Pakistan : Un chrétien condamné à mort pour blasphème envers l’islam dans un état dirigé par un ancien député travailliste britannique

Un tribunal pakistanais a condamné à la peine de mort un chrétien déjà emprisonné à vie pour avoir envoyé des SMS diffamant le prophète Mahomet.

Le 10 mars, la Haute Cour de Lahore (Pendjab) a autorisé Sajjad Masih Gill, membre de l’Église adventiste du septième jour, à faire appel vers la Cour Suprême après avoir admis la révision de la condamnation pénale.

En juillet 2013, un tribunal de première instance avait condamné Gill, de la ville de Gojra dans la province du Pendjab, à la prison à vie pour avoir envoyé un SMS controversé à un homme musulman en décembre 2011.

UCA News

L’état du Pendjab est actuellement gouverné par Mohammad Sarwar.

Extrait de sa biographie Wikipédia :

Mohammad Sarwar né le 2 août 1952 à Pir Mahal, dans la province du Pendjab, est un homme politique britannique puis pakistanais.

Ayant possédé la double nationalité, il devient le premier député musulman du Parlement du Royaume-Uni en 1997 en représentant Glasgow, poste qu’il occupe durant treize années. Il a été deux fois gouverneur de la province du Pendjab au Pakistan.

Le 1er mai 1997, il devient le premier député musulman du Parlement du Royaume-Uni, élu dans une circonscription de Glasgow sous l’étiquette du Parti travailliste. Il occupe ce poste durant treize années, jusqu’au 6 mai 2010.

Via Fdesouche

La liberté d’expression a ses limites, selon le premier ministre du Canada : “Dans une société pluraliste, diverse et respectueuse, nous nous devons d’être conscients de l’impact de nos mots”

[...]

Vendredi, le premier ministre a été obligé de revenir sur la même question en conférence de presse.

« La liberté d’expression n’est pas sans limites. On n’a pas le droit, par exemple, de crier au feu dans un cinéma bondé de monde », a-t-il dit après avoir assuré qu’il est un défenseur de la liberté d’expression.

« Dans une société pluraliste, diverse et respectueuse comme la nôtre, nous nous devons d’être conscients de l’impact de nos mots, de nos gestes, sur d’autres, particulièrement ces communautés, ces populations qui vivent énormément de discrimination encore », a-t-il poursuivi.

Selon lui, il ne faut pas chercher à « blesser, de façon arbitraire ou inutile, ceux avec qui on est en train de partager une société et une planète ».

Il s’est défendu de céder ainsi à la terreur.

[...]

Il a tout de même tenu à conclure en répétant que les deux crimes des deux dernières semaines, en France, sont « injustifiables » et que les terroristes qui les ont commis « ne représentent aucunement une religion, ne représentent pas du tout les musulmans ici au Canada ou partout dans le monde » [NDLR : Mais dans le même temps, il limite la liberté d'expression pour ne pas froisser les musulmans "qui n'ont rien à voir avec ces actes". Un tel individu n'est qu'un hypocrite].

Lapresse.ca


Rappels :

Canada : le premier ministre Justin Trudeau affirme que le racisme systémique touche toutes les institutions» gouvernement et police compris.

Le premier ministre Trudeau offre ses vœux à l’occasion du Ramadan

Canada : Trudeau a choisi un Somalien comme ministre de l’Immigration

Le premier ministre Trudeau lynche publiquement une Canadienne « Cette intolérance par rapport aux migrants n’a pas sa place au Canada. Vous n’avez pas votre place ici Madame. » (Vidéo)

Québec : le premier ministre Trudeau est opposé à une loi contre le voile intégral

Canada: Le Premier ministre Justin Trudeau refuse d’accuser l’islam après l’attentat. « Le Canada tire sa force de sa diversité. »

Trudeau vote contre une motion qualifiant les crimes de l'EI de génocide

La Suisse n’abolira pas le délit de blasphème

Le Conseil national a rejeté vendredi une motion proposant d’abolir le délit de blasphème. La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter estime que la liberté d’expression «ne s’applique pas sans limite».

La Suisse n’abolira pas le délit de blasphème. Le Conseil national a rejeté vendredi par 115 voix contre 48 une motion de Beat Flach (PVL/AG). La liberté d’expression «ne s’applique pas sans limite», a estimé la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter.

«Il ne faut pas punir les gens parce qu’ils se moquent d’une foi», a souligné Beat Flach. Il faut donner un signal clair et fort en faveur de la liberté d’expression, a-t-il plaidé, alors que la polémique vient de resurgir en France.

[...]

Respect des convictions

Pour le Conseil fédéral, la protection de la liberté d’expression est une expression de la liberté de conscience et de croyance, qui est explicitement garantie par la Constitution fédérale.

L’article 261 du Code pénal ne protège pas seulement le «vivre ensemble» pacifique de toutes les religions, mais aussi le droit au respect des convictions religieuses. Il garantit aux minorités religieuses une protection pénale contre les persécutions.

Beat Flach estime que la norme pénale antiraciste et la protection contre l’atteinte à l’honneur et contre l’injure sont suffisantes. Il juge «anachronique qu’un État laïque et libéral érige le blasphème en une infraction spécifique».

La loi ne punit certes pas directement les paroles qui outragent la divinité, mais le fait de «bafouer les convictions d’autrui en matière de croyance, en particulier de croyance en Dieu».

«En d’autres termes, les convictions religieuses ne peuvent pas être critiquées dans la même mesure que d’autres opinions philosophiques», déplore Beat Flach, en rappelant que d’autres pays ont déjà aboli un tel délit, y compris «la catholique Irlande».

(ATS/NXP)

Islam au Nigéria. Un ado de 13 ans blasphème lors d’une dispute avec un ami: 10 ans de prison

L’agence des droits de l’enfant UNICEF a fustigé la condamnation d’un garçon de 13 ans à 10 ans de prison pour blasphème dans le nord du Nigeria.

Omar Farouq a été condamné par un tribunal de la charia dans l’État de Kano, au nord-ouest du Nigeria, après avoir été accusé d’avoir tenu des propos grossiers à l’égard d’Allah lors d’une dispute avec un ami.

[...]

M. Kola Alapinni dit avoir découvert l’affaire Farouq par hasard alors qu’il travaillait sur le cas de Sharif-Aminu, qui a été condamné à mort pour blasphème par la Haute Cour de la Charia de Kano.

« Nous avons découvert qu’ils ont été condamnés le même jour, par le même juge, dans la même Cour, pour blasphème et nous avons découvert que personne ne parlait d’Omar, donc nous avons dû agir rapidement pour déposer un appel pour lui. »

« Le blasphème n’est pas reconnu par la loi nigériane. Il est incompatible avec la constitution du Nigeria », a-t-il ajouté.

L’avocat a déclaré que la mère de Farouq s’était enfuie dans une ville voisine après qu’une foule a pris d’assaut sa maison suite à son arrestation.

« Tout le monde ici a peur de parler et vit dans la crainte d’attaques de représailles », a-t-il déclaré.

[...]

L’État de Kano, comme la plupart des États à majorité musulmane du Nigeria, pratique la charia parallèlement à la loi laïque.

[...]

Msn.com

Blasphème : 50 % des Français déjà soumis à la charia

5 février 2020 - par

Voici ce que révèle l’affaire Mila qui décidément marque une étape dans la conquête musulmane, dans la soumission des élites et maintenant dans celle de 50 % du peuple de France.

Zekri, président du CFCM, confirme l’appel au meurtre sans que personne ne s’y oppose. Ce fanatique haineux, représentant la communauté musulmane de France, s’est autorisé à cautionner l’appel au meurtre en affirmant publiquement que Mila l’avait bien cherché. « Cette fille sait très bien ce qu’elle fait. Qui sème le vent récolte la tempête ». Bien cherché quoi ? La mort, bien sûr, que lui ont promise les barbares musulmans sur les réseaux sociaux !

Personne pour lui faire fermer sa gueule. La menace est telle, elle est tellement crédible, prégnante, avérée, que le gouvernement a été obligé de placer Mila et sa famille sous protection policière. Et pourtant, personne pour faire fermer la gueule de Zekri et de tous les musulmans avec lui. Personne pour lui intenter un procès pour incitation au meurtre. Personne pour arrêter net l’appel au meurtre rituel. Voilà où nous en sommes en France. Maintenant, le premier des musulmans peut s’autoriser à appeler au meurtre rituel sans que rien ne se passe.

Le gouvernement impuissant. Impuissant à lutter contre la conquête musulmane, qu’au contraire il favorise par tous les moyens, impuissant à contrer l’arrogance musulmane ; le pouvoir républicain est incapable de faire taire l’appel au meurtre. Impuissant dans toutes ses fonctions régaliennes, le pouvoir est incapable de protéger Mila, incapable de la scolariser normalement, incapable de faire respecter les lois de la république à l’école, incapable de s’opposer à la prise de contrôle des musulmans sur les établissements scolaires, où désormais règne la charia.

Les masques de la taqîya sont définitivement tombés. Par ses déclarations publiques, le président du CFCM a définitivement assumé l’intention musulmane de nous imposer la charia. Pour la première fois le masque de la taqîya est tombé, révélant que les conquérants en étaient arrivés à un tel point d’avancement dans leur entreprise qu’ils n’avaient plus besoin d’avancer masqués. Cela représente pour eux une étape majeure. Et pour nous que le point de non-retour est franchi.

Les masques des soumis sont définitivement tombés. Le président de la République, la quasi-intégralité du gouvernement, la gauche et la droite républicaines, les francs-maçons, les tenants de la laïcité, les féministes, les associations et groupes de pression LGBT, la quasi-intégralité du monde politique, le monde de l’éducation, les syndicats enseignants, Fourest, de Haas, Autain, le monde judiciaire, le monde des arts et des médias, les grandes voix, les grandes consciences, la LDH, les défenseurs des droits de l’homme, les ligues de vertu diverses et variées ; tous les masques sont tombés. Tous se sont écrasés devant la loi imposée par les musulmans. Tous se sont couchés. Tous se sont soumis. Pire, emboîtant les pas du président du CFCM, certains, dans un excès d’empressement dans la soumission, ont même déclaré que Mila l’avait bien cherché. Dont des femmes, dont des femmes de gauche. Pire, la ministre de la Justice a publiquement remis en cause le droit au blasphème et un procureur a failli mettre Mila en examen. Une honte. À part quelques voix dans la fachosphère, personne ou presque n’est monté au créneau pour prendre la défense de cette jeune fille menacée d’être enterrée vive, de mort, de viol, de brûlure à l’acide. Comble du comble, certains en sont même à considérer que si des voix dans la fachosphère viennent au soutien de Mila, cela confirme qu’elle n’a que ce qu’elle mérite.

L’intelligentsia française quasi intégralement soumise. À quelques très rares exceptions près, toute l’intelligentsia française a abandonné sa foi républicaine et s’est soumise en bloc à la loi des musulmans. Toute l’intelligentsia française s’est aplatie devant l’islam et devant la loi coranique.

50 % des Français contre le droit au blasphème. En fait déjà soumis à la charia. Un récent sondage Ifop commandité par Charlie Hebdo nous apprend que 50 % des Français se déclarent défavorables au blasphème. En fait, bien que la question n’ait pas été posée de cette manière, il faut comprendre : défavorables à toute critique de l’islam. En effet, à part quelques cathos, plus personne en France n’est défavorable au blasphème contre le catholicisme. Pareillement pour le judaïsme et pour les autres religions minoritaires pour lesquelles la question est sans objet. Par conséquent, l’islam est la seule religion pour laquelle cette question se pose. Et c’est donc bien à l’islam et à lui seul que se soumettent ceux qui s’opposent au blasphème.

202002051043006912-la-moitie-des-francais-se-prononcent-contre-le-droit-au-blaspheme

Résumons.

