Notre droit d’asile et notre politique migratoire sont dépassés et ne sont plus adaptés aux réalités qui sont les nôtres aujourd’hui. Afin de pouvoir relever les défis, le droit d’asile doit être réformé. Nous devons, entre autres, accorder plus d’importance à l’aide sur place.
En 1974, le Conseiller national UDC bernois Walther Hofer a demandé la promulgation d’une loi sur l’asile. Mais M. Hofer se montrait déjà critique face au projet : en effet, ce dernier n’était pas adapté à une politique migratoire tournée vers l’avenir. Au lieu de mettre en place des restrictions, le Conseil fédéral a « ouvert grand les portes ». Pour M. Hofer, cela ne pouvait pas « être le sens de cette loi. »
Un appel d’air grâce à une réglementation obsolète
Nous le constatons aujourd’hui : la législation suisse en termes d’asile est totalement dépassée et ne tient pas compte des réalités qui sont les nôtres. Un changement de paradigme est donc nécessaire. La politique d’asile traditionnelle de la Suisse s’est toujours focalisée sur l’aide aux personnes issues de nos proches voisins. Or, nous sommes aujourd’hui confrontés à des mouvements migratoires mondiaux. Les écarts de prospérité et les évolutions démographiques continuent d’alimenter les flux migratoires en direction de l’Europe occidentale.
Les migrants (la plupart du temps de jeunes hommes) sont parfaitement au clair : même sans motif d’asile, ils ne seront pas renvoyés dans leur pays d’origine, un séjour durable en Europe est garanti. La volonté de la gauche rose-verte de légaliser les « sans-papiers » (les personnes en situation irrégulière) renforce encore cet appel d’air. Le termes « admis provisoirement » est de fait trompeur puisque le renvoi des personnes concerné est tout bonnement impossible. En général, elles restent ici pour toujours, avec des conséquences souvent radicales sur les coûts sociaux et la sécurité publique.
Le double de personnes dans le processus d’asile
Notre système d’asile a subi une nouvelle pression avec l’introduction du « statut de protection S », activé pour la première fois en raison de la guerre en Ukraine. Ce statut « S » a été créé pour accueillir temporairement, à titre humanitaire, des groupes dont le statut de réfugié n’est pas vérifié. La principale différence avec la procédure d’asile traditionnelle est que les réfugiés obtiennent un droit de séjour rapidement, sans bureaucratie et sans devoir passer par une procédure ordinaire. Le statut « S » est axé sur le retour dans le pays d’origine ; il est limité à 1 an maximum et renouvelable au besoin.
Les chiffres sont conséquents : début juillet, ce sont plus de 58’000 réfugiés ukrainiens qui étaient déjà enregistrés (pour la plupart, des femmes et des enfants). En ajoutant à cela les migrants en procédure ordinaire, le nombre de personnes en quête d’asile a tout bonnement doublé, pour atteindre un total d’environ 110’000. Comparé aux 39’523 demandes d’asile auxquelles la Suisse a dû faire face lors de l’année record de 2015, nous constatons clairement que la gestion migratoire nous échappe de plus en plus.
Accélérer l’aide sur place
Notre politique migratoire se heurte à ses limites. Nous voyons aujourd’hui le désastre causé par les migrants économiques qui occupent les structures d’asile alors que, dans le même temps, des personnes en situation de persécution réelle demandent une protection. L’argument qui veut que le statut de protection « S » sert à « ne pas surcharger le système d’asile » (SEM) n’est que partiellement valable et à court terme, car l’hébergement, l’encadrement et diverses autres mesures sont tout de même nécessaires.
Un programme d’urgence « aider sur place » est de mise ; qu’il s’agisse du conflit ukrainien ou de la migration économique, l’idée qui veut que l’aide et la protection ne soit pas forcément synonyme d’accueil doit s’imposer. Une réorientation de notre politique migratoire est indispensable.
Quand les ignorants se complaisent dans l’imbécilité… ils votent comme les Suisses…
De pire en pire…
« Madame, Monsieur,
Depuis peu, 13 magasins Maxi Zoo/Fressnapf proposent un FOOD CORNER
http://www.tierschutz.com/ukraine/fr/, dans lequel les réfugiés ukrainiens peuvent obtenir gratuitement
de la nourriture pour leurs chiens et leurs chats. Cette action a été lancée par la Protection suisse des
animaux PSA en collaboration avec Maxi Zoo/Fressnapf.
Afin que le plus grand nombre possible de réfugiés soient au courant de l’existence des FOOD
CORNER, nous informons les autorités et diverses organisations qui s’occupent des réfugiés
d’Ukraine.
Meilleures salutations
PROTECTION SUISSE DES ANIMAUX PSA
Karin Remmes
Responsable du siège »
L’Ukraine avec ce démon de Zelinsky nous a expédié un bonne partie de ses déchets et parasites sociaux, déjà venus du tiers monde pour profiter de cette conspiration organisée, comme le sont les mercenaires appelé en Afrique par Zelinski, qui vont être blanchis avec un passeport ukrainien, ce qui fait partie de ses promesses pour accélérer leur traitement dans nos hôpitaux qui crient d’être surchargés. Tout comme ces dizaines de milliers d’appartement tout à coup disponibles, alors qu’on ne peut pas se loger depuis des décennies. De qui se moque-t-on ?
Toute les catastrophes sociales liées à l’immigration de masse donc aussi à la violation du droit d’asile, ultime alibi pour soutenir l’invasion de masses migrantes, sont inspirée par les sectes des mormons, des scientologues etc qui changent de nom comme de chemises et qui se profilent derrière les SELISBOLFA (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) et viennent directement nous polluer depuis les Etat-Unis déjà squattés par la Triade Clinton-Obama-Biden d’inspiration bolchévique.
Ce sont donc les continuateurs des imposteurs qui ont déjà créé la seconde guerre mondiale pour organiser des tueries de masse à la fois du coté de l’ex-Urss et de l’Allemagne nazie. Déjà une guerre et des camps de concentration pour favoriser des spéculateurs qui s’approprieront les dettes de guerre afin de s’enrichir sur le dos de toutes victimes, morts et survivants. Soros est donc logiquement aujourd’hui aussi de la partie. https://is.gd/repIMS (depuis le temps cette vidéo a été vue par des millions de personnes mais pour abaisser son audience elle est sujette à des attaques constantes, donc il faut la copier). Et quand de telles machinations rapportent gros, il est facile de créer des guerres, mais pas de les arrêter.
Finalement les Etats-Unis la Triade Clinton-Obama-Biden et ses méfaits démontre qu’ils sont sur la défensive face à une régression économique et militaire consécutive à toutes leurs impostures liées au vivre ensemble, à la société multiraciale dont les buts sont clairement et authentiquement racistes. A savoir le maintien d’une race élitiste qui s’approprie tous les pouvoirs pour jeter son dévolu sur l’exploitation d’une race secondaire abâtardie par les mélanges avec les gênes de la sauvagerie, plus apte à accepter l’esclavagisme qui leur est destiné. Et toutes les courbettes devant les Pd-gouniottes, les trans, les pseudo féministe, la PMA pour tous https://is.gd/bCfhQ8 et toute cette mélasse d’idioties et de crimes morbides ne peuvent qu’être cultivés par d’authentiques négationnistes de Dieu.
Ces violences dénotent clairement d’une volonté déicide visant à s’approprier le caractères sacré de Dieu et du christianisme pour aliéner encore plus les masses à exploiter, sous prétextes de nouvelles religiosités aux pouvoir totalitaires aliénants qu’on découvre continuellement sous les visages de l’islam mais aussi des sectes de purs pouvoirs temporels sous des illusions religieuses de façade construites uniquement pour tromper (burqa, burkini, etc. alors qu’ils sont interdit dans des pays musulmans). Rien n’est plus clair, jamais un chrétien n’a coupé la tête d’un musulman au nom de Jésus.
Ces milliers de violences sanglantes font aussi partie du catalogue de la dégénérescence des races voulue et planifiée par de véritable dingue bolchévo-nazis du calibre de ceux qui tirent les ficelles du WEF (forum économique mondial) et qui s’en servent pour réduire de plus en plus nos vraies libertés. Pas celles qui soutiennent de tuer des être vivants sous prétexte de liberté d’avorter alors que le but réel est de tarir l’adoption pour mieux encore de soutenir les invasions de masse principaux fournisseurs mafieux très intéressés vu les prix.
VOILA POURQUOI LA SUISSE DOIT S’IMPOSER UNE NEUTRALITÉ LA PLUS ABSOLUE POSSIBLE, POUR REFUSER TOUTES CES FORCES CENTIFUGES QUI NOUS MÈNENT A LA 3EME GUERRE MONDIALE ET A LA RUINE PAR LES DESCENDANTS DE CEUX-LA MÊME QUI ONT EXPLOITÉ LA 2EME ET QUI GOUVERNENT L’EUROPE DEVENUE BOLCHEVO-NAZIE. UErss
La politique de l`asile en Suisse !!!
Rien de rien tout le monde arrive et profite un max de notre belle et grande générositée .
Mais dans très peu de temps cela va finir dans le mur ,car financièrement cela n`est plus réaliste.
Nous devons impérativement garder et défendre nos coutumes ,notre histoire ,et stopper immédiatement de vouloir sauver le monde entier : point barre.
Demandeur d’asile ou réfugