Un rapport choquant révèle que 95% du plastique transporté par les rivières et polluant les océans du monde entier provient uniquement de 10 fleuves, dont le Gange et le Niger

  • Les scientifiques ont analysé les données sur le plastique provenant de 79 sites d'échantillonnage le long de 57 rivières
  • Leurs résultats ont montré que 10 rivières représentent la majorité des déchets plastiques fluviaux
  • Huit d'entre elles se trouvent en Asie, dont le Yangzi et l'Indus
  • Cibler ces rivières pourrait réduire de moitié la quantité de déchets plastiques océaniques provenant des rivières, prédisent les experts

Selon de nouvelles recherches, jusqu'à 95 % du plastique transporté par les rivières et polluant les océans du monde se déverse dans dix rivières seulement.

Les dix premiers fleuves - dont huit en Asie - ont produit autant de plastique en raison de la mauvaise gestion des déchets.

Environ cinq milliards de livres [NDLR : 2,25 milliards de kilos] flottent dans la mer, et le fait de cibler les principales sources - comme le Yangtsé et le Gange - pourrait presque réduire de moitié cette quantité, affirment les scientifiques.

Des quantités massives de morceaux de plastique qui mettent en danger la vie aquatique se déversent dans les océans et même dans les eaux les plus épargnées

A présent, une étude montre que les dix principaux fleuves - dont huit en Asie - représentent 88 à 95 % de la charge mondiale totale en raison de la mauvaise gestion des déchets.

L'équipe a calculé que la réduction de moitié de la pollution par les plastiques dans ces cours d'eau pourrait potentiellement réduire de 45 % la contribution totale de tous les fleuves.

Le Dr Christian Schmidt, hydrogéologue au Centre Helmholtz pour la recherche environnementale (UFZ) de Leipzig, en Allemagne, a déclaré : "Une part importante des débris plastiques marins provient de sources terrestres et les rivières sont potentiellement une voie de transport importante pour les débris plastiques de toutes tailles.

(...)

L'étude fait suite à un rapport récent qui pointait du doigt la Chine, l'Indonésie, les Philippines, la Thaïlande et le Vietnam pour avoir rejeté la plupart des déchets plastiques qui entrent dans les mers.

Des recherches antérieures ont estimé que le Yangtsé déversait chaque année quelque 727 millions de livres [NDLR : environ 330 millions de kilos] de plastique dans la mer. Le fleuve Gange, en Inde, en rejette encore plus, soit environ 1,2 milliard de livres [NDLR : environ 544 millions de kilos].

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Dailymail.co.uk

Nos remerciements à Victoria Valentini


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Baisse inquiétante du QI en Occident, selon plusieurs études

Christian Hofer: A noter que ces "spécialistes" n'ont bien entendu pas évoqué une autre piste puisqu'elle pointe du doigt le problème de l'immigration et son potentiel intellectuel.

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C'est un phénomène inquiétant. Depuis un siècle, notre quotient intellectuel avait tendance à toujours s’élever dans nos sociétés au fil des générations. Mais voici que plusieurs études récemment réalisées montrent un recul généralisé du QI moyen en Occident. Certains mettent en cause les pollutions chimiques, d'autres, notrve monde hyper connecté. Mais ces problèmes sont présents aussi en Asie et n'empêchent pas là-bas le QI moyen de progresser.

Notre enquête commence à la Faculté de psychologie de l'ULB. Laurence y réalise ce qu'on appelle un test de QI. Ces tests évaluent notre logique, notre raisonnement, notre rapidité d'action. En gros, nos facultés intellectuelles. Elles ne tiennent pas compte de notre socialisation ou encore de notre intelligence émotionnelle.

"Cerveaux Google"

Depuis la fin de la guerre jusque récemment, les tests de QI montraient que notre cerveau évoluait plutôt bien. Mais au tournant des années 2000, plusieurs études attestent un recul généralisé du QI moyen en Occident. Certains incriminent notre monde hyper connecté. Pour Axel Cleeremans, responsable du centre de recherche cognitive à l’ULB, ces technologies que sont internet et les iPhones ont pris une telle place dans notre environnement que notre mémoire s’externalise.

Nous avons fait un test sur un campus universitaire. Tous les étudiants interrogés étaient bien en peine de nous citer un seul numéro de GSM de leurs proches. Tout est dans leur smartphone. Lorsque nous leur demandons à quoi correspond la date de 1515, ils s’empressent de faire une recherche sur Google pour nous répondre enfin: "Bataille de Marignan ".

Sommes-nous devenus paresseux? Pour Emmanuel De Becker, chef du service pédiatrie infanto-juvénile à l’hôpital universitaire Saint-Luc, nous sollicitons simplement d'autres zones de notre cerveau. Le fait d’être devant un écran stimule certaines zones cérébrales et pas d’autres.

En fait, la "génération Google" a tellement intégré les nouvelles technologies que son cerveau s'est transformé. Son hippocampe, la zone de la mémoire s'est atrophiée alors que les lobes préfrontaux- les zones de la synthèse se sont développés.

Pour Emmanuel De Becker, les tests de QI devraient prendre en compte désormais ces transformations de notre environnement et mieux intégrer les nouvelles technologies. Mais comment expliquer, dans ce cas, les performances étonnantes réalisées en Asie alors qu'eux aussi sont hyper-connectés. A Hong Kong et Singapour, le QI moyen est de 108, la Corée du Sud 106. Le premier pays européen à se hisser à la 5ème place, c'est l'Italie avec 102.

Pour Laurent Alexandre, prospectiviste également à la tête d’une entreprise de haute technologie : "Les petits Singapouriens nous dépassent dans tous les domaines. Ce n’est pas qu’ils nous dépassent, ils nous écrasent. Probablement avons-nous renoncé à notre leadership technologique, éducatif et scientifique tel que nous l’avions il y a encore 50 ans. A l’inverse, en Asie, des sommes considérables sont investies dans l’enseignement. "

Améliorer notre enseignement, c'est ce que prône ce spécialiste convaincu que c'est la manière d'intégrer le monde de demain. Un monde où nos jeunes devront rivaliser avec l'intelligence artificielle.

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