Escroquerie: Un Algérien de 49 ans a comparu hier devant le tribunal correctionnel de Strasbourg pour s'être fait délivrer par la préfecture du Bas-Rhin un titre de séjour en produisant un faux acte de naissance irakien.
Escroquerie: Un Algérien de 49 ans a comparu hier devant le tribunal correctionnel de Strasbourg pour s'être fait délivrer par la préfecture du Bas-Rhin un titre de séjour en produisant un faux acte de naissance irakien.
Question n° 07-00072 : du 13 février 2018
Gilbert Collard attire l’attention de Mme la garde des Sceaux, ministre de la justice sur une circulaire émanant de la Caisse d’Allocations Familiales, et qui concerne le droit à l’allocation de soutien familial (ASF).
Cette allocation est versée sous certaines conditions aux adultes qui recueillent un enfant.
Or, parmi les justificatifs exigés, la CAF exige un acte notarié ou une décision judiciaire.
Cependant, il est expressément écrit que, parmi les décisions juridictionnelles qui peuvent être présentées, figure la « Kafala ». Or, une telle pièce, totalement étrangère à toute norme juridique française, est directement issue du droit coranique.
En effet, le droit islamique, qui s’oppose à toute adoption plénière, stipule qu’un mineur peut être recueilli par une famille sans bénéficier d’aucun droit à l’héritage et sans prendre le nom de son tuteur. La Kafala est donc en quelque sorte une tutelle sans adoption ; car cette dernière avait été interdite par Mahomet.
Gilbert Collard demande donc à Mme le garde des Sceaux : un jugement coranique inconnu du droit français peut-il avoir force probante vis à vis de l’administration française ?
Source
Scène de vie ordinaire devant l’entrée des locaux d’une caisse d’allocations familiales de province.
Le chercheur Jean-Paul Gourévitch et Contribuables Associés ont calculé les principaux coûts de la politique migratoire de la France. Une infographie extraite d’une des dernières étude de Contribuables Associés » Les migrations méditerranéennes » fait frémir. Les arrivées supplémentaires de migrants auraient coûté plus de 600 millions d’euros aux contribuables Français. Ce qui est encore en dessous de la réalité.
Du côté de la CAF (Caisse d’Allocations Familiales), un cadre, qui préfère garder l’anonymat, nous explique : « Le coût de grâce à notre équilibre budgétaire a été donné lors du sommet européen du 23 septembre 2015, il avait été demandé à la France de porter sa capacité d’accueil jusqu’à 30 000 réfugiés dans le cadre d’un « plan de relocalisation des migrants ». La France avait fini par accepter et a confirmé ce choix en début d’année 2016. 30 000 migrants supplémentaires en deux ans génère au bas mot une dépense basse de 405 millions d’euros. C’est la facture des engagements de la France… ». Rien à voir avec les déclarations de Michel Sapin, ministre des Finances, qui annonçait un coût de « quelques millions d’euros ».
Si on compare avec les pays étrangers, l’Allemagne, qui avait prévu d’accueillir 800.000 migrants, avait réservé une enveloppe de 10 milliards d’euros, soit un coût unitaire de 12.500 euros (supérieur à notre estimation annuelle), mais ses procédures plus rapides permettent de régler une situation sur 12 mois.
En France, la Cour des comptes a, quant à elle, fixé l’étiage à 13.724 euros pour un demandeur d’asile et à 5528 euros pour un débouté, sous réserve qu’il ne reste pas en France après la décision. On doit retenir ces chiffres : un coût de 13.724 euros pour un demandeur d’asile et de 5528 euros pour un débouté selon la Cour des Comptes
Contrairement à la langue de bois constamment affichée, le coût d’un migrant irrégulier en France est plus élevé que chez nos voisins, en raison même de notre système d’allocations familiales et de notre protection sociale.
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
Des Ferrari, des Porsche, des Audi, des BMW, des 4X4 rutilants, 442 000 € de rentrée d’argent… Pas vraiment le train de vie d’un couple qui vit des minima sociaux, sans autres revenus déclarés que le RSA et les « allocs »…
Lundi, un couple de fraudeurs aux prestations sociales a été lourdement condamné.
La Voix du Nord via Fdesouche.com
Menace. A Marseille, un multirécidiviste de 30 ans a été éconduit par les vigiles au moment de venir récupérer"son argent" à Caisse d'allocations familiales (CAF), en raison de sa grande agressivité. "Mécontent", il a crié"Allah Akbar ! Je vais tout faire sauter !" Son avocate estime qu'il souffre d'un "délit de faciès".
"Je n’ai rien fait de mal, je suis venu pour réclamer mon argent" se défendait encore ce trentenaire, dans le box des prévenus. Le 5 août dernier, à la CAF du 14e arrondissement de Marseille, il se présente, virulent, pour protester contre la faiblesse de l'allocation qu'il touche depuis sa sortie de prison. Il reçoit 80 euros et estime qu'il a le droit aux 460 euros du RSA. Econduit par les vigiles, il entre dans une colère noire. "Allah Akbar ! Je vais tout faire sauter!" dit-il en mettant la main à sa sacoche. "Je vais vous régler votre compte, je vais revenir et tout faire exploser" dit-il avant de s'enfuir.
«Vacances éthiques» organise dans un centre agréé par la CAF un séjour avec repas halal et prières guidées par un imam controversé.
Curieuses «vacances éthiques» que ce séjour au bord du lac de Serre-Ponçon, dans les Hautes-Alpes. Des repas «halal», des «rappels réguliers» sur «la foi, le comportement et la vie du croyant en général», et, en «invité d'honneur», l'imam controversé Aami Hassen Bounemcha, dont la mosquée d'Aubervilliers est connue pour être fréquentée par des groupes salafistes.
«La spiritualité fait partie intégrante de ce séjour», prévient la brochure. Qui met aussi en avant l'agrément Vacaf - l'organisme qui gère les aides aux vacances des CAF - du centre de vacances. Alertée par les réseaux sociaux, la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) a aussitôt demandé un contrôle. Puis un deuxième, encore en cours. Les subventions de Vacaf au centre lui ont d'ores et déjà été supprimées. L'agrément pourrait également lui être retiré.
Prévu du 21 au 28 août, le séjour - 80 places - est complet. «Nous organisons ce type de programme cultuel et culturel depuis 2014 (...)
Marie Bethanie, sur Le Salon Beige, écrit : Condamné pour fraudes à la CAF, l’imâm Khattabi de Montpellier restera en France. Outre sa qualité de fraudeur, Khattabi est de plus étranger et musulman radical. Cela fait beaucoup pour le même bonhomme, mais ne semble pas du tout déranger les autorités françaises.
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De son côté, Joachim Véliocas, sur l'Observatoire de l'islamisation, s'en indigne à juste titre : "Condamné à six mois de prison avec sursis en ce 13 avril 2016 pour recel de fraudes aux allocations et “travail dissimulé”, son assignation à résidence avait été levée en décembre comme nous le révélions en exclusivité. Une de ses femmes a été également condamnée pour se prétendre “parent isolé” , technique bien connue dans les familles polygames pour toucher l’allocation liée. L’imâm de la mosquée Aisha est aussi accusé par le parquet de travail dissimulé.
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Joachim Véliocas : Il est incroyable que malgré ses prises de positions en faveur des moudjahidines et de moult dérapages, il soit encore toléré sur le sol français. Même le Canada - dont il a aussi la nationalité- n’en veut plus. Son titre de séjour en France a été renouvelé vingt fois, il s’en vante, mais sur quels critères ? Manuel Valls qui a surtout le ministère de la parole, ne compte pas l’expulser de notre territoire, ce qui démontre son double discours à l’endroit des imâms radicaux, fussent-ils étrangers", conclut Joachim Véliocas.
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Michel Garroté
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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http://islamisation.fr/2016/04/13/condamne-pour-fraudes-a-la-caf-limam-etranger-radical-khattabi-de-montpellier-restera-en-france/
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Des députés UMP veulent une commission d'enquête parlementaire sur la question des allocations familiales qui continuent, d'après eux, à être versées à des Français partis faire le djihad en Syrie ou ailleurs.
Selon Alain Marsaud, les CAF de la région Sud-Ouest compteraient une dizaine de cas de personnes parties faire le djihad en Syrie et qui toucheraient toujours leurs allocations. L'un d'eux continuerait par exemple de percevoir 2.200 euros chaque mois.