La moitié des Antifas qui ont lynché des passants sans raison à Budapest sont des étrangers et des femmes

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La droite radicale hongroise a commémoré le 11 février la dernière résistance germano-hongroise en 1945, "le Jour de l'honneur". C'est devenu une commémoration non autorisée depuis que les néonazis/la Droite radicale/l'extrême droite - selon les points de vue - ont récupéré l’événement historique.

Les Antifas ne peuvent pas louper une telle aubaine, car les "fascistes" "néonazis" se font de plus en plus rares, alors que les Antifas ont infiltré les universités, les médias, etc. Les Antifas ont donc mis en place, après deux mois de préparation, une contre-manifestation, avec des renforts venus de l’étranger.

Et ceci, dans un contexte où la Gauche hongroise, avec l'aide de contributeurs étrangers, dont le réseau de Soros, s'active depuis des années pour la mise en place d'une révolution de couleur, et de plus en plus ouvertement depuis avril 2022.

Cependant, avec des flics hongrois comme ça, les Antifas masqués venus en bande pour faire de la casse ont préféré se rabattre sur des inconnus désarmés dans la rue et les frapper par derrière.

La police hongroise était présente en nombre sur le lieu de rassemblement, pour séparer les Antifas des néonazis, et déjouer toute confrontation.

Avant et après la commémoration, une quinzaine d'Antifas, dont beaucoup venus d'Allemagne, d'Italie, de Grèce, environ la moitié de femmes, ont formé des groupes d'assaut et se sont jetés au hasard  sur au moins huit passants dans les rues de Budapest, les battant très brutalement. Aucune des victimes n'avait participé au défilé néonazi.

Le 9 février, 7 à 8 personnes ont attaqué trois touristes polonais, les frappant avec différents objets. Deux d'entre eux ont subi de graves fractures au visage et au crâne.

À l'aube du 11 février, un groupe d'Allemands a été passé à tabac par six personnes après un concert en centre-ville.

Toutes les victimes, de simples passants, ont été attaquées par derrière, avec une sauvagerie extrême. Les agresseurs étaient armés de matraques ou de barres de fer, des femmes portaient des gants garnis de plomb. Une fois leur proie tombée à terre, les coups de pied, coups de matraques pleuvaient sur la tête ou le visage, puis la personne était sprayée avec un gaz lacrymogène dans la bouche ou sur le visage, enfin les assaillants partaient en courant, laissant leur victime à moitié morte dans une mare de sang.

Sur une vidéo, parmi les huit Antifas, on peut voir que ce sont les femmes qui sont les plus violentes. Les victimes grièvement blessées ont été hospitalisées, seuls trois des suspects ont été écroués.

Trois des quatre membres d'un des groupes de voyous capturés, dont le nombre est estimé par la police à au moins 15, sont des Antifas étrangers.

Les suspects étrangers ont tout nié, y compris la date de leur arrivée et leur lieu de résidence. La police a également contacté ses homologues étrangers pour identifier les autres auteurs.

Un autre couple a également été attaqué par derrière le 11 février, au centre ville, alors qu'il se rendait à un concert. La femme, après avoir été battue, a reçu de nombreux coups de couteau. Tous deux sont grièvement blessés et ont été hospitalisés; ci-dessous, la photo de l'homme battu, un musicien de rock connu, sexagénaire, sans aucun lien avec les néonazis; simplement, il était chauve et portait un pantalon treillis, qui a paru trop "nazi" aux Antifas. Son crâne a été fracturé par des coups au niveau de la nuque, ce qui équivaut à une tentative d'assassinat.

 Les personnes battues par les Antifas portaient des emblèmes nationaux hongrois, sur leur sac ou leurs vêtements, ou encore simplement une veste ou un sac à dos militaires, un pantalon treillis ou juste des bottes pouvant donner envie à cette racaille de gauche de les détruire.

 

Une Antifa Allemande a été identifiée par son training Adidas.

 

Les Antifas, qui étaient probablement payés pour la castagne, ont décidé de faire la peau à des passants qu'ils jugeaient avoir l'air "fasciste".

Les vidéos de ces agressions ont toutes été supprimées sur YouTube, mais deux sont encore visibles ici et ici – (+18 ans) – dont l'attaque le 10 février d'un employé d'un kiosque, un père de famille d'une quarantaine d'années, qui se rendait à son travail. Il a été tabassé par huit individus avec une matraque, une matraque télescopique et aspergé de gaz lacrymogène.

