La sécurité des habitants de la Suisse et de leurs bases vitales doit être garantie

Communiqué de presse UDC suisse / 8 novembre 2017

L'UDC considère la décision prise aujourd'hui par le Conseil fédéral pour la sauvegarde de la défense aérienne suisse comme un premier pas dans la bonne direction. La sécurité de la population suisse doit dans tous les cas être garantie. A cet effet, l'armée a besoin de forces aériennes performantes avec un nombre suffisant d'avions de combat dont l'action doit être complétée par un dispositif de défense sol-air efficace. 

Le Conseil fédéral a confirmé aujourd'hui cette analyse de la situation en décidant d'acheter de nouveaux avions de combat et de renouveler la défense contre avions. Il paraît cependant douteux aux yeux de l'UDC que le cadre financier prévu soit suffisant. A une époque où la Confédération dépense chaque année plus d'argent pour une aide au développement quasi inefficace et pour un secteur de l'asile échappant à tout contrôle, la moindre des choses est que suffisamment de moyens soient mis à disposition pour la protection de la propre population face à une menace croissante provenant notamment par la voie des airs.

Des avions turcs violent l’espace aérien grec

Des avions de combat turcs sont entrés à plusieurs reprises dans l'espace aérien grec, a annoncé l'agence publique grecque ANA, avant une opération de l'Otan contre les passeurs de migrants en mer Egée. Selon l'agence, plus de 20 violations de l'espace aérien grec ont été réalisées par six avions de guerre au-dessus des îles de l'est et du centre de la mer Egée.

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La Turquie va être protégée par l’Otan

Christian Hofer: Comble de l'infamie, des Européens non musulmans vont garantir la sécurité des Turcs musulmans qui ont magouillé avec l'EI: bienvenue dans ce monde de dhimmis et de traîtres.

 

Une initiative qui s'inscrit dans le cadre de l'aide promise début décembre par l'Alliance pour assurer la sécurité de la Turquie.

L'Otan a approuvé voici une dizaine de jours une série de mesures supplémentaires visant à rassurer la Turquie, inquiète de l'instabilité à ses frontières, dont l'envoi d'avions-radar pour aider Ankara à protéger son espace aérien, a indiqué dimanche un responsable de l'Alliance atlantique à l'agence Belga.

Ces mesures, réclamées par la Turquie, ont été approuvées le 18 décembre, a-t-il précisé après que la presse allemande eut révélé samedi le projet de déploiement de ces avions de surveillance, des Boeing E-3A Sentry reconnaissables à leur grande antenne dorsale ronde.

Outre une présence "accrue" d'AWACS, les alliés ont promis à Ankara un renforcement de la police aérienne et une présence navale renforcée, grâce à des visites dans des ports, des exercices et l'engagement d'avions de patrouille maritime en Méditerranée orientale, a ajouté ce responsable sous le couvert de l'anonymat. "Nous réexaminons aussi les plans de défense en place pour la Turquie. Et nous continuerons à renforcer les défenses aériennes turques avec des systèmes de missiles anti-missile défensifs", a-t-il poursuivi.

L'Espagne a ainsi décidé de prolonger le déploiement de missiles Patriot en Turquie au cours de l'année 2016. "Et nous attendons prochainement d'autres annonces", tout comme le déploiement d'avions (de combat) sur une base bilatérale, a assuré le responsable de l'Otan.

Le secrétaire général de l'Alliance atlantique, Jens Stoltenberg, avait annoncé début décembre un accroissement de l'aide à la Turquie, bordée par la Syrie et l'Irak.

L'annonce suscite une vague de critiques en Allemagne

"Il est prévu un transfert provisoire d'avions de reconnaissance AWACS de la base de Geilenkirchen (ouest de l'Allemagne, ndlr) vers la base avancée de Konya", dans le sud de la Turquie, écrit le ministère allemand de la Défense le 18 décembre, dans un courrier révélé dimanche par la presse.

Dans ce texte adressé à la commission de la défense du Bundestag, la chambre basse du Parlement, le ministère rappelle que Berlin fournit à l'Otan "30% du personnel" des seize AWACS basés à Geilenkirchen, des Boeing E-3A Sentry considérés comme "les yeux de l'Otan dans le ciel", selon le site de l'Alliance.

Bien que cette décision implique l'envoi de soldats allemands à l'étranger, le gouvernement ne compte pas solliciter l'avis du Bundestag, au motif qu'il s'agit d'une simple aide à la surveillance de l'espace aérien et non d'une offensive armée, poursuit le ministère de la Défense.

"Le gouvernement doit immédiatement informer le Parlement des détails de ce déploiement, en particulier concernant les missions précises assignées à ces avions et la destination des données recueillies sur l'espace aérien", a exigé dimanche le responsable des questions de défense au sein des Verts, Tobias Lindner, dans le quotidien 'Bild'.

La vice-présidente du parti de gauche radicale Die Linke, Sahra Wagenknecht, a de son côté jugé "hautement dangereux" l'envoi en Turquie de ces avions et réclamé un vote du Bundestag, déplorant par ailleurs l'appui allemand aux forces de sécurités turques qui "tuent de nombreux Kurdes en Turquie".

Le président de la commission de la défense du Bundestag, le social-démocrate Wolfgang Hellmich, a jugé "un peu curieux" le moment choisi pour cette annonce, dont les parlementaires en vacances n'ont pas encore pu discuter, explique-t-il aux journaux du groupe Funke dans une interview à paraître lundi.

Il a laissé ouverte la question d'une consultation de la chambre basse, déjà sollicitée début décembre pour approuver la participation de jusqu'à 1.200 soldats allemands aux opérations internationales contre les djihadistes du groupe Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak.

L'envoi de militaires belges en Turquie devra être approuvé par le gouvernement

Le gouvernement fédéral devra lui aussi donner son accord à l'engagement de militaires belges si l'Otan concrétise son projet d'envoi d'avions-radar AWACS en Turquie pour aider Ankara à protéger son espace aérien, a-t-on indiqué dimanche de bonne source.

La Bundeswehr (armée allemande) fournit à l'Otan "30% du personnel" des seize AWACS basés à Geilenkirchen (ouest de l'Allemagne) et appartenant en propre à l'Alliance. Mais une cinquantaine de Belges - dont des membres du personnel navigant - sont aussi stationnés sur cette base jouxtant la frontière germano-néerlandaise.

Si l'Otan déploie ses AWACS en Turquie, le gouvernement Michel 1er devra lui aussi donner son aval à l'engagement de ce personnel, a indiqué l'entourage du ministre de la Défense, Steven Vandeput, à l'agence Belga.

Cette mission ne figurait en effet pas dans le "plan des opérations" militaires pour l'an prochain soumis le 11 décembre par M. Vandeput (N-VA), à ses collègues du gouvernement, qui l'avaient approuvé.

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Au nom de “la lutte anti-terroriste” tous les passages aériens seront tracés

ND Christian Hofer: Rappelez-moi qui veut nous imposer l'immigration islamique dans nos pays "au nom de l'enrichissement"? Les mêmes qui aujourd'hui profitent du terrorisme pour nous fliquer sans aucune retenue. Voilà par quels  manipulateurs nous sommes gouvernés.

Les 28 pays de l'UE ont trouvé un accord pour débloquer le «PNR», un outil antiterroriste devant permettre de suivre les passagers aériens.

Cet accord est censé lever les dernières réserves du Parlement européen. Celui-ci trouvait trop longue la période pendant laquelle les Etats voulaient conserver les données des passagers sans en masquer les aspects les plus sensibles.

Le «PNR» (Passenger Name Record, en anglais) est un registre de données devant permettre de mieux retracer les itinéraires aériens des apprentis terroristes, à partir d'informations que les compagnies aériennes devront transmettre aux Etats.

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