«Galette des rois et des reines»: Lorsque l’AFP ne comprend rien à la tradition chrétienne et utilise l’écriture inclusive de l’extrême gauche.

L'Agence France-Presse a dénommé le tirage des rois du couple présidentiel, «la galette des rois et des reines». Plusieurs politiques de droite s'en sont insurgés sur Twitter, affirmant que cette tradition faisait référence aux rois mages.

Alors qu'elle évoquait le tirage des rois à l'Elysée, l'Agence France-Presse (AFP) a-t-elle voulu éviter de froisser les féministes ? Sur son compte Twitter, l’agence a en tout cas rebaptisé ce gâteau fourré à la frangipane «galette des rois et des reines», dans une publication datée du 13 janvier.

Le tweet a été corrigé juste après sa mise en ligne, non pas pour transformer «galette des rois» en «galette des rois et des reines», comme l'avaient laissé entendre certains internautes mécontents sur le réseau social, mais parce que l’auteur avait fait deux fautes d'orthographe grossières.

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Pourtant, ce n'est pas pour son orthographe que la publication s'est retrouvée au cœur des débats, mais bien pour l’appellation choisie par l'AFP. Si quelques-uns ont salué l'initiative, de nombreux internautes se sont en effet offusqués que la formulation ne respecte pas la réalité historique de la célébration, qui renvoie à la fête chrétienne de l’Epiphanie consacrant la visite des rois mages, Gaspard, Balthazar et Melchior, à l'enfant Jésus.

Parmi les réactions, plusieurs personnalités politiques de droite ou de centre-droit ont fait part de leur exaspération.

Valérie Boyer, députée Les Républicains (LR) des Bouches-du-Rhône, a exprimé un laconique «ils ont osé».

AFP

Nathalie Goulet, sénatrice de l'Yonne (UDI-DC), a ironisé sur la galette des rois qui devient «inclusive», avec des «rois et des reines qui n'existent pas dans la tradition de l'Epiphanie».

 Goulet

Eric Anceau, ancien membre du bureau national du parti Debout la France aux côtés de Nicolas Dupont-Aignan, blâme un «moment très gênant», où l'AFP «réécrit l'histoire».

Anceau

Jean-Christophe Buisson, directeur adjoint du Figaro Magazine, s'interroge sur le nom des «reines mages».

Figaro

Ecriture inclusive ?

Malgré les efforts de l'AFP sur Twitter pour se plier à l'écriture inclusive, la formulation ne respecte pas complètement les règles de celle-ci, qui aligne les noms ou pronoms par ordre alphabétique. Pour prétendre la prochaine fois à un sans faute, il conviendrait donc d’écrire «la galette des reines et des rois».

Par ailleurs l'agence de presse, si elle souhaite s'engager dans cette voie littéraire, devra poursuivre ses efforts puisque la mention «galette des rois et des reines» est toujours absente du texte de ses dépêches.

Source 

 

 

Coup de bluff – L’AFP “suspend” son journaliste du Fatah

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Michel Garroté - L’AFP suspend un « journactiviste » palestinien du Fatah pour… une petite semaine (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : en effet, ce journaliste AFP, qui est aussi activiste du Fatah, Nasser Abu Baker (alias Abu Bakr) a été suspendu de ses fonction par l’agence pendant une semaine (sur sa page Facebook, Nasser Abu Baker alias Abu Bakr déverse toute sa haine envers le peuple israélien : à ce propos, voir lien vers source en bas de page).
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Mais que se passera-t-il maintenant que la période d’une semaine est écoulée ? L’AFP peut-elle décemment se dire impartiale et employer comme journaliste quelqu’un qui est lié - de très près - au Fatah, mouvement palestinien, qui lui, est l’un des principaux protagonistes du conflit régional et qui soutient l’éradication d’Israël ? (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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L'AFP, financée par l'Etat français, est pro-palestinienne à 300% et israélophobe de surcroît. Elle porte le surnom, bien trouvé, d'Agence France Palestine. Au demeurant, les 99% des journalistes français sont pro-palestiniens et israélophobes. C'est notamment le cas de l'audiovisuel public français, concrètement, du Groupe France Télévisions (à ce propos, on se souviendra de l'affaire Al-Dura sur France 2 : voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.infoequitable.org/lafp-suspend-journactiviste-palestinien-fatah-semaine/
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http://www.causeur.fr/affaire-al-dura-israel-france-2-23166.html
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Notre camp politique serait “d’extrême-droite”