Voici la vidéo d'une des arrestations:

  

Voici le portrait-robot des deux Allemands et d'un Italien:

Avis de recherche diffusé par la police hongroise pour ces deux Allemands:

Cette Antifa masquée à la peau basanée vient aussi d’Allemagne…

 

Voici une Antifa hongroise qui a participé aux lynchages:

 

Les Hongrois sont sous le choc. Le plus inquiétant, cependant, ce ne sont pas les Antifas hongrois, mais leurs connexions avec l’étranger et leurs intentions subversives qu'ils tentent d'implanter en Hongrie. Et les liens se font dans les médias entre ceux qui sont derrière ces barbares, les financent, se chargent de leur entraînement physique, de leur endoctrinement idéologique, leur fournissent l’équipement, leur paient les voyages, pour terroriser la population.

Les médias de droite parlent de la CIA, ou des théories de Saul Alinsky, de l'école de Chicago, qui a décrit point par point la recette pour subvertir un État au moyen de troubles sociaux, afin d'obtenir un changement de gouvernement.

Le 14 février, nous avons publié un article de Kata Jurák qui analyse les liens entre les casseurs venus de l'étranger et les déclarations de la présidente de l'USAID, venue directement des USA dans le but d'influencer la vie politique hongroise en y implantant une révolution à la mode Maïdan.

En effet, le jour de la commémoration, le 11 février, Samantha Power a annoncé sur sa page Twitter que le Comité Helsinki, qui lutte ouvertement pour les droits des antifascistes avec des organisations soutenues par Soros, telles qu'Amnesty International, s'apprêtait à tenir d'importantes discussions pour obtenir des changements sur les droits LGBTQI+ à Budapest.

 

La Hongrie et ses antisémites:

Suite aux agressions, sur plusieurs sites de Droite, il y a eu des commentaires accusant les juifs d'être directement ou indirectement derrière ce déchaînement de violence, à cause de la fête néonazie. Plus généralement, un ressentiment s'exprime à propos de tout et de n'importe quoi à l'encontre des juifs, censés être collectivement responsables du communisme, ou du fait que la Hongrie ait perdu la Deuxième Guerre mondiale.

Simultanément à ces événements, l'Ambassadrice des États-Unis auprès de l'ONU, Linda Thomas-Greenfield, a accusé la Hongrie d'inciter à l'antisémitisme, suite à la dégradation d'un mémorial de l'Holocauste par des vandales.

 

En réalité, cette ambassadrice surdouée a confondu la Hongrie avec la Suède... où effectivement une sculpture en mémoire de Raoul Wallenberg a été vandalisée.
Szijjarto, ministre des Affaires étrangères, a exigé des excuses, mais Thomas-Greenfield a simplement rectifié sa publication en supprimant le passage concernant la Hongrie.

Le gouvernement d'Orban n'est pas antisémite; bien au contraire, il entretient des liens étroits avec la Droite israélienne. Un antisémitisme subsiste malheureusement par tradition parmi les Hongrois, tout comme dans d'autres pays d'Europe, mais chez les Européens de souche il ne s'exprime plus par des violences physiques. Il en va autrement de la part des musulmans.

Cependant, l'antisémitisme de certains Hongrois n'est pas un problème susceptible d'être traité efficacement par des ONG "tombées du ciel," - pour qui osent-elles se prendre? - car un changement de mentalité ne peut surtout pas être imposé de l'extérieur, l'effet renforcerait au contraire les antisémites qui crieraient au complot juif.

Abolir la liberté d'expression pour supprimer la haine du juif, n'entrainerait que plus d'antisémitisme.

La police hongroise rejette déjà toutes les demandes de rassemblement de nazis, néofascistes et autres éléments d'extrême droite, car il est interdit de promouvoir les criminels de guerre nazis, sachant quelle est l'idéologie qui les sous-tend. Ceci, sans parler du fait que les Antifas, qui se fichent totalement des autorisations, débarquent systématiquement à ces rassemblements, et les confrontations posent des problèmes d'ordre public.
Rappelons que l'étoile rouge à cinq branches est également interdite en Hongrie, étant le symbole du communisme.
Actuellement, il est en discussion d'étendre la loi sur l'interdiction des emblèmes à la faucille et au marteau, symboles du communisme.

