14 juillet – Alain Berset : «Cette crise nous a rapprochés»

Rappel: des masques de protection avaient été "bloqués" en pleine pandémie par la France.

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Invité du président Emmanuel Macron à la cérémonie officielle du 14 juillet, le conseiller fédéral a appelé mardi à aller «au-delà des frontières» pour renforcer la lutte contre le coronavirus.

«Le virus ne s’est pas arrêté aux frontières. Et nous non plus. Nous avons été en mesure de les dépasser.» Tels sont les mots employés par le conseiller fédéral Alain Berset lors de la cérémonie officielle du 14 juillet, organisée sur la Place de la Concorde, à Paris. Le Fribourgeois était l’invité de Emmanuel Macron, aux côtés des ministres de la Santé allemand, autrichien et luxembourgeois.

52 malades accueillis en Suisse

Le président français a tenu à remercier la Suisse d’avoir accueilli 52 patients malades du coronavirus ce printemps. Ils furent placés dans les hôpitaux de quinze cantons après que l’épidémie a durement frappé le sud de l’Alsace.

«Cette crise nous a rapprochés», a assuré le conseiller fédéral dans une déclaration à l’occasion du déjeuner. [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/cette-crise-nous-a-rapproches-766181708632

France. Week-end du 14 Juillet : 845 voitures brûlées, 508 gardés à vue

Un total de 845 voitures ont été brulées et 508 personnes ont été placées en garde à vue lors des deux soirées du 13 et du 14 juillet en France, a annoncé le ministère de l'Intérieur, dimanche 15 juillet. Le nombre de voiture brulées est en baisse par rapport à l'année précdécente, où 897 véhicules étaient partis en fumée. Le nombre de gardés à vue a revanche bondi de 368 en 2017 à 508 cette année, a précisé le porte-parole du ministère qui souligne qu'"aucun incident majeur n'a été à déplorer".

"Le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb félicite la mobilisation de toutes les forces de l'ordre pour ces deux premières nuits de fête qui ont permis un grand nombre d'interpellations de fauteurs de trouble, a ajouté Frédéric de Lanouvelle. La mobilisation massive des forces de l'ordre a permis d'éviter tout incident majeur."

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France multiculturelle. 14 juillet: 897 voitures brûlées et un policier roué de coups

Un total de 897 voitures ont été brûlées et 368 personnes placées en garde à vue lors des soirées du 13 et du 14 juillet, a annoncé samedi le ministère de l'Intérieur.

Le nombre est en très légère hausse par rapport à l'an dernier: 897 voitures ont été brûlées lors des soirées du 13 et du 14 juillet, a annoncé ce samedi le ministère de l'Intérieur, jugeant que l'importante mobilisation des forces de l'ordre a permis de limiter les incidents. En 2016, 855 véhicules avaient pris feu. Le nombre des gardés à vue, 368, est quant à lui en forte baisse par rapport aux 577 de l'an dernier.

Selon le décompte du ministère, sur les 897 véhicules incendiés, 631 ont fait l'objet d'une mise à feu et 266 ont été touchés par propagation. En 2016, 614 véhicules avaient fait l'objet d'une mise à feu et 244 avaient été touchés par propagation. En 2015, c'est un total de 951 véhicules qui avaient été incendiés.

Policier «roué de coups» à Sevran

«La très importante mobilisation des forces de l'ordre, auxquelles Gérard Collomb souhaite rendre un hommage appuyé, a permis de limiter sensiblement le nombre d'incidents et notamment de rixes sur la voie publique commises en marge des festivités du 14 juillet», a souligné Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l'Intérieur. «Au cours de plusieurs épisodes de violences urbaines, nos forces de sécurité ont été la cible d'agressions intolérables, dont les auteurs auront à répondre devant la justice. Tout comme seront poursuivis les auteurs d'incendies de véhicules, évidemment toujours trop nombreux», a poursuivi Pierre-Henry Brandet.

«Aux 13 fonctionnaires et militaires blessés ces deux dernières nuits», le ministre apporte son «entier soutien», a-t-il complété. Dans la nuit du 14 au 15 juillet, à Sevran en Seine-Saint-Denis, un policier a notamment été «roué de coups» lors d'une intervention avant de faire usage de son arme à huit reprises pour se dégager et de blesser un homme de 18 ans, selon des sources concordantes.

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France. Violences urbaines du 14 juillet : plusieurs commissariats attaqués

Compilation non exhaustive des divers "débordements" ayant eu lieu durant les nuits du mercredi 13 au vendredi 15 juillet.