   
Michel Garroté - L'hebdomadaire français de gauche Le Point reprend une dépêche de l'agence de presse d'extrême-gauche AFP intitulée "Ces médias à la droite de la droite qui veulent réinformer les Français". Lorsque l'AFP s'épenche sur ce qu'elle appelle "extrême-droite", il y a toujours matière à rire. L'AFP met toutes les "droites de la droite" dans le même sac. L'AFP prétend voir l'extrême-droite là où elle n'est pas. L'AFP, dans sa dépêche, ne fait pas de différence entre "Egalité et réconciliation", "Fdesouche", "Boulevard Voltaire" et "Valeur Actuelles". Encore un petit effort et l'AFP va nous dire que Le Figaro est d'extrême-droite...
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"Ces médias à la droite de la droite qui veulent réinformer les Français", c'est donc une dépêche typiquement AFP, une dépêche un brin délirante et parano, dans laquelle on peut lire, avec amusement (extraits adaptés et commentés par mes soins ; voir lien vers source en bas de page) : Egalité et réconciliation, Fdesouche, Boulevard Voltaire ou encore Russia Today... Depuis une décennie, des médias au positionnement très droitier ont fait leur apparition sur la toile, avec l'objectif de "réinformer" les citoyens. "Trop à gauche" ou encore "pas suffisamment représentatifs", c'est bien souvent en ces termes que les Français jugent leurs médias (Michel Garroté - En effet, les journalistes sont trop à gauche et pas suffisamment représentatifs, c'est même un euphémisme que de le dire).
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Les sondages réalisés élection après élection ne démentent pas ces impressions. En juin 2012 par exemple, un sondage Harris Interactive estimait à 74% le taux des journalistes ayant voté à gauche lors de la présidentielle. Pour lutter contre "la gauchisation des esprits" - selon la formule de Jean-Marie Le Pen - des médias à la droite de la droite ont ainsi fait leur apparition (Michel Garroté - Et ça y est, hop, l'AFP fait exprès de metre dans le même sac l'opinion des Français et l'opinion de Jean-Marie Le Pen. Si les Français, notamment ceux qui s'informent sur Internet, veulent lutter contre la gauchisation des esprits, le fait que Le Pen pense ou ne pense pas la même chose n'a ici aucun intérêt, sauf pour l'AFP).
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Pour Jean-Marie Charon, sociologue des médias, la montée des "médias de masse", et notamment la télévision, a banni "les opinions minoritaires" de l'espace médiatique: "de l'avènement de la télévision jusque dans les années 1990, les courants minoritaires dont l'extrême droite n'ont plus eu accès à la télé officielle", explique-t-il. Privés de leur droit de cité dans les médias, "ces courants minoritaires" ont, selon le sociologue, "profité de l'essor du numérique pour lancer leur propre plateforme d'information" (Michel Garroté - En France, tous les sociologues sont d'extrême-gauche depuis 50 ans. Et accessoirement, je trouve amusant, ce mépris, à peine "voilé", si j'ose dire, pour les courants "minoritaires").
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Hétéroclites, ces médias partagent néanmoins une vision du monde et un positionnement idéologique. Toutefois, deux stratégies se font face : d'un côté, un choix en faveur d'un discours presque exclusivement identitaire et de l'autre, une stratégie plus "confusionniste", dont l'intérêt selon Tristan Mendès France, enseignant en cultures numériques à l'université Sorbonne-Nouvelle, est de créer "des passerelles" entre extrême droite et extrême gauche (Michel Garroté - C'est, là encore, du charabia de journalistes et  d'enseignants. Du reste, c'est totalement faux d'alléguer que les sites et blogues de la droite de la droite et les sites et blogues de la droite libérale-conservatrice partagent une même "vision du monde" et un même "positionnement idéologique").
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Le site Egalité et réconciliation par exemple, traite régulièrement de la question du TTIP (traité de libre échange transatlantique) ou encore du Big Pharma (...) En clair, des thèmes qui pourraient être traités par des médias d'extrême gauche, relate l'enseignant à l'AFP (Michel Garroté - "Créer des passerelles entre extrême droite et extrême gauche" ? Tiens donc ! Selon l'AFP et ses interlocuteurs, Mélenchon crée des passerelles avec Marine Le Pen qui elle crée des passerelles avec Mélenchon ? L'AFP et l'université Sorbonne-Nouvelle devraient préciser un peu leur postulat, comme ça nous comprendrons -- peut-être -- de quoi il retourne ici).
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Dans la même lignée, le site Agence Info Libre, co-fondé par David Bonapartian et qui propose d'offrir "un regard libre et différent" sur l'actualité, brasse lui aussi un large choix de sujets. A contrario, Fdesouche, qui fonctionne comme un agrégateur d'informations, ou encore La Gauche m'a tuer se concentrent eux presque exclusivement sur les thématiques identitaires (Michel Garroté - Pas un mot sur Riposte Laïque, pas un mot sur Résistance Répuclicaine, et, pas un mot, sur Les Observateurs, notre site libéral-conservateur suisse, dont un tiers des lecteurs sont des Français vivant en France... L'AFP a-t-elle omis de les mentionner ? Ou est-ce de la censure pure et simple, envers ces trois sites Internet incontournables et qui comptent un nombre très élevé de lecteurs ?).
