Autriche : deux Afghans de 16 et 18 ans droguent, torturent, violent et assassinent une fille de 13 ans. La RTS : “l’extrême droite s’empare du sujet”

Après la découverte du corps d’une jeune fille de 13 ans dans le quartier Donaustadt de Vienne, la police a arrêté deux hommes le 28 juin. Il s’agit de deux Afghans, âgés de 16 et 18 ans, qui sont soupçonnés d’avoir drogué, violé et tué la jeune fille relate Der Standard.

(Ndlr: Un troisième suspect afghan est encore recherché.)

Droguée puis violée et tuée

Le corps de la jeune fille a été retrouvé le 26 juin dans un espace vert entre des routes, il présentait  « de nombreux hématomes, notamment au niveau du cou ». Selon le porte-parole de la police, Markus Dittrich, « L’enfant de 13 ans n’a pas été tuée dans un espace public, mais dans un espace privé, un appartement ou une maison ».

L’enquête a progressé rapidement et a pu établir que l’adolescente « aurait consommé de l’ecstasy dans l’appartement du jeune de 18 ans » et reçu des médicaments « dans le but de la rendre docile », selon le chef de la police provinciale, Gerhard Pürstl, lors d’une conférence de presse mardi 29 juin. Elle aurait également été violée.

Deux Afghans venus en Autriche en tant que demandeurs d’asile 

Les deux suspects sont « deux ressortissants afghans venus en Autriche en tant que demandeurs d’asile ». Le suspect de 18 ans est un délinquant multirécidiviste totalisant onze rapports de police, notamment pour trafic de stupéfiants, menace dangereuse et bagarre.
(Ndlr: Après six ans en Autriche, il a toujours besoin d’un traducteur.)

En 2019, il a purgé dix semaines de prison pour une affaire de stupéfiants. En 2020 il a été condamné à dix mois de prison pour vol avec violence – il a toutefois été libéré de manière anticipée en août dernier.

Mineur au moment de sa condamnation il n’était pas expulsable du territoire autrichien, selon la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH).

L’autre suspect de 16 ans n’avait pas de casier judiciaire jusqu’à présent.

Le  30 juin, le ministre de l’Intérieur Karl Nehammer s’est exprimé sur cette affaire qui a profondément choqué l’Autriche : « Ceux qui cherchent une protection en Autriche doivent respecter la loi, ceux qui ne le font pas doivent partir ».

Source: https://www.bvoltaire.fr/autriche-deux-migrants-afghans-de-16-et-18-ans-soupconnes-davoir-viole-et-tue-une-fille-de-13-ans/

Voir aussi: 13-Jährige unter Drogen gesetzt, vergewaltigt, ermordet: Mehr Täter vermutet – Wochenblick

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RTS/Forum, 30 juin 2021

L'Autriche s'enflamme après le viol et meurtre d'une jeune fille par deux immigrants afghans

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Mehmet Gultas, en soupirant, plante le décor, la manière dont nous devrions appréhender ce «fait divers».

-En Autriche,- explique Gultas, - un tragique fait divers est devenu un sujet politique. Samedi dernier à Vienne, des passants ont découvert le corps meurtri d’une jeune fille de 13 ans appuyé contre un arbre. Deux suspecta ont été interpellés lundi, il s’agit de deux demandeurs d’asile afghans. De quoi remettre sur la table un sujet très délicat en Autriche, celui de l’immigration.

Katia Schaer: Oui, les réactions ont été vives et immédiates. Il faut dire que les faits sont particulièrement sordides: la victime aurait été droguée, abusée sexuellement et étranglée. Les deux auteurs présumés sont des Afghans de 16 et 18 ans, le premier est arrivé en Autriche il y a 3 mois seulement, pour y déposer une demande d’asile, mais c’est le profil du deuxième auteur présumé qui attise surtout le débat. Arrivé en 2015 en tant que mineur non accompagné, le jeune homme s’est rendu coupable au fil des années de plusieurs délits, dont du trafic de drogue, du vol, de la menace, il a participé à des bagarres aussi, il a été condamné à une peine de privation de liberté, mais relâché de manière anticipée. Les raisons pour lesquelles il n’a pas été renvoyé en Afghanistan au moment de sa majorité ne sont pas connues.
On a donc tous les ingrédients pour un véritable scandale (ndlr: Les lois droit-de-l’hommistes interdisent de renvoyer un mineur demandeur d’asile dans un pays en guerre).

