Suisse. Soleure: Un réfugié syrien viole une jeune mère albanaise dans un centre d’accueil

Article où l'on constate que la Suisse est devenue une poubelle où les problèmes de toutes les autres ethnies se déversent et font exploser nos budgets "au nom des Droits de l'Homme" pendant que l'on tergiverse pour la moindre aide lorsqu'il s'agit d'honnêtes citoyens.

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En Suisse, le réfugié syrien âgé de 34 ans logeait dans un appartement à Olten. Sa femme et ses enfants l'avaient rejoint par le biais du regroupement familial et se trouvaient dans le centre de transit.

Fin 2016, ce demandeur d'asile a violé une résidente du centre de Balmberg, alors que sa femme et ses deux enfants étaient proches.

Il rendait régulièrement visite à sa famille et apportait de la nourriture. Il a rencontré la plaignante B. *, une jeune femme célibataire d'Albanie, qui avait fui en Suisse par crainte de son père et qui était sur le point d'accoucher. Sa demande d'asile avait été rejetée.

Le Syrien aidait parfois cette femme socialement isolée à soulever la poussette dans le bus ou à utiliser son téléphone portable.

En cette veille du Nouvel An 2016, B. a donné son téléphone portable au Syrien, parce qu'il était censé mettre en place la connexion Internet pour sa femme. Il a alors pris son numéro de téléphone et lui a envoyé en début d'après-midi un message via Whatsapp lui demandant si elle voulait avoir des relations sexuelles avec lui. La réponse de l'Albanaise a été sans équivoque: "Non".

Malgré tout, le Syrien a fait irruption dans sa chambre un peu plus tard pendant qu'elle faisait une sieste avec son bébé d'un mois. Elle a essayé sans succès de le repousser.

Il a arraché le bébé des bras de la femme et l'a jeté sur le lit. Quand elle a tenté de téléphoner, il a fait tomber son téléphone portable au sol et a balayé ses menaces d'appels au directeur et à la police par un «Fuck Police, fuck Chef».

Selon la déclaration de B. au Tribunal, le Syrien l'a maitrisée violemment. Puis il la pénétrée. Elle a tenté de se défendre et de crier. Les blessures de l'épisiotomie suite à l'accouchement n'avaient pas encore guéri.

La jeune femme a comparu devant le tribunal et a fait des déclarations très détaillées et globales, tandis que l'accusé visionnait par transmission vidéo dans la pièce voisine. Elle parlait doucement et pleurait souvent silencieusement, surtout lorsqu'elle évoquait qu'elle n'avait pas pu prendre le bébé qui criait.

A l'âge de 16 ans, la femme avait déjà été violée en Albanie. Arrivée en Suisse, elle accusait déjà des problèmes psychiques. Ses problèmes se sont aggravés avec ce nouveau viol. "Je peux à peine dormir et j'ai besoin de l'aide psychiatrique", a-t-elle affirmé. "C'était comme un cauchemar. J'essaie de chasser cet événement."

L'accusé a refusé de témoigner devant le tribunal. Durant le procès, on a appris que le Syrien avait tout contesté pendant l'enquête et qu'il avait même nié s'être rendu au centre de Balmberg. (...)

C'est seulement quand on lui a dit que le slip pouvait être examiné pour y déceler la présence de sperme qu'il a admis avoir eu des rapports sexuels avec elle. Cependant, il a prétendu que l'initiative venait de la femme. Le Syrien a été condamné à cinq ans de prison, après quoi il devrait être expulsé pendant dix ans. Mais ce dernier point ne peut pas être exécuté s'il est en danger de mort dans son pays d'origine.

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La jeune femme B. recevra une réparation pour tort moral de 10.000 francs.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
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