En Hongrie aussi, il y a une forme de criminalité dont on ne doit pas dire le nom

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18.11.2022

L’autre jour à Székesfehérvár, l'œil d'un artiste a été arraché par des tsiganes.

Ils étaient cinq qui lui ont demandé des cigarettes. Il ne fume pas, donc il ne pouvait pas leur en donner. Ils l'ont battu, l’ont fait tomber, l'ont traîné inconscient sous un buisson, il a perdu un œil. La victime est un peintre qui avait déjà travaillé avec honneur sur des églises et d'autres monuments. 

Il y a un élément qui manque dans l’article de Blikk.hu : selon nos informations, les agresseurs étaient des gitans. La ville de Székesfehérvár fait régulièrement parler d'elle dans la presse en lien avec la criminalité tzigane.

Tout le monde à Székesfehérvár connaît László Kovács, alias Picasso. Le décorateur et peintre est un maître dans son métier, au point qu’on lui a donné ce surnom.

László a peint récemment le consulat hongrois en Ukraine, mais il a également travaillé au Parlement et au château de Festetics, et a restauré des églises en Italie, en Espagne et en France. Mais maintenant, il est à l'hôpital, borgne et démoralisé.

Il y a une semaine, Picasso a été agressé dans sa ville, cinq personnes l'ont battu, lui ont donné des coups de pied partout, même à la tête. La violence a été telle qu'un de ses globes oculaires est sorti de son orbite et que les médecins n’ont rien pu faire pour sauver son œil gravement endommagé.

"Je n'avais pas de cigarette, je n'ai jamais fumé, je faisais du sport et je n'aimais même pas le tabac", a dit László au journal Blikk. "J'aurais bien voulu en avoir un paquet sur moi. Peut-être que cela m'aurait sauvé de ce passage à tabac, même si mes amis me disent que cela n’aurait rien changé, ils voulaient probablement m'attaquer de toute façon.

Picasso s’est retrouvé entouré de cinq hommes dans l'obscurité du soir à 17 heures le 12 novembre, comme s'ils surgissaient de nulle part. Ils lui ont demandé une cigarette, et comme il n'en avait pas, ils ont commencé à le frapper, tous de tous côtés, même lorsqu'il est tombé à terre, assommé par les coups. Il a ensuite été frappé ou battu si fort qu'il a perdu un œil.

– Après avoir été battu, je me souviens seulement d'avoir été traîné, tiré dans les buissons, puis d’être resté inconscient pendant des heures. Quand je me suis réveillé, j'ai cru que quelque chose m'était collé à la joue mais c’était mon œil qui pendait. Mon patron, Tibor, m'a retrouvé le matin quand il s’est mis à me chercher.

Picasso est désespéré. Le malheur s’acharne sur lui. Il n'a plus d'appartement à cause de son divorce, et le soir de son agression, il se rendait chez un ami pour y passer la nuit. Il avait également un problème de genou, il aurait besoin d'une prothèse pour pouvoir marcher correctement.

Lorsque nous sommes allés le voir à l’hôpital, Picasso avait la visite de son patron et ami, qui l'a retrouvé au lendemain de l'agression.

"Je connais Laci depuis des années, nous avons travaillé plusieurs fois ensemble, il m'a appris les ficelles du métier et depuis qu'il est handicapé par son genou, je l'aide régulièrement", raconte Tibor, le jeune entrepreneur. Picasso ne peut pas recouvrer la vue de son œil gauche, la médecine est impuissante dans un tel cas. Il recevra un œil artificiel et ses amis l'aideront également à obtenir une arthroplastie du genou, ils espèrent que cela remontera le moral de l'homme complètement désemparé.

– Nous avons besoin de 600 000 forints (1500 euros), j’en donnerai moi-même 100 000, et si nous réussissons, Laci pourra être opéré d'ici Noël, et il aura un peu de plaisir dans ses ennuis. Ce qui lui est arrivé est un drame, cette violence est incompréhensible.

Picasso cherche aussi une sous-location, un appartement qu'il pourra payer dans 2-3 mois, après sa convalescence, car il ne pourra pas travailler jusque-là. Avec Tibor, ils acceptent, en échange, de rénover complètement, carreler et peindre cet appartement ou cette maison. László devrait quitter l'hôpital la semaine prochaine.

Le problème de la preuve

Selon les informations de Blikk, la police a engagé des poursuites pour suspicion d'émeute collective et de lésions corporelles graves causant des dommages permanents, mais aucun détail n'a été fourni en raison des règles de protection des données. La preuve, en tout cas, ne sera pas facile.

- Dans un crime collectif où il n'y a pas eu de témoins, il est très difficile de prouver qui a causé la blessure handicapante, explique l'avocat László Horváth, qui a analysé l'affaire pour Blikk. – Si, selon l'expert médical, un certain coup de poing ou de pied a causé la blessure à l'œil, un seul suspect, l'auteur de ce coup, peut être tenu pour responsable. Dans un tel cas, le problème est que chacun des cinq agresseurs va dire que ce n’est pas lui. Si la victime ne peut pas reconnaître celui dont le coup lui a arraché l'œil, le tribunal se trouvera dans une situation difficile.

Radio Szent Korona

source: https://szentkoronaradio.com/blog/2022/11/18/ezuttal-szekesfehervaron-vertek-ki-egy-muveszember-szemet-a-ciganyok/

traduction libre: Albert Coroz

lien vers les crimes tsiganes recensés:
https://szentkoronaradio.com/blog/tag/ciganybunozes/
(articles en hongrois, traduction automatique possible ici: deepl.com)

3 commentaires

  1. Posté par Les faits avant l' idéologie le

    Ces populaces sont impossibles à intégrer, quoi qu’en disent nos bienpensants.
    Après des générations de consanguinité, force est de constater que leur QI de 80 au maximum ne les amène que vers la violence, le vol et la mendicité .
    Comme la grosse vache devant la gare de Lausanne, à plat ventre , et qui joue à la misérable, alors qu’elle est logée gratuitement à Saint- Martin dans une institution financée par le contribuable.

  2. Posté par Sergio le

    Les gitans en Hongrie…ce sont nos jeunes à nous.

  3. Posté par Jean-Francois Morf le

    Si un groupe de gitans exige de vous une cigarette, donnez-lui votre fric, c’est plus sûr.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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