Centrafrique : des casques bleus accusés d’avoir payés des mineures pour des faveurs sexuelles

 

Une enquête interne des Nations unies révèle que des casques bleus déployés en République centrafricaine sont accusés d’avoir eu des rapports sexuels avec des filles âgées de moins de 13 ans dans un camp de réfugiés.

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Un commentaire

  1. Posté par JeanPaul Costantini le

    Après avoir parcouru l’Afrique dans un peu tous les sens, j’ai constaté que les mineurs de 12 ans, voire moins, garçons ou filles, avaient déjà une vie sexuelle, alors que ce n’est pas le cas chez nous. Moi-même avec mon éducation européenne, je n’ai jamais cédé aux avances assez fréquentes de filles ou de garçons très jeunes, qui cherchaient sûrement plus l’argent que la relation amoureuse avec un bonhomme comme moi. Avec nos yeux d’Occidentaux influencés par le religieusement correct des Américains, le fait d’entrenir une relation sexuelle avec une fille de 12 ans est un scandale. Dans bien des pays d’Afrique, c’est tout à fait normal et ne choque personne. Un soldat étant un occupant, il devrait cependant se dispenser de ce genre de relation et peut-être commet-il effectivement un abus, utilisant le “prestige” de l’uniforme et aussi celui d’être blanc. C’est bien plus une question d’éthique que de pédophilie.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.