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Si chacun dispose d'une ligne éditoriale propre, tous partagent le même objectif : "réinformer" les citoyens. Le concept de "réinformation" n'est pas nouveau. Mais il est promu depuis quelques années par l'intellectuel d'extrême droite Jean-Yves Le Gallou. En 2003, comme acte fondateur, il lance Polémia, un cercle de réflexion qui met sur pied une critique des médias (Note de Michel Garroté - Décidément, l'AFP ne supporte pas les sites et blogues de réinformation, elle enrage, elle voudrait qu'ils n'existent point).
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En 2010 naissent les Bobards d'or, une cérémonie destinée à dénoncer les journalistes "qui n'hésitent pas à mentir délibérément pour servir le politiquement correct". Deux ans plus tard, il co-fonde l'OJIM (observatoire des journalistes et de l'information médiatique) afin "d'informer sur ceux qui nous informent" (Michel Garroté - Polémia et les Bobards d'or, encore de quoi irriter l'AFP, mais enfin, comment osent-ils nous accuser de mentir délibérément pour servir le politiquement correct, nous, l'AFP, la crème de l'info ?).
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Pour Tristan Mendès France, cette critique des médias vise à "discréditer les journalistes. En optant pour un discours de l'alternative, ils s'assurent les faveurs d'un public déçu ou méfiant des médias traditionnels", décrypte-t-il auprès de l'AFP. Pourtant, note Dominique Albertini, journaliste et co-auteur de l'ouvrage "La Fachosphère", la "réinformation" est avant tout "un concept marketing car la plupart de ces médias sont des médias d'opinion". Qu'importe, la "réinformation" est un créneau qui fonctionne : s'il n'y a pas de chiffres officiels mesurant l'audience de ces sites, ils sont souvent cités comme faisant partie des blogs politiques les plus populaires (Michel Garroté - les gens comme nous s'assurent les faveurs d'un public déçu ou méfiant des médias traditionnels. Oui. Et alors ?).
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Une audience qui attise les convoitises d'un pays en particulier: la Russie, qui voit en la "réinformation" une façon de diffuser sa vision du monde. Présente en France pendant de nombreuses années à travers le titre "La Voix de la Russie", c'est en 2014 que la Russie modernise son offre française avec le lancement de Sputnik, un service d'informations multimédia (Michel Garroté-J'avoue qu'en effet, Sputnik est plus agréable à lire que Le Monde, Libération, L'Obs, ou encore, l'omniprésente et déficiente AFP subventionnée avec les impôts des Français).
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Mais c'est le lancement en octobre du site Russia Today, du nom de la chaîne d'information internationale qui émet notamment en anglais, en arabe et en espagnol, qui intrigue. Doté d'une large palette d'intervenants allant du souverainiste Pierre Lévy, à l'économiste euro-critique Jacques Sapir en passant par le directeur de la publication du droitier Valeur Actuelles, Yves de Kerdrel, il est, selon Nicolas Hénin, auteur de l'enquête "La France russe", adepte du confusionnisme : "la chaîne cultive, sciemment un discours confusionniste, dans le but de faire émerger un souverainiste, même de gauche, favorable à la Russie" (Michel Garroté - Cerise sur le gâteau ! Nous serions à la botte de Poutine, l'homme à abattre !).
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Mais la chaîne ne s'arrête pas là. Pour parfaire son image de média alternatif, elle recrute fin novembre Philippe Verdier, présentateur météo de France 2 licencié après la parution de son livre controversé sur le climat. Une façon de dire que, contrairement aux médias "dominants", elle ne censure pas ses journalistes (Michel Garroté - J'ignore à quel point Poutine censure les médias russes. Ce dont je suis sûr, en revanche, c'est que la Russie n'a rien à envier à la France, pour ce qui concerne la censure, 'intox, la médisance, la calomnie et les allégations mensongères. En France, 99% des journalistes sont de gauche, voire d'extrême-gauche, qui dit mieux ?).
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Pour la spécialiste de la Russie Anne Nivat, ce positionnement n'a rien d'étonnant : "les Russes veulent incarner l'alternative dans chaque pays où ils s'implantent et en France, l'alternative selon eux c'est de relayer les thèses de la droite dure (Michel Garroté - Mais bon sang mais c'est bien sûr ! Poutine, c'est le patron occulte du Front National et Marine Le Pen voudrait même l'épouser, sauf qu'hélas, Poutine est déjà marié) - (fin des extraits adaptés et commentés par mes soins ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.lepoint.fr/politique/ces-medias-a-la-droite-de-la-droite-qui-veulent-reinformer-les-francais-03-09-2016-2065633_20.php
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Geert Wilders mouche l’AFP. Migrants : fermer les portes. UE : partons!