  Les Antifas   et les néonazis

L'expression "Jour de l'honneur", ou "Tag der Ehre" en allemand, indique que la résistance héroïque est une fierté nationale.
La marche commémorative dite "Eruption Memorial Tour" a lieu chaque année, organisée par les néonazis, avec une parade en uniforme et des drapeaux, et elle se termine toujours autour du château de Buda, où un discours est prononcé. Les partis d'extrême droite refusent le terme de néonazis, ils parlent d'une commémoration de patriotes.

A la base, c'est la commémoration du sens du devoir et de l’honneur, sans tenir compte de quel côté servaient les soldats hongrois, qui, en 1945, jugeaient patriotique de résister à l'avancée soviétique, et de respecter leur devoir de soldats:
En général, les Hongrois honorent leurs ancêtres tombés durant les batailles, quel que soit l'ennemi.

On peut trouver également des vidéos sur le net qui glorifient l’héroïsme de la résistance hongroise durant cette "Bataille de l'encerclement", relèvent la cruauté gratuite et la bestialité de l'Armée rouge, et considèrent les Allemands et les Hongrois comme les victimes.

L'événement commémoré est la bataille du 11 février 1945 à Budapest, la dernière tentative de contrer les Soviétiques. Ce jour-là, la moitié des 61 000 soldats allemands et hongrois et nazis, qui avaient été encerclés autour du château de Buda, ont attaqué, sous la direction des SS, pour tenter de briser l'encerclement par le siège soviétique.

Les soviétiques avaient répondu par une guerre totale, après qu'Hitler eut décidé de transformer Budapest en forteresse. Au début, le maréchal Malikovsky avait sous-estimé la résistance allemande, mais Staline a envoyé des renforts. La résistance allemande n'a fait que  prolonger pendant 108 jours les souffrances de la population, qui subissait les bombardements et les conséquences des affrontements urbains.

La population de Budapest était tapie dans les caves, manquant de nourriture, d'eau, dans le froid. A la fin, il ne restait que des chevaux morts comme nourriture. Les Soviétiques étaient trois fois supérieurs en nombre aux Allemands.

Quant aux nazis, ils étaient affamés, épuisés et gelés, manquant même de munitions. Ils n'avaient aucune chance contre l'Armée rouge, et tandis que ceux qui se sont rendus ont pu s'échapper en tant que prisonniers de guerre.
Les combattants qui ont survécu étaient moins de mille sur les 61'000, sans compter les déserteurs, ou
moins de mille survivants sur les quelque 30'000 combattants.

En fait, la résistance n'était pas un acte d'héroïsme, mais un bain de sang et des destructions totalement insensés. Et ceux qui ont résisté n'ont pas protégé l'Europe du communisme, des "hordes de l'Est", ils ont seulement prolongé l'agonie de l'empire hitlérien au prix de la souffrance des habitants de Budapest et, plus largement, de l'Europe.

Il est surprenant que la Hongrie, un pays qui s'efforce de préserver ses traditions chrétiennes, ait encore une minorité de jeunes cultivant le nazisme comme une religion. Mais il est encore plus absurde que l'extrême gauche internationale, récupérée depuis longtemps par le deep state étasunien, exporte son mouvement hors sol partout en Occident, cherchant prétendument à débusquer le fascisme, en diabolisant tous ceux qui s'opposent à son idéologie, que ce soient les opposants au multiculturalisme, ou simplement, comme ici, les personnes qui leur déplaisent. Cette gauche (Antifa, BLM) agit en Occident avec une violence extrême, bestiale, gratuite partout où elle passe, et bien entendu... avec la complaisance des médias progressistes.

On connaît l'exemple des manifestations qui ont duré six mois aux USA en 2020, sous prétexte de la mort d'un Noir, où les émeutiers se sont déchaînés, pillant et détruisant des villes, terrorisant la population, commettant des actes de violence gratuits et des déprédations barbares.

Nous n'avons jamais vu dans nos médias mainstream en Suisse une seule condamnation de ces six mois de déchaînement de violence gratuite de l'extrême gauche américaine. Nous avons seulement vu, comment le peuple américain s'est mis à genou devant les Noirs, devenus victimes du racisme systémique, et nos médias ont fait de la pub pour des manifestations BLM en Suisse romande. Depuis lors, nos médias ne cessent de donner la parole à des "spécialistes" qui dénoncent le racisme des Suisses et nous inventent un passé colonial.
Nous sommes bien plus mal barrés que les Hongrois...

