Ben voyons! L’Occident est invité à partager ses richesses au nom du réchauffement climatique

Albert Coroz: En 2018, le rapport estimait que 143 millions de personnes devraient se déplacer vers le Nord à cause du changement climatique. En trois ans, la Banque Mondiale, qui publie ce genre d'alarme, a revu ses prévisions à la hausse de 50%.
Les forces mondialistes, comme la Banque mondiale (que nous finançons), sous le couvert des "objectifs du Plan climat" et du "développement durable", veulent traire une fois de plus la vieille vache laitière usée.
Selon une saine logique, ces ONG devraient forcer les pays qui ont une explosion démographique insoutenable à réguler leur natalité, en conditionnant toute aide à une promotion de la contraception, pour les amener à ne pas faire plus d'enfants qu'ils ne sont capables d'en assumer.

Si un pays manque d'eau, ou de nourriture, la baisse de la natalité serait la solution raisonnable, au lieu de planifier l'invasion du Nord.
Mais l'idéologie progressiste qui domine ces ONG travaille à la dissolution des Blancs et elles n'ont qu'un seul projet pour résoudre le problème, à savoir, faire passer davantage à la caisse les peuples occidentaux.

Les experts de la Banque mondiale avisent que ce chiffre pourrait encore varier d'ici 2050, si les Occidentaux se mettaient à vivre "plus durablement", tout en continuant à financer les projets de la BM et des diverses ONG qui luttent pour la "justice climatique".

Or non seulement l’establishment ne veut pas de limitation des naissances dans le tiers monde, mais il favorise le remplacement des Occidentaux par une immigration majoritairement musulmane, prolifique, très différente par ses systèmes de valeurs, ses manières de penser et de vivre.

Alors que le sujet du réchauffement climatique est omniprésent dans les médias et dans l'espace public, le problème de la disparition programmée de notre civilisation millénaire ne peut même pas être évoqué, car ce serait catégorisé par l’establishment comme raciste, d'extrême droite, voir même fasciste. Jamais la réflexion ne va plus loin que le constat que les immigrés font plus d'enfants que les souchiens. Le fait même d'être incapable de renouveler sa population ne peut être considéré comme une catastrophe, car pour l'establishment, le Blanc, ce n'est pas dommage : si un jour il n'y a plus de Grecs en Grèce, de Portugais au Portugal, peu importe, il y aura des Turcs et des Africains à leur place.

Il est totalement prévisible que s'il n'y a pas une mise en place rapide d'une politique familiale qui inverse la courbe démographique en faveur des Occidentaux, nous allons disparaître. Il sera bien entendu indispensable de stopper toute immigration extra-européenne et d'encourager par la fermeture des robinets financiers les extra-européens à rentrer dans leurs pays d'origine. Pour pouvoir prendre ces mesures, les peuples tyrannisés devraient se révolter contre leurs élites, rompre la dictature du politiquement correct et remplacer leur soumission aux ONG qui dictent leur système de valeurs décadent par l'amour de nos racines.

L’establishment, qui programme et favorise la disparition des pays ouverts à l'islamisation, s’applique à culpabiliser et réprimer les remplacés, car il serait bien incapable de justifier pourquoi la disparition d'autres indigènes serait déplorable, mais la disparition des Blancs serait sans importance ou même souhaitable.

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Réchauffement climatique : 216 millions de réfugiés d'ici à 2050 ?

Le réchauffement climatique pourrait pousser 216 millions de personnes, principalement d'Afrique et d'Asie, à quitter leur région d'ici à 2050, selon un nouveau rapport de la Banque mondiale.

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Vidéo: Les changements climatiques pourraient engendrer la migration de 216 millions d'individus d’ici 2050 (Le Devoir)

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Les changements climatiques pourraient engendrer la migration de 216 millions d'individus d’ici 2050

Dans le scénario le plus respectueux du climat, avec un faible niveau d'émissions et un développement inclusif et durable, le monde pourrait encore voir 44 millions de personnes contraintes de quitter leur foyer.

Les résultats « réaffirment la puissance du climat pour entraîner la migration au sein des pays », a déclaré Viviane Wei Chen Clement, spécialiste principale du changement climatique à la Banque mondiale et l'une des rédactrices du rapport.

- Par The Associated Press

source: https://www.msn.com/fr-ca/actualites/monde/banque-mondiale-plus-de-200-millions-de-r%c3%a9fugi%c3%a9s-climatiques-dici-2050/ar-AAOpiLj

Berne veut verser 297 millions au capital de la Banque africaine de développement et de la Banque mondiale

Le Conseil fédéral demande au Parlement d'approuver des fonds de 297 millions de francs pour la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement (BAfD).

Les augmentations de capital concernent la BAfD et deux organisations appartenant au Groupe de la Banque mondiale, soit la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et la Société financière internationale (SFI). Il est prévu de contribuer à hauteur de 99,7 millions de dollars pour la première et de 197,7 millions de dollars pour les deux autres.

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20min.ch

Trump appelle la Banque mondiale à stopper ses prêts à la Chine

AFP- Donald Trump s'en est pris vendredi soir sur Twitter à la Banque mondiale, reprochant à l'institution financière internationale de prêter de l'argent à la Chine.

"Pourquoi la Banque mondiale prête-t-elle de l'argent à la Chine? Comment cela peut-il être possible? La Chine a plein d'argent, et quand ils n'en ont pas ils le créent. STOP!", s'est indigné le président américain.

"Les prêts de la Banque mondiale à la Chine ont baissé fortement et vont continuer à se réduire comme cela a été convenu avec tous nos actionnaires, y compris les Etats-Unis", a expliqué la Banque mondiale dans un communiqué réagissant au tweet présidentiel.

"Nous éliminons les prêts au fur et à mesure que les pays deviennent plus riches", ajoute le bref communiqué.

Donald Trump a ainsi réitéré une position défendue de longue date par son administration, y compris par David Malpass -l'actuel président de la Banque élu en avril dernier- quand il était responsable des affaires internationales au Trésor américain, jusqu'à son élection à la tête de l'institution.

Le président amplifie le message de son secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin.

Ce dernier avait indiqué jeudi devant une commission de la Chambre des représentants que les Etats-Unis avaient exprimé leur "objection au programme" pluriannuel de prêts et de projets de la Banque mondiale en Chine.

Ce programme a néanmoins été adopté jeudi. Il prévoit de réduire les montants des prêts à la Chine, qui seront aussi plus sélectifs sur la période 2020-2025.

Il "est le reflet de l'évolution de notre relation avec la Chine", avait souligné jeudi Martin Raiser, le directeur Chine de la Banque, dans un communiqué. "Notre engagement sera de plus en plus sélectif", avait-il ajouté.

Mais cette réduction ne suffit pas à Washington, dont l'argument est simple: la deuxième économie mondiale est assez riche pour se financer toute seule et ne pas dépendre de prêts de la Banque mondiale, qui est censée apporter des ressources financières aux pays plus pauvres.

Mais la prise de position très publique du président arrive aussi en pleines négociations avec Pékin pour tenter de mettre fin à la guerre commerciale déclenchée il y a 18 mois par le président américain.

Il entend forcer la Chine à faire des concessions en matière de protection des entreprises américaines dans le pays, et réduire le fort excédent commercial avec Washington.

Une grande incertitude règne sur la date d'un éventuel accord partiel, pourtant annoncé comme imminent par M. Trump en octobre, mais qui semble tarder à se concrétiser.

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