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La Tribune de Genève : “Fête nationale avec le Bénin. La pétition aux relents racistes a été supprimée”
Nous parlions de cette pétition dans nos articles (ici et ici ou encore ici).
Désormais, ne pas vouloir associer notre fête nationale à celle du Bénin est synonyme de "rejet de l'autre" et même raciste.
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Au final, ce texte anonyme, dont certaines phrases revêtaient de forts relents racistes, a recueilli 489 paraphes et ne sera jamais déposé en Ville de Genève. De quoi réjouir Rémy Pagani.
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Un avis que partage Johanne Gurfinkiel, secrétaire général de la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation (Cicad). (...) «La base de cette pétition semblait flirter avec le rejet et l’exclusion de l’Autre», souligne le secrétaire général.
Genève: Pétition contre un Premier Août partagé avec le Bénin
Nous en parlions déjà ici.
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En l'an 2017, la nouvelle lubie genevoise est de partager la fête nationale avec... le Bénin !
Seul jour de l'année où être patriote n'est pas perçu comme une injure au monde entier, il est important que le 1er août demeure ce qu'il est : une célébration de l'histoire de notre pays, de notre culture, en d'autre terme : de notre identité. Et jusqu'à preuve du contraire, le Suisse ne descend pas du Béninois.
Alors non, il n'est pas normal qu'en cette fête toute particulière, on nous propose des danses béninoises, de la cuisine béninoise, de l'artisanat béninois...sous prétexte que leur fête tombe le même jour. Libre à eux de festoyer avec nous, mais ne partageons pas notre grand jour !
Je suis SUISSE, et en ce jour de fête nationale SUISSE, les coutumes seront SUISSES.
Nos remerciements à La reine des Francs