  • Appel public au meurtre rituel lancé par le premier représentant de la communauté musulmane de France, sans aucune réaction de l’État,
  • Conquête musulmane tellement avancée que le premier des musulmans peut s’autoriser a abandonner la taqîya pour imposer la loi coranique à visage découvert,
  • Quasiment toute l’intelligensia soumise à la charia et opposée au blasphème contre la religion musulmane,
  • Un pouvoir soumis à la mainmise des musulmans sur l’école,
  • 50 % de la population française opposée au blasphème contre l’islam et donc déjà soumise à la charia.

L’affaire Mila révèle que le point de non-retour a été franchi. Il y a désormais tout lieu de penser que l’affrontement est inévitable. Nous n’y échapperons pas.

source:

Pakistan : un professeur d’université, accusé de blasphème, condamné à mort par pendaison

Un professeur d’université, accusé d’avoir dénigré le prophète Mahomet en 2013, et dont l’avocat avait été assassiné l’année suivante après avoir été menacé de mort durant une audience, a été condamné à mort samedi pour blasphème au Pakistan, où cette question est extrêmement sensible. Junaid Hafeez « doit être pendu par le cou jusqu’à sa mort« , peut-on lire dans jugement du tribunal de première instance de Multan (centre).

« Merci à Dieu, cette affaire est arrivée à sa juste conclusion« , a commenté le procureur Zia ur Rehman, interrogé par l’AFP. A Multan, des avocats ont distribué des sucreries au barreau de la ville en chantant « Allah Akhbar » (« Dieu est le plus grand ») ou encore « Mort aux blasphémateurs ». « Ce verdict est la victoire de la vérité« , s’est réjoui Airaz Ali, l’un d’entre eux.

En mai 2014, trois hommes armés avaient assassiné son avocat, Rashid Rehman, après que les avocats de la partie civile l’eurent menacé de mort durant une audience. « Les personnes impliquées dans le meurtre n’ont jamais été appréhendées« , ce qui est un gage « d’impunité pour d’autres éventuels justiciers en puissance«

[…]

news.yahoo

Via Fdesouche

Le Danemark supprime le délit de blasphème, une loi vieille de 334 ans

Le Danemark, qui revendique un fort attachement à la liberté d'expression, a abrogé ce vendredi le délit de blasphème, une disposition vieille de 334 ans qui sanctionnait les insultes publiques envers les religions.

La décision a été adoptée par l'ensemble du parlement monocaméral (photo de son siège), à l'exception des sociaux-démocrates.

"La religion ne doit pas dicter ce qui est permis et ce qu'il est interdit de dire publiquement", a déclaré Bruno Jerup, le député d'opposition à l'initiative de l'abrogation.

L'article 140 du code pénal danois sur le blasphème prévoyait une peine maximum de 4 mois de prison mais les tribunaux n'y ont eu que très rarement recours.

En près de 80 ans, la justice du pays scandinave avait poursuivi 4 fois seulement en son nom, la dernière fois en février.

Un Danois qui avait brûlé le Coran dans une vidéo publiée sur Facebook devait être prochainement jugé mais son procès n'aura pas lieu du fait de la suppression du délit du code pénal, a annoncé le parquet.

En 1938, 4 personnes avaient été condamnées pour des écrits antisémites. En 1946, 2 personnes avaient écopé d'une amende pour avoir célébré un simulacre de baptême au cours d'un bal masqué. Enfin en 1971, 2 responsables de la radio publique avaient été sanctionnés pour avoir diffusé une chanson évoquant la sexualité d'une femme et son refus de toute autorité divine.

Le parquet a abandonné les poursuites dans 12 cas, dont le plus connu est celui des caricatures du prophète Mahomet publiées dans "Jyllands-Posten" en 2005 puis dans 17 quotidiens danois en février 2006.

Source

Pakistan: Un étudiant lynché pour avoir publié un “contenu blasphématoire à l’égard de l’islam” (Vidéo choquante)

Un étudiant en journalisme connu pour ses opinions libérales a été battu à mort jeudi par des centaines d'autres étudiants dans une université du nord-ouest du Pakistan, ont indiqué la police et des témoins.

Attention: Vidéo choquante

 

Mashal Khan a été dénudé, frappé, blessé par balle, et poussé du deuxième étage de sa résidence de l'université Abdul Wali Khan à Mardan, ont indiqué des sources au sein de l'établissement. Des vidéos de la scène montrent des dizaines de jeunes hommes jetant des projectiles et tabassant le corps à terre.

L'étudiant de 23 ans de l'Université Abdul Wali Khan, Mardan a été tué et un autre blessée gravement par une foule pour avoir «publié un contenu blasphémé en ligne», a déclaré la police locale jeudi.

Selon la police, la foule a d'abord entouré [l'ami de Khan] Abdullah et l'a forcé à réciter des versets du Coran. Ils ont commencé à le battre quand il récitait. L'intervention de la police a secouru Abdullah, mais les attaquants sont ensuite allés où Mashal Khan se trouvait.

"Mashal a été battu et frappé par la foule et est mort sur place", a déclaré un policier.

Mashal Khan a été attaqué en raison de ses messages sur Facebook.

Le sous-inspecteur général de Mardan (DIG) Alam Shinwari a déclaré que les étudiants étaient accusés d'avoir publié des pages Facebook qui contenaient un «contenu blasphématoire». "Les étudiants, Mashal Khan et Abdullah, ont été battus et torturés par un grand groupe d'étudiants, et Mashal semble avoir succombé à une blessure par balle", a-t-il déclaré.

La police a déclaré avoir arrêté au moins 15 étudiants et enseignants de l'université dans le cadre de l'incident.

Source1 Source2 Source3 Source4

L’Arabie Saoudite appelle à l’adoption d’une loi mondiale contre la «diffamation de la religion»

Cet appel de l’Arabie Saoudite reflète celui du président de la Commission des droits de la personne du Québec, pour qui les propos qui blessent les sentiments religieux constituent un «discours de haine». 

Le projet de loi 59, qui accorde de larges pouvoirs de censure à la Commission des droits, fait partie du plan d’action du gouvernement du Québec pour «lutter contre la radicalisation menant à la violence et renforcer le vivre-ensemble».

Suite

Quand l’accusation d’islamophobie n’est que le faux-nez de l’offensive des organisations islamiques internationales pour introduire le délit de blasphème dans les Etats occidentaux

Alexandre-del-VallePar Alexandre Del Valle (géopolitologue renommé. Ancien éditorialiste à France Soir, il enseigne les relations internationales à l'Université de Metz et est chercheur associé à l'Institut Choiseul. Il a publié plusieurs livres sur la faiblesse des démocraties, les Balkans, la Turquie et le terrorisme islamique. Il est notamment auteur des livres Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd'hui ? : La nouvelle christianophobie (éditions Maxima), Le dilemme turc : Ou les vrais enjeux de la candidature d'Ankara (Editions des Syrtes) et Le complexe occidental, petit traité de déculpabilisation (Editions du Toucan).
,

D’où vient l’exception islamique en matière de critique ?

Alors que nulle autre religion n’est protégée de la critique dans nos sociétés sécularisées, la rédaction de Charlie, se demandait à juste titre, juste avant les attentats, après avoir été accusée d’islamophobie : "au nom de quoi la religion musulmane devrait, elle, être épargnée" ?

La rédaction de Charlie, se demandait à juste titre, juste avant les attentats, après avoir été accusée d’islamophobie : "au nom de quoi la religion musulmane devrait, elle, être épargnée" ?

ONU : Le retour du délit de blasphème ?

L'ONU veut criminaliser les opinions critiquant l'Islam.

La religion musulmane formule des revendications qui vont très loin. Toutes les religions le font, bien sûr, dans là mesure où elles prétendent connaître et être capables d'interpréter les souhaits d'un être suprême. Mais l'Islam se pose comme l'ultime révélation de la parole de Dieu, l'aboutissement de l'ensemble des allusions à la vérité qui ont été accordées à toutes les autres confessions, disponible sous la forme du texte parfait qu'est le Coran.

Suite