retraité parce que le paiement n'était pas clarifié. [...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de