A noter que le pouvoir a décidé depuis quelques années de ne plus communiquer le nombre de voitures brûlées dans son ensemble: il s'agit de casser le thermomètre afin que le Français ne se rende compte de rien! C'est ainsi que s'effectue la perte de la démocratie et des libertés dans le pays "des droits de l'homme", les informations étant devenues trop dangereuses pour le peuple. Il s'agit de l'abreuver de séries télévisées multiculturelles et autres imbécilités sportives, d'embrumer son esprit avec des informations qui n'ont aucune valeur.

Ce qui devrait être inacceptable, scandaleux est soigneusement caché ou normalisé par le pouvoir, tel le premier ministre Valls qui ose clamer "qu'il faut vivre avec le terrorisme."

Les incidents remontés par la presse :

Achères (78) :  trois jeunes arrêtés alors qu’ils fabriquaient des cocktails Molotov.
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Angers (49) : feu de poubelle dans un immeuble, 50 personnes évacuées
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Argenteuil (95) : plusieurs voitures et poubelles incendiées, un abribus vandalisé.
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Arras (62) : un abribus dégradé, quatre jeunes interpellés
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Audincourt (25) : une voiture incendiée, des feux de poubelles
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Beaucourt (90) : deux feux de poubelles et une voiture incendiée
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Beauvais (60) : police et pompiers caillassés, des incendies de véhicules.
Source : Courrier Picard, vendredi 15 juillet