 

Mehmet Gultas: Et quelles sont justement les réactions en Autriche?

Katia Schaer: Oui, très, très vives. Nombreux articles de presse. Des articles qui relatent que l’Afghan de 18 ans a touché des dizaines de milliers d’euros en aides sociales et dispose d’un appartement payé par les contribuables, de quoi mettre le feu aux poudres, bien sûr.

La politique s’en est mêlée. Le parti d’extrême droite FPÖ, pour Freiheitliche Partei Österreichs, s’est emparé du sujet.
Le Viennois  Dominik Nepp, par exemple, accuse les Sociaux-démocrates d’«arroser les criminels étrangers d’argent», et il martèle que la Vienne socialiste «cajole les monstres criminels étrangers sans se soucier des citoyens autrichiens».

 

Mehmet Gultas: Et comment réagit le gouvernement autrichien?

Katia Schaer: Alors, hier, le ministre de l’Intérieur tentait de calmer les esprits par une conférence de presse très rapidement organisée.
Si la culpabilité des meurtriers est avérée, ils seront immédiatement renvoyés, c’est ce qu’a souligné Karl Nehammer, tout en rappelant à tous les migrants accueillis en Autriche leur obligation du respect du droit autrichien, et en vantant les mérites de la diversité d’une société. Un exercice d’équilibrisme assez peu abouti. Alors que le chancelier Sebastien Kurz, lui, s’est montré beaucoup plus sévère:

«Il est inadmissible que des gens qui viennent chez nous sous prétexte de chercher protection commettent des actes barbares et cruels en Autriche. Politiquement, cela signifie que nous allons poursuivre notre ligne conséquente. Avec moi, il n’y aura jamais de suspension de renvois en Afghanistan, ni d’assouplissement législatif pour les requérants d’asile délinquants.»

 

 

Katia Schaer: Des déclarations qui ne laissent aucun doute. A voir si elles suffiront à mettre terme à la vindicte de l’extrême droite.

On peut rappeler que l’année dernière 3137 personnes venues d’Afghanistan ont déposé une demande d’asile en Autriche.

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/lautriche-senflamme-apres-le-viol-et-meurtre-dune-jeune-fille-par-deux-immigrants-afghans?id=12296970

Italie : retraitée frappée à coups de pied et de poing par un immigré et traînée sur des dizaines de mètres

L'immigré, déjà connu de la police, a repéré vers midi une dame âgée en train de se garer. Dès qu'elle est sortie de sa voiture, il a essayé de lui arracher son sac à main. La dame ne s'est pas laissé faire, car dans son sac il y avait sa pension, tout ce qu'elle avait. Elle a donc résisté, s'est accrochée avec ténacité et a été traînée sur une trentaine de mètres.

L'agresseur, insensible à la souffrance de la femme âgée, a continué à lui donner des coups de poing et de pied.

Les cris de la femme ont attiré l'attention de quelques passants qui ont immédiatement appelé les Carabinieri, tandis qu'un jeune homme s'est lancé à la poursuite du voleur, le poussant littéralement dans les bras de la patrouille de police, promptement intervenue.

Après les formalités au poste de police, l'homme a été raccompagné à son domicile, en attendant l'audience de validation de l'arrestation.

Anziana massacrata a calci e pugni da immigrato: trascinata per decine di metri | Vox News

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Battue par trois immigrants africains pour un vol: elle s'en tire avec un œil au beurre noir

Attaquée par trois Noirs qui voulaient la voler dans le centre ville, elle s'en tire avec un œil au beurre noir, mais l'agression aurait pu avoir une issue plus dramatique.

Maria Gabriella D'Orazio, 63 ans, a été attaquée alors qu'elle sortait de chez elle. L'embuscade a eu lieu dans les ruelles du centre historique.

Elle quittait la maison sur son vélo pour quelques courses. Il était un peu plus de 9 heures du matin. Elle était concentrée sur son téléphone portable quand soudain elle s'est sentie saisie par derrière. Trois jeunes hommes, probablement âgés de moins de vingt ans, tous noirs, l'ont attaquée dans le but de voler son sac. En fait, pendant que l'un des trois maintenait sa tête en arrière avec un bras, l'autre la tirait pour lui prendre son sac.

La femme, bien que de faible corpulence, a su se défendre : elle s'est accrochée à son sac à main et s'est libérée, s'en prenant aux trois voleurs qui, à ce moment-là, peut-être effrayés par la réaction de la femme, ont fui les mains vides, disparaissant dans les ruelles.

"Je n'ai pas crié parce que je sais qu'il n'y a personne dans ces ruelles", explique-t-elle. "Je garde toujours un œil attentif quand je sors et quand je rentre car il se passe de tout ici. Trafic de drogue, hurlements, mauvaises rencontres: un centre historique abandonné et sans contrôle. Ce qui m'est arrivé ne doit pas se reproduire.

Je demande des contrôles de police plus fréquents; un système de vidéosurveillance serait un bon moyen de dissuasion."

Après avoir réussi à mettre en fuite les trois jeunes hommes, la femme n'a pas hésité à appeler le 113. […] Les policiers ont recueilli des vidéos auprès des commerçants du quartier et des enquêtes sont en cours pour retrouver les agresseurs. La femme appelle tous les citoyens à signaler les actes de violence et demande plus de sécurité dans les rues de la ville.

Pestata da tre immigrati africani per rapina: le fanno l’occhio nero | Vox News

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Italie : les personnes âgées terrorisées par les migrants

En Italie, des migrants agressent des personnes âgées ou handicapées pour les voler – Matteo Salvini appelle à l'expulsion immédiate des migrants qui commettent ces crimes.

[…]

 

 

Trois Noirs d'une vingtaine d'années ont attaqué une femme de 64 ans dans la banlieue de Milan aux premières heures du matin et ont tenté de lui voler son sac à main en lui tordant le bras derrière le dos et en la tirant. Après avoir échoué, grâce à la résistance de la femme, ils se sont enfuis par les ruelles.

"Je n'ai pas crié parce que je savais qu'il n'y avait personne dans ces rues à cette heure de la nuit, donc cela aurait été inutile. Je fais toujours attention à ce qui se passe dans les rues. Trafic de drogue, bagarres, rues désertes et incontrôlées. Ce qui m'est arrivé ne devrait jamais arriver à quelqu'un d'autre", explique la victime Maria Gabriella.

Toujours à Milan, des immigrés illégaux se sont spécialisés dans l'agression de femmes âgées, spécialement celles qui vivent seules, qu'ils frappent à coups de pied et de poing, après quoi ils volent leurs objets de valeur et s'enfuient. Un de ces crimes a été filmé par une caméra de surveiller, ce qui a permis d'appréhender deux des auteurs, des immigrants illégaux d'origine égyptienne.

Matteo Salvini a exprimé son indignation sur Twitter:

"Lâches! À Milan, pour un peu d'argent et de petits objets de valeur, ils agressent et tabassent des personnes âgées en pleine rue. […]  Mettez-les en prison et renvoyez-les dans leur pays!"

Plusieurs immigrés ont été condamnés pour des délits similaires, en dernier lieu pour le délit de fuite et le vol d'une femme de 81 ans, où deux immigrés ont été condamnés respectivement à cinq ans et quatre mois et trois ans et huit mois. Il est prévu qu'ils soient expulsés d'Italie après avoir purgé leur peine de prison, en raison de leur cruauté particulière. La femme âgée a subi de telles blessures qu'elle a dû être amputée d'une jambe […].

Idős embereket tartanak terrorban a migránsok | Magyar Nemzet (cf. trad. autom.)

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Traductions libres Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Sadiq Khan nie que Londres soit moins sûre – malgré des statistiques accablantes sur la criminalité

Malgré les statistiques accablantes qu’on lui « met sous le nez », Sadiq Khan affirme que la criminalité n’est pas en hausse à Londres.

Cette capacité de mentir et d’oser tout dire si froidement est propre aux adeptes de l’idéologie qui l’a porté au pouvoir. Derrière ce déni, il y a chaque jour des vies détruites, des assassinats, des blessures graves, des personnes ruinées dont la gauche porte l’entière responsabilité. Des crimes qui auraient pu être évités si la population de Londres était encore composée en majorité d’Occidentaux et d’habitants assimilés, comme naguère.

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