Malicornay (France). Il faisait travailler ses élèves sur des passages de la Bible : un enseignant suspendu

Des parents d’élèves du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) de Chavin, Badecon-le-Pin, Malicornay et Le Menoux se disent « surpris par la suspension d’un enseignant de la classe des CM1-CM2 ». Il est reproché à cette personne d’avoir travaillé sur des passages de la Bible et une lettre signée par un collectif de parents a signalé ces faits à l’inspection d’académie.

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Une catholique se fait poignarder dans un centre pour réfugiés parce qu’elle lisait la bible

Une femme chrétienne a été poignardée par un demandeur d'asile après qu'il ait entendu qu'elle lisait la Bible.

La femme de 50 ans a été sauvée par son manteau d'hiver quand elle a été attaquée avec un couteau dans le logement à Timelkam à Vöcklamarkt en Haute-Autriche.

Son agresseur présumé est un homme de 22 ans originaire de l'Afghanistan qui avait pris acte du fait que la femme avait été invitée par les résidents chrétiens de la propriété pour discuter de la bible.

Quand il a découvert ce qu'elle faisait, il a fait irruption dans la cuisine où la femme était debout et a essayé d'enfoncer le couteau dans la partie supérieure du corps de la femme.

Heureusement, son épais manteau d'hiver l'a protégée contre les blessures graves, mais elle s'est blessée à l'oreille lorsqu'elle est tombée en arrière sous la force des coups violents de l'homme.

Interrogé par la police, l'homme a admis qu'il avait réagi de façon excessive, mais a affirmé qu'il souffrait de « problèmes personnels ».

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Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Paris : Une musulmane brûle une Bible au bord de la Seine. Aucune sanction

On n’ose imaginer ce qui se serait passé si une chrétienne pakistanaise avait eu l’idée saugrenue de brûler un coran à Karachi sur les bords du Malir ou du Lyari…

Mercredi, à 17 h 30, des policiers sont intervenus sur une scène, qui interpelle. Quai de la Râpée (XIIe), face à la péniche La Barge, ils ont découvert une femme, de dos, face à la Seine, toute vêtue de noir, entièrement voilée, en train de brûler un livre. Les policiers se rapprochent « discrètement ». « Vu le contexte actuel de menaces terroristes », ils décident de « maîtriser » et « menotter » la femme. Après une palpation de sécurité pour vérifier si elle n’était pas armée — vérification qui s’est avérée négative — les policiers retirent la burka afin de pouvoir établir son identité. La femme, âgée de 34 ans, domiciliée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) est porteuse d’une photocopie de son passeport français. Les policiers éteignent le feu qui se consume le livre et découvert qu’il s’agit d’une Bible.

Interrogée sur son geste, la femme répond qu’elle se sent « persécutée ». « On s’est demandé si c’était une personne dérangée », relativise une source policière. Ramenée au commissariat, le parquet ordonne de conduire la femme à l’hôpital de Hôtel-Dieu afin de la soumettre à un examen de comportement. Un internement à l’IPPP (infirmerie de la préfecture de police) étant un moment envisagé. Au final, la femme est jugée saine d’esprit. Elle est verbalisée pour port du voile mais le parquet n’a pas retenu d’infraction pour l’incendie et la dégradation.

Source : Le Parisien, 24 mars (merci A. C., M. L. et P. J. pour ce signalement)

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