Belfort (90) : une poubelle incendiée. Le feu s’est propagé à un compteur gaz
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Besançon (25)  : dégradations de mobilier urbain, des contrôleurs caillassés, l’un d’eux blessé, les forces de l’ordre caillassés, deux bus et deux tramways auraient eu leurs vitres brisées, des poubelles incendiées.
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Blois (41) : deux feux de véhicule
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Bois-Guillaume (76) : une vingtaine de cocktails Molotov découverts dans un parc.
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Bonneuil-sur-Marne (94) : une cinquantaine de personnes y ont notamment détérioré des poubelles, Dans la nuit de mercredi un groupe de jeunes s’en est pris aux forces de l’ordre. des véhicules incendiés, les policiers ont été la cible de jets de projectiles et de tirs de mortier.
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Boulogne-sur-Mer (62) : ils volent une voiture, course-poursuite, puis l’incendient
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Brest (29) : trois voitures brûlées et des feux de poubelle
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Bron (69) [La nuit du 14 au 15] : la police prise pour cible, 2 voitures et plusieurs poubelles incendiées, un feu à des broussailles pour attirer les pompiers dans un guet-apens.
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Calais (62) : une inquiétante série de feux de poubelles et de véhicules, une dizaine de feux de poubelles dans la nuit du 14 au 15.
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Champs-sur-Marne (77) [La nuit du 13 au 14] : un bus caillassé, au moins 3 voitures incendiées. [La nuit du 14 au 15] affrontements avec les forces de l’ordre, un jet de mortier.
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Condé-sur-l’Escaut (59) : un feu de voiture
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Compiègne (60) : les pompiers caillassés en intervention, 4 feux de voitures et 3 feux de poubelles.
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Courcouronnes (91) : la police caillassée, un policier blessé lors d’une interpellation.
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Danjoutin (90) : deux jeunes de 15 et 17 ans se sont introduits dans l’enceinte du collège Mozart à Danjoutin. Ils ont dégradé le toit avec un extincteur avant de voler l’autoradio dans un engin de chantier.
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Dijon (21) : deux véhicules en feu
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Etampes (91) : dans la nuit du 14 au 15 juillet, une patrouille de la police municipale a été la cible de jets de pierres.
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Évreux (27) : violences urbaines après le feu d’artifice, des voitures et des poubelles incendiées, le commissariat visé, plusieurs policiers blessés.
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Flers (61) : une voiture incendiée, une deuxième touchée
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Garges-lès-Gonesse (95) :  au moins une voiture incendiée, ainsi que plusieurs poubelles.
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Hauts-de-Seine : dans la nuit de mercredi à jeudi, une quarantaine de personnes ont été interpellées pour feux de poubelles, de véhicules et jets de projectiles. Les forces de l’ordre ont arrêté presque autant de suspects la nuit suivante.
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La Chapelle-d’Armentières (59) : une voiture incendiée
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Les Sables-d’Olonne (85) : des épisodes de violences, 5 interpellations. Cinq jeunes du Val-de-Marne ont été placés en garde à vue deux fois en une semaine, et l’un d’entre eux trois fois. Un syndicat de police a parlé de « guérilla urbaine ». À plusieurs reprises depuis début juillet, les brigades ont dû faire usage de gaz lacrymogène. Les policiers ont reçu plusieurs fois des bouteilles et des projectiles.
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Les Ulis (91) : la porte de la mairie et celle du poste de police municipale ont été la cible des casseurs peu après 2 heures. Un policier a également été brûlé par sa propre grenade qui s’est déclenchée toute seule alors qu’elle était dans sa poche.
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Lognes (77) [La nuit du 13 au 14] : 3 barrages construits et incendiés, la police visée par des tirs de mortiers, des incendies de voitures et de poubelles, 4 interpellations. [La nuit du 14 au 15] 2 poubelles et 3 voitures incendiées dont l’une sur toit, la police prise pour cible,  Les policiers, arrivés sur place, ont été la cible de tirs de mortiers et de bouteilles en verre.
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Meaux (77) : la police visée par des tirs de mortiers, 2 voitures, une camionnette et 2 poubelles incendiées.
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Meyzieu (69) : plusieurs feux de poubelles et de matelas
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Mitry-Mory (77) : 4 véhicules incendiés, 2 voitures de police caillassées.
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Nandy (77) : des poubelles incendiées.
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Nanterre (92) : une dizaine de voitures incendiées, sept ou huit véhicules brûlés par contagion.
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Nemours (77) : les policiers caillassés alors qu’ils intervenaient sur des feux de poubelles. une interpellation.
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Neuville-Saint-Rémy (59) : un feu de voiture.
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Nevers (58) : plusieurs feux de poubelles, l’un d’eux s’est propagé au rez-de-chaussée d’un immeuble.
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Nice (06) : incendie de haie au cimetière, un incendie au niveau de l’église Saint-Marc, un camion et une voiture incendiées sur le parking de la gare Saint-Augustin.
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Nieppe (59) : une voiture brûlée.
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Noisiel (77) [La nuit du 13 au 14] : 3des vitrines de magasins brisées par des jets de pierres. [La nuit du 14 au 15] les policiers visés par des cocktails molotov, le commissariat visé par des tirs de mortier. Un jeune interpellé.
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Offemont (90) : une voiture incendiée
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Oise : une vingtaine d’incendies volontaires auraient été recensés
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Oyonnax (01) : 12 voitures ainsi que des poubelles ont brûlé au cours de la nuit de jeudi à vendredi, les propriétaires sont écoeurés et exaspérés
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Pontault-Combault (77) : des tirs de mortier ont une nouvelle fois eu lieu contre le commissariat.
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Poitiers (86) : série de feux de poubelles aux Trois-Cités et aux Couronneries et jet de pierre sur la police
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Quetigny (21) : un feu de voiture
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Quincy-sous-Sénart (91) : Des agents ont été pris à partie par des jeunes pendant qu’ils sécurisaient l’intervention des pompiers venus pour éteindre un feu de conteneur à poubelles.
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Rennes (35) : deux voitures incendiées, une vitrine touchée par le feu
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Rhône : un peu moins de 80 voitures auraient été incendiées au cours des festivités du 14 juillet, 32 interpellations
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Ris-Orangis (91) : allée Jean-Ferrat, des feux de poubelles ont été constatés et les policiers ont été visés par des tirs de mortiers d’artifice. Trois jeunes ont été interpellés.
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Rouen (76) : un homme vandalise une voiture de police à un feu rouge.
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Rueil-Malmaison (92) : guet-apens, les policiers visés par des tirs de mortier
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Saint-Michel-sur-Orge (91) : des casseurs s’en sont pris à de nombreuses voitures, barres de fer en main. Les forces de l’ordre ont été chargées et ont reçu pierres et cocktails Molotov.
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Saint-Quentin (02) : quatre voitures incendiées
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Sainte-Geneviève-des-Bois (91) : des incendies, une patrouille de police caillassée par une quarantaine de jeunes.
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Savigny-le-Temple (77) : des poubelles incendiées.
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Seine-Saint-Denis [La nuit du 13 au 14] : une trentaine de voitures incendiées et une cinquantaine de caillassages.
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Souppes-sur-Loing (77) : la police prise pour cible, le pare-brise d’un véhicule de police brisé.
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Steinbach (68) : un feu de voiture
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Torcy (77) : les locaux de la police municipale en partie saccagés.
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Val-de-Marne [La nuit du 13 au 14]  : 34 voitures et 40 poubelles incendiées,  neuf jets de projectiles et 33 tirs de mortier, 61 interpellations.
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Val-de-Marne [La nuit du 14 au 15]  : 36 interpellations, 27 voitures incendiées, 36 poubelles brûlées, 30 jets de projectiles et une trentaine de tirs de mortier.
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Valentigney (25) : deux voitures incendiées
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Vaulx-en-Velin (69) [La nuit du 14 au 15] : 24 voitures incendiées, des poubelles brûlées, y compris en plein jour, un distributeur de billets endommagé
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Vénissieux (69) [La nuit du 13 au 14] : deux voitures incendiées.  police et pompiers caillassés.
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Vénissieux (69) [La nuit du 14 au 15] : trois dégradations de véhicules, de nombreuses poubelles incendiées, un individu interpellé après avoir tiré au mortier contre le commissariat.
Source et Source et Source

Villeurbanne (69) : la police attaquée au mortier et caillassée, de nombreuses poubelles et plusieurs voitures ont été incendiées au Tonkin.
Source et Source

Villiers-le-Bel (95) : affrontements, un policier grièvement blessé, plusieurs poubelles et au moins deux véhicules incendiés.
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Viry-Châtillon (91) :  jeudi, vers 1 h 30 du matin, un adolescent de 15 ans a été interpellé pour des jets de pierres sur les pompiers venus éteindre un feu de poubelle puis sur les policiers. Un gardien de la paix a chuté et a été blessé durant l’interpellation.
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Yvelines : 12 interpellations, le nombre de feux de poubelles semble être en baisse, même si aucun chiffre officiel n’a été révélé. Le nombre de voitures incendiées serait, lui, en hausse par rapport à l’an passé.
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La violence c’est l’extrême gauche et pas l’extrême droite

France-attentats-4

   
Michel Garroté - En France, la menace de violences la plus forte est portée par l’extrême gauche et par l’islam radical ; et non pas, par l’extrême droite ou par l'ultra droite. Pourtant, la caste politico-médiatique parisienne cherche sans y parvenir les preuves (inexistantes) d'une quelconque violence à droite ou à la droite de la droite. Et la caste politico-médiatique parisienne ferme les yeux face à l'islamo-gauchisme. Ivan Rioufol analyse tout cela avec, comme toujours, pertinence et courage.
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Ivan Rioufol (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : C’est la responsabilité collective de tous les gouvernements depuis maintenant 40 ou 50 ans de n’avoir pas voulu voir les risques que représentait une immigration de masse et défendu une société multiculturelle. C’est au cœur du multiculturalisme que se développe aujourd’hui cette possible guerre civile. Ceci n’est pas une surprise pour moi, qui suis un observateur, mais ce qui est déroutant, c’est de voir que les pouvoirs publics ne le découvrent qu'aujourd’hui.
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Ivan Rioufol : Si le président de la République désigne le terrorisme comme la menace, il ne dit pas de quel terrorisme il s'agit. Il faut dire que la menace, aujourd’hui, c’est bien le terrorisme islamiste radical porté par une idéologie totalitaire et qu’il faut le combattre. Mais ce préalable n’est pas mentionné ou alors pas suffisamment. Seul Manuel Valls qui l’a affirmé récemment, en évoquant la nécessité de combattre l’islamo-fachisme, un terme que j’approuve, mais qui n’a pas été repris et n’a pas été suivi d’actes. Vigipirate, opération Sentinelle, tout cela est bien, mais le phénomène d’aujourd’hui nécessite des solutions d’une autre envergure.
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Ivan Rioufol : Je ne comprends pas exactement le terme d'« ultra droite ». Ce que je vois, en tant qu'observateur, c’est que la violence n’est pas à l’extrême droite, mais à l’extrême gauche. On l’a vu ces trois derniers mois, avec la montée en puissance d’une violence urbaine théorisée par les mouvement d’extrême gauche. On a vu se déployer cet islamo-gauchisme qui trouve des intérêts communs dans le rejet de la société capitaliste, libérale, des démocraties occidentales en règle générale. Pour l’instant, je n’ai pas vu que l’extrême droite constituait une telle menace. Je ne voudrais pas croire que, de la part de M. Calvar [directeur de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI)], cette accusation serve à détourner les regards de la menace la plus évidente, qui est portée par l’extrême gauche et l’islam radical.
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Ivan Rioufol : Malgré la violence terrible des attentats, il n’y a pas eu de réaction de violence. On a pas vu de Français prendre les armes, maltraiter les musulmans ou en faire boucs émissaires. Il y a eu, ici et là, des actes antimusulmans, mais ils sont d’une gravité bien moindre que les actes anti-chrétiens, anti-juifs ou anti-occidentaux. On peut redouter qu’une incompréhension croissante de l'islam progresse au sein des sociétés occidentales, si les musulmans ne prennent pas conscience de l’urgence pour eux de faire savoir qu’ils n’ont rien à voir avec ceux qui les caricaturent, avec ce totalitarisme islamiste.
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Ivan Rioufol : Or, pour l’instant, j’observe une sorte de zone grise de prudence, de la part de la communauté musulmane française en particulier, qui ne cherche pas à se démarquer de cet islamisme. Il n'y a eu qu’un seul exemple de manifestation organisée contre les horreurs du djihad, c'était il y a quelques semaines à Mantes-la-Jolie. Cette exception mise à part, il n’y a pas suffisamment d’actes qui puissent rassurer l’opinion française sur l’adhésion de la communauté musulmane aux valeurs laïques, démocratiques, républicaines de la société occidentale, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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https://francais.rt.com/opinions/23650-violence-extreme-gauche
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Cette sombre journée du 14 juillet 1789

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Michel Garroté - La presse française a révélé tout récemment que le coiffeur du président Hollande était rétribué 9'895 euros par mois. Sous l'angle du 14-Juillet, ça tombe plutôt mal. Tiens, à propos de 14-Juillet justement, la Révolution et l’Empire ne constituent pas des périodes glorieuses, mais ils marquent le début du déclin politique et économique de la France (comme la France de François Hollande d'ailleurs). Petite leçon d’histoire revue et corrigée par un Britannique (Russell Lewis) et par deux Français ("LSB" et François Billot de Lochner).
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Russell Lewis (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les Français célèbrent ce fameux jour de 1789 où le peuple de Paris s’est emparé de la Bastille. La prise de la prison royale symbolise le début de la Révolution française. Elle est aujourd’hui considérée comme “une bonne chose”. La tyrannie féodale fut renversée et ce fut le début de la démocratie moderne. Pourtant, ce n’est pas ce que disent les faits. La Révolution et les guerres napoléoniennes qui suivirent ont affaibli la France à un point tel que le pays n’a jamais retrouvé la prédominance qui fut la sienne en Europe sous la royauté. La prise de la Bastille elle-même est un épisode honteux. Une foule ivre d’alcool, qui avait fait main basse sur les armes entreposées dans l’arsenal des Invalides, attaqua et massacra les gardes et le gouverneur, qui n’offrirent aucune résistance.
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Les sept prisonniers qui s’y trouvaient, et qui furent relâchés, n’étaient pas des opposants politiques mais quatre faussaires, deux fous et un débauché. Il peut sembler étrange de dire que la France s’est engagée sur la voie du déclin alors même qu’elle se trouvait à la veille de ses plus grands succès militaires. Certes, Napoléon Bonaparte remporta de nombreuses victoires, mais il finit par perdre la guerre et le prix payé par le pays fut exorbitant. Dans la période qui comprend la Révolution, la guerre civile et l’Empire, deux millions de Français furent tués, en majorité des hommes jeunes. Presque autant qu’au cours des guerres mondiales, mais, à l’époque, la population était bien moins nombreuse.
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L’adoption de la loi sur l’égalité successorale, consolidée dans le Code Napoléon, eut un effet encore plus désastreux : les paysans eurent moins d’enfants, pour éviter d’avoir à partager leurs terres. La France, qui avait été la nation la plus peuplée d’Europe, hormis la Russie, perdit la course démographique qui accompagna la révolution industrielle. A la fin du siècle, elle se retrouva loin derrière l’Allemagne, de taille équivalente. Les pertes de la France se mesurent également en termes de territoire. L’Empire français, florissant à une époque, perdit la Louisiane, qui était la dernière possession du pays en Amérique du Nord et représente aujourd’hui un gros morceau du Midwest américain. Napoléon la vendit au président Thomas Jefferson [en 1803].
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Pendant ce temps, la Grande-Bretagne, l’ennemie jurée de la France, se relevait de la perte de ses colonies américaines en 1776 et posait les fondations d’un empire voué à devenir le plus grand de l’histoire du monde. Les dégâts économiques que connut la France pendant la Révolution et la période qui suivit furent irréparables. On pourrait croire que l’acquisition de terres par les paysans était une bonne chose, mais, comme ils n’avaient ni les outils ni le capital pour se développer, l’agriculture française n’évolua pas. Pendant ce temps, les propriétaires terriens britanniques menaient à bien une révolution agricole qui apporta les capitaux nécessaires à la croissance dans le reste de l’économie. La France rata aussi le coche de la révolution industrielle.
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Certains historiens pensent qu’avant 1789 l’industrie française se développait plus vite que celle de la Grande-Bretagne. Le prix de la fièvre révolutionnaire, de l’effondrement de la monnaie et de la guerre fut si élevé qu’il fallut vingt ans aux manufactures pour retrouver leurs taux de production de 1789. L’industrie britannique, elle, connut une croissance de 23 % entre 1800 et 1810 et de 39% entre 1810 et 1820. Il est notoire que Napoléon méprisait l’Angleterre, qu’il considérait comme une nation de commerçants. Le mépris pour les activités commerciales des meneurs révolutionnaires qui le précédèrent fut encore plus virulent. Ceux-ci envoyèrent d’ailleurs à la guillotine bien plus de négociants que d’aristocrates.
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Robespierre et consorts s’empressèrent d’adopter une politique protectionniste qui fut maintenue sous Napoléon. Cette mentalité protectionniste est aujourd’hui encore présente dans les esprits français et règne malheureusement sur l’Union européenne, administrée à la française. Le blocus [de plusieurs ports européens, dont celui de Cadix, qui entraîna la bataille de Trafalgar] mené par l’amiral Nelson ruina les ports français et fit sombrer le commerce du pays, qui dut attendre 1825 pour retrouver son niveau de 1789. Les pertes de la France firent le profit de la Grande-Bretagne. En 1815, 90 % des navires marchands de la planète battaient le pavillon rouge britannique, et la Grande-Bretagne avait établi des bases navales partout dans le monde. Le même constat s’applique à l’intérieur du pays.
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En 1789, la France possédait le meilleur réseau routier du monde. En 1815, le nouveau roi, Louis XVIII, pleura en voyant l’état dans lequel se trouvaient les routes de son royaume. Pendant ce temps, la Grande-Bretagne avait créé un magnifique réseau de routes à péage et un système de transport en diligence. Certes, beaucoup continueront malgré tout à défendre la thèse que la Révolution française a indiqué le chemin de la liberté aux peuples du monde entier et leur a montré comment briser les chaînes de la superstition et de l’oppression féodale. Or il s’agit là d’une interprétation erronée de l’Histoire. Les figures de proue de la Révolution étaient aussi hostiles à la liberté d’opinion que les talibans.