Le député libéral-conservateur néerlandais Geert Wilders, en tête des sondages dans son pays, affirme dans un entretien avec l’ineffable AFP (qui tente sans succès de le salir et de le piéger) vouloir fermer les frontières de son pays afin d'empêcher la venue de milliers de réfugiés, qu'il qualifie d'invasion islamique. "La seule et unique manière de gérer la crise des réfugiés est de retrouver notre souveraineté nationale", assure-t-il lors d'un entretien avec l'AFP au parlement néerlandais, à La Haye.

"Je ne demande rien d'insensé, je demande que notre gouvernement ferme ses portes, tout comme la Hongrie, que nous fermions nos frontières à ceux que nous considérons comme des migrants économiques et non comme des réfugiés". "Les gens sont en colère, ils sont effrayés, ils veulent une politique différente et l'élite au pouvoir ne les écoute pas, soutient Geert Wilders, c'est pourquoi les partis comme le mien deviennent de plus en plus populaires".

Selon les derniers sondages, son parti, le PVV remporterait 38 sièges de députés sur 150 si des élections étaient organisées maintenant. Un record pour le PVV. S'il devait remporter les élections, Geert Wilders voudrait "lancer le processus pour quitter l'UE".

A propos des menaces de mort qu’il subit, il répond : "Si les gens menacent d'utiliser la violence contre qui que ce soit, une personne ou une institution, ils doivent être traînés devant un tribunal et emprisonnés pour un long moment".

L'on devrait remplacer le Roi et le Reine des Pays-Bas par Wilders nommé Président...

Michel Garroté, 11 novembre 2015

https://fr.news.yahoo.com/n%C3%A9erlandais-wilders-veut-fermer-fronti%C3%A8res-arr%C3%AAter-linvasion-islamique-122304338.html