Prix de l’essence, taxe sur les billets d’avion : les Suisses vont passer à la caisse

Les parlementaires fédéraux ont retrouvé leur pupitre depuis mardi 2 juin. Les débats se tiennent à nouveau dans les halles de Bernexpo, mieux adaptées pour respecter les règles de distance et d'hygiène imposées par le coronavirus.

Malgré l'opposition de la droite, le Conseil national a accepté mercredi d'inscrire un nouvelle mesure dans la loi sur le CO2: le prix du litre d'essence à la pompe pourra coûter jusqu'à 10 centimes plus cher jusqu'en 2024 et 12 centimes de plus au maximum à partir de 2025. Dans la foulée, la Chambre du peuple a aussi accepté l'instauration d'une taxe sur les billets d'avion.

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RTS


Les émissions de gaz à effet de serre devront diminuer de moitié d’ici 2030 par rapport à leur niveau de 1990. Au moins 75% de la réduction devrait être effectuée en Suisse. Le National va plus loin que le Conseil des Etats et le gouvernement sur ce point.

A la faveur d’un Parlement devenu plus vert depuis les élections fédérales de 2019 et malgré le coronavirus, le National soutient dans les grandes lignes le projet des sénateurs. Grâce à une alliance du PS, des Verts, des Vert’libéraux et d’une majorité du groupe du centre, il se montre même plus ambitieux sur la part des réductions de gaz à effet de serre à réaliser en Suisse et à l’étranger.

Tous les partis soutiennent la révision, à l’exception de l’UDC qui a combattu l’entrée en matière. Ce projet est une alignée de taxes qui vont trop loin, surtout en ces temps économiquement difficiles, a estimé Pierre-André Page (UDC/FR).

Mises bout à bout, elles représentent une charge supplémentaire d’environ 1500 francs par année par ménage, a-t-il calculé. Il faut miser sur la responsabilité individuelle.

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Le Matin

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Suisse : le nouveau billet de 100 se focalise sur la tradition humanitaire

La Banque nationale suisse (BNS) a dévoilé mardi le nouveau billet de 100 francs, qui met à l'honneur la tradition humanitaire de la Suisse.

Toujours de couleur bleu, mais plus petite que l'ancienne, la nouvelle coupure de 100 francs met à l'honneur la tradition humanitaire de la Suisse, un aspect représenté par l'eau. Elle entrera en circulation le 12 septembre prochain.

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Agefi.com

Italie: Le migrant monte dans le bus sans payer et provoque un véritable enfer en tabassant les passagers

Un migrant qui ne voulait pas payer le billet a frappé le conducteur et les passagers. Bloqué par des passants, il a été arrêté par la police.

L'agression du migrant dans le bus

L'incident a eu lieu dans la capitale et le protagoniste est un homme de 20 ans de couleur. Quand il est monté dans le bus, "comme s'il était fou", il a commencé à donner des coups de pieds et de poings aux passagers qui ne comprenaient pas ce qu'ils avaient fait pour provoquer la fureur du migrant. Et c'est ainsi qu'ils ont été contraints de fuir, abandonnant le moyen de transport public.

A ce moment-là, le migrant a déversé sa colère sur le conducteur du bus, une femme, qui heureusement a été en mesure de s'enfermer dans la cabine.

D'autres passants ont assisté à la scène et ont immobilisé l'étranger. Peu de temps après, la police est arrivée afin d'arrêter l'homme de 20 ans, qui est à présent accusé de violence et de résistance.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Italie: Les contrôleurs ne demandent pas les tickets aux migrants, mais sanctionnent les Italiens. (Vidéo)

Un Italien s'insurge contre l'impunité des migrants (visibles au tout début de la vidéo). Observez le nombre d'Africains dans le train qui viennent profiter de l'Europe: rien que des hommes.

"Savez-vous pourquoi ils me regardent tous comme ça? Parce que le contrôleur à peine passé, cet imbécile que vous avez vu derrière moi au début de la vidéo, qui a fait un wagon entier où il n'y a qu'"EUX", et je n'ai pas besoin de dire de qui il s'agit parce que vous les avez bien vus. Il m'a demandé le ticket.  Alors qu’AUCUN de ces migrants n’a été contrôlé.

Aucun de ces migrants n'avait de billets. Aucun! Ils sont 12 et il y en a encore dans un autre wagon de 20 plus loin (en avant). Aucun d'entre eux n'a de billet.

Et à moi, le contrôleur a voulu m’emmerder parce que mon billet, payé au prix plein, n'était pas oblitéré alors que je l'avais payé. Vous voyez l’heure, le trajet écrits sur le billet etc. J’ai dû insister durant 10 minutes parce qu’il voulait me mettre une amende. Puis il passe, il demande le billet aux autres passagers, les migrants lui rient au nez, le contrôleur se met à rire avec eux. Puis il s’en va.

Nous faisons pleurer l'Italie. Ces migrants extra-Européens viennent, ils nous encu...

Ils ont raison parce que nous avons ce genre de merdes (le contrôleur) qui rient et s'en vont. Bouffon, l’Italie est un bouffon."

https://youtu.be/bSvLpQ0vpU0

Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch