C’est un journal italien qui nous apprend qu’une militante de « No Borders » venue aider les immigrés illégaux, pardon les « réfugiés », à Vintimille, s’est faite violer par un immigré.
Mais, outre le viol, la jeune femme a aussi subi les pressions des autres militants immigrationnistes pour tenter de la contraindre à se taire.
Cette femme de 30 ans, militante chez « No Borders », une organisation qui depuis environ un mois a installé des bénévoles à la frontière entre l’Italie et la France, à Vintimille, pour aider les migrants.
Elle a été violé par un immigré sénégalais dans l’une des douches du camp pour réfugiés.
Selon des informations parues dans La Stampa, la femme aurait déclaré le viol au bout d’un mois, en expliquant à la police qu’elle était restée silencieuse tout ce temps, parce que certains militants de No Borders faisaient pression pour qu’elle se taise pour éviter les scandales et ne pas nuire à leur cause.
La femme a expliqué que le viol a été commis un samedi soir durant une fête, qu’elle a crié, appelé au secours, mais que personne ne l’a entendu en raison de la musique diffusée à plein volume.