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Lavoisier, le brillant chimiste qui avait découvert la composition de l’air et le rôle de l’oxygène, fut condamné à mort par un tribunal révolutionnaire [en tant que fermier général sous la royauté]. Lorsqu’il demanda un report de son exécution pour avoir le temps de terminer des expériences importantes, le président du tribunal refusa avec une sentence digne du mollah Omar : “La République n’a pas besoin de savants”. Dans le domaine politique, la principale création de la Révolution fut un régime encore plus absolutiste que celui de Louis XIV. Certes, les paysans furent libérés du poids des droits féodaux et des dîmes, et nombre d’entre eux devinrent propriétaires de leurs terres. Mais ils perdirent par la même occasion les droits accordés aux gens du commun, comme le droit de passage et le droit de glaner dans les champs après la récolte.
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Les paysans les plus riches et les spéculateurs en sortirent gagnants, et les plus pauvres encore plus pauvres qu’avant. Bien entendu, toutes les classes étaient égales devant l’appel aux armes et devant la guerre. Cette sujétion fut bien plus tyrannique que n’importe laquelle de celles qu’avait pu imposer cet Ancien Régime que l’on calomniait tant. De nombreuses autres nations l’adoptèrent, ce qui accéléra la marche vers la guerre totale. Pourtant, le legs le plus néfaste de la Révolution française réside ailleurs. C’est l’idée que le recours à la violence est le meilleur moyen de résoudre les difficultés politiques et, dans ses pires implications, la doctrine selon laquelle une élite juste ou éclairée a le droit - pour le bien du peuple, bien entendu - d’imposer ses vues par la terreur. Un legs que nous regrettons tous encore aujourd’hui. Joyeux 14 juillet, conclut Russell Lewis.
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"LSB" (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Parmi les préconisations du rapport sénatorial d’information présenté le 7 juillet 2016 sous le titre : « De l’Islam en France à un Islam de France, établir la transparence et lever les ambiguïtés » figure celle, dont on dira qu’elle a au moins les mérites de l’originalité et de la cohérence, de voir la France instaurer « une coopération plus suivie avec l’Organisation de la coopération islamique » ! Ce souhait est justifié ainsi : « Avec un nombre aussi considérable de musulmans sur son territoire, la France gagnerait à mieux faire valoir ses positions auprès » de l’OCI !
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Elle pourrait ainsi, suggèrent les rapporteurs, demander à y participer avec le titre d’« observateur », étape intermédiaire entre son statut actuel – elle y est seulement « invitée » pour assister à certains travaux… – et celui de membre à part entière. La Russie et la Serbie y sont déjà « Etats observateurs », comme la Bosnie-Herzégovine ou la République centrafricaine, alors pourquoi pas la France. L’intéressant, dans ce rapport, n’est pas, on l’aura compris, ce qu’il propose mais bien le constat qu’il dresse de l’état de l’islam en France, ce qu’il établit et ce qu’il confie, entre les lignes ou explicitement, ne pas pouvoir établir, après six mois de travail et plus d’une centaine de personnes auditionnées, sans que l’« opacité », terme récurrent dans ce document, n’ait pu être levée dans bien des domaines, malgré la « bonne volonté » évidente des membres de la mission d’information, pour ne pas parler de bienveillance.
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A la question première (combien y a-t-il aujourd’hui de musulmans en France ?), la mission apporte une réponse claire et nette : on ne sait pas ! Autour de 4 millions finit-elle par avancer, en se basant sur des estimations au doigt mouillé établies en… 2005, et sans même les actualiser, ne serait-ce que de façon pifométrique, à proportion des entrées régulières et irrégulières sur le sol français. « Quelle que soit l’estimation précise, concède-t-elle cependant, il est généralement admis que la communauté musulmane française représente, en nombre absolu et en valeur relative, la première d’Europe. » Et si ce n’est pas une « religion de l’étranger », ni une « religion étrangère », c’est tout de même rudement bien imité. Car lors du dernier « recensement religieux » dont la mission ait trouvé trace, effectué en 1872, 97,5 % de la population française se déclarait catholique !
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Eh oui, les rapporteurs ont découvert que l’islam est « une religion d’implantation récente en France métropolitaine » et que si, « en quelques décennies, elle s’est ainsi imposée, par le nombre de ses fidèles, comme la deuxième religion de France », cela est dû aux « épisodes migratoires qu’a connus la France dans les dernières décennies ». Pardon pour la redondance mais il est des formules qui méritent d’être citées dans leur intégralité. L’islam, cher lecteur tout étourdi de tant de révélations, c’est une conséquence… de l’immigration ! Alléluia !, oserait-on lancer devant tant de lucidité.