En Hongrie, après ces événements, le côté abject des Antifascistes n'a fait que renforcer la sympathie des gens envers l'extrême droite pacifique, et ce sont les Antifas qui sont dorénavant les vrais fascistes dangereux pour la majorité.

Le journal Bild a pu identifier plusieurs des agresseurs: aucun d'eux ne travaille, et la question se pose: est-ce que c'est papa ou Soros qui a financé leur voyage à Budapest ?

 

Le mariage des Kurdes avec les Antifa

La Hongroise Antifa Krisztina Noé est l'épouse d'Attila Vajnai, un communiste qui aspire à la gloire politique nationale. Elle dirige le site de la communauté Antifa hongroise "Antifa Action Red Left". Selon les messages de son profil privé, le couple a voyagé en Europe cette année pour établir les connexions européennes de leur parti.

L'entraînement des troupes d'Antifas en Europe se fait par les communistes kurdes. Les Antifas occidentaux sont beaucoup plus agressifs et ont une base idéologique plus solide que ceux de l'Est et la coopération entre les deux formations terroristes est très étroite. Les communistes kurdes attendent aussi en retour le soutien de leurs camarades Antifas.

Le drapeau des Unités de protection du peuple kurde, communistes, était également déployé lors de la manifestation Antifa. Il était brandi par Krisztina Noé, qui vient de la ville hongroise de Tapolca, et qui dirige un nouveau parti communiste appelé la Gauche européenne.


Drapeau kurde au milieu de l'arc.

vidéo: 2:57

sources: (vidéos) https://szentkoronaradio.com/blog/2023/02/10/brutalis-felvetelek-igy-tamadnak-kulfoldi-antifak-egy-turazora-budapesten-kessel-viperaval-paprikaspray-vel/

https://szentkoronaradio.com/blog/2023/02/18/egy-ujabb-csokor-antifa-azonositva-kepek-nevek/

https://szentkoronaradio.com/blog/2023/02/14/antifa-osszkep-a-kurd-terroristak-altal-kikepzett-nemzetkozi-antifa-felforgato-terrortevekenysegerol-i-resz/

https://pestisracok.hu/hatulrol-viperaval-utottek-le-egy-ferfit-ujbudan-feltetelezhetoen-nemet-antifa-tagok-video/

https://pestisracok.hu/viperak-boxerek-es-paprikaspray-megszolaltak-a-pestisracok-hu-nak-az-antifak-aldozatai/

https://pestisracok.hu/az-alkotmanyvedelmi-hivatalhoz-fordult-a-budapesten-megjelent-antifak-miatt-ifj-tenyi-istvan/

https://pestisracok.hu/a-tamadasok-kozott-ruhat-cserelgettek-egymassal-a-viperas-antifak-akik-kozott-meg-tovabbi-harom-magyar-lehet/

https://www.vadhajtasok.hu/2023/02/15/kulfoldrol-szervezett-terror-akcio-lehetett-a-hetvegi-budapesti-antifa-tamadas-december-ota-keszultek-az-europai-szelsobalos-csoportok

https://szentkoronaradio.com/blog/2023/02/14/antifa-osszkep-a-kurd-terroristak-altal-kikepzett-nemzetkozi-antifa-felforgato-terrortevekenysegerol-i-resz/

etc.

Un commentaire

  1. Posté par aldo le

    50 % d’étrangers et de femmes parmi les agresseurs démontre bien qu’une seule même organisation les SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) chapeaute toutes les exactions organisées par et à travers le monde entier, depuis les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Et que tout ceci se fait avec l’aide des réseaux des universités noyautées par les sectes totalitaires, dont les mor mons où les femmes ont pris le pouvoir par la ruse. Il n’y a qu’à considérer tout ce qui se fédère au niveau international en matière d’associations agitatrices multiples et qui gravite autour des actions de Ju lie Stein berger figure de proue de l’Unil, pour se rendre compte que toutes ces actions en Hongrie ont été prévues même en France. Il n’y a qu’à comprendre pourquoi Macron alors ministre s’est investi dès 2015, dans le développement des autocars, qui sont essentiellement en mains allemandes, pour faire rayonner des autocars d’antifas partout où il désirait créer de l’agitation. Et ses gouvernements très largement peuplés de feignasses totalitaires, démontrent bien qu’en matière de gaffes et de désorganisations, elles sont complémentairement aussi très efficaces pour semer la zizanie, ce qui amplifie encore plus son pouvoir.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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