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Alléluia, encore, quand les rapporteurs écrivent : « Le territoire hexagonal n’est pas historiquement une terre d’Islam » ! Alléluia !, enfin, à la lecture de ces propos tenus devant les parlementaires par Ahmet Ogras, président du Comité de coordination des musulmans turcs de France : « L’Islam, dans un premier temps, a été la religion des colonisés et des administrés dans le continent africain et dans les DOMTOM. Dans un deuxième temps, elle a été la religion des harkis. Ensuite elle a été la religion des immigrés, dernière étape du statut de religion de l’étranger. Depuis les années 2000, elle est devenue tout simplement la religion des concitoyens français, petits-enfants immigrés et convertis. » Il manque, hélas, la déduction qui s’impose : le processus qui est décrit ici, constaté par la mission sénatoriale et synthétisé par ce représentant turc, c’est très exactement le Grand Remplacement, peut-on lire en conclusion sur "LSB".
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François Billot de Lochner (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Il est de bon ton de fêter comme il se doit, chaque année, la date du 14 juillet, considérée comme fondatrice de notre République. Nombreux sont ceux qui peuvent profiter de ce jour chômé, au cours duquel l’État français montre sa puissance en organisant un important défilé militaire, les collectivités locales, même les plus petites, organisant de leur côté concerts, bals et autres feux d’artifice pour glorifier l’événement. Il s’agit bien d’un jour de célébration nationale, visant à démontrer la communion des Français aux « valeurs de la République ». A y regarder de plus près, il semble que cette fête occulte un élément important : que commémore très précisément la France ce jour-là ?
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Une date anniversaire annuellement célébrée en grande pompe a pour objectif de mettre en lumière un événement majeur, que chacun doit connaître : le 25 décembre commémore la naissance du Christ, le 11 novembre marque  la fin de la première guerre mondiale, le 8 mai correspond à la fin de la seconde guerre mondiale etc. Qu’en est-il du 14 juillet ? Les Français savent généralement que le 14 juillet 1789 correspond à la prise de la Bastille, symbole déclaré de l’absolutisme royal, et que cette date est infiniment importante puisqu’elle traduit donc la fin de l’absolutisme monarchique et le commencement de l’installation de la République en France.
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Est-ce vraiment la réalité historique ? Dès le printemps 1789, la terreur commence à se développer un peu partout en France : assassinats d’aristocrates, châteaux pillés ou brûlés, fonctionnaires royaux malmenés, cela dans presque toutes les régions de notre pays. Les États généraux, réunis à Versailles, soufflent sur les braises de la révolution qui a démarré. Le 14 juillet, Camille Desmoulins commence à haranguer les promeneurs du jardin des Tuileries. L’attroupement grossit peu à peu, et lorsque la foule lui semble suffisamment nombreuse, Desmoulins la dirige vers les Invalides pour l’armer par des armes volées en masse, puis l’amène jusqu’à la Bastille.
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La forteresse pouvait résister, mais son gouverneur, fort de la parole des émeutiers accordant la vie sauve à ses défenseurs comme à ses quelques prisonniers, ouvre les portes de la bâtisse. Instantanément, tous les occupants sont sauvagement massacrés, et la tête du malheureux gouverneur promené sur une pique dans un Paris survolté. Ce funeste jour de violence marque en réalité un tournant décisif dans le processus révolutionnaire. En effet, jusqu’à ce jour, la terreur commençante était le fruit d’acteurs plus ou moins isolés. Le 14 juillet, la violence la plus sauvage prend un tour officiel. Les dirigeants des émeutiers, directement liés aux députés révolutionnaires de Versailles, donnent un signal puissant à la France tout entière : désormais, rien n’arrêtera le processus révolutionnaire, quel qu’en soit le prix en termes de violences et de massacres.
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D’ailleurs, de grands serviteurs du royaume seront assassinés, à Paris et en province, dès que le massacre de la Bastille aura été connu et glorifié. La mise en place de la Terreur officielle date bien de ce jour, et sera poursuivie par les épouvantables tragédies des années suivantes. Pour aboutir finalement à un Empire autoritaire et guerrier auprès duquel « l’absolutisme royal » apparaît comme un conte sympathique pour enfants sages. Commémorer le 14 juillet peut donc objectivement poser question, tant sur le plan historique que sur les plans philosophique ou moral. Les Français peuvent estimer que cette date n’est que le symbole de l’unité nationale, et qu’il faut la valoriser, quand d’autres, au nom de la vérité historique, regrettent cette commémoration. Quelles que soient les positions des uns et des autres, il n’est pas contestable que cette sombre journée du 14 juillet 1789 ne fut pas un jour de gloire pour notre pays, conclut François Billot de Lochner.
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté, 14 juillet 2016
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http://www.courrierinternational.com/article/2002/07/18/feter-le-14-juillet-quelle-drole-d-idee
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/07/-le-territoire-hexagonal-nest-pas-historiquement-une-terre-dislam-.html
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http://www.libertepolitique.com/Actualite/Editorial/Que-fete-t-on-le-14-juillet
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France: Voitures brûlées le 14 juillet « On se croirait en temps de guerre! »

Les nuits se suivent et se ressemblent dans les quartiers Saint-Jean et Saint-Jacques, à Châteauroux. Quatre voitures y ont brûlé, dans la nuit de samedi à dimanche, et trois dans celle de dimanche à lundi. 

 

Toutes ces carcasses de voitures calcinées, ça me donne la nausée. On se croirait en temps de guerre… » Le mot est lâché. Pour Michel, on en est presque là : « Vous voyez les voitures brûlées, mais vous ne voyez pas le reste, les cages d’escaliers, les ascenseurs… On vit dans un environnement complètement pourri. On se demande s’il ne faudrait pas l’armée pour calmer tout ça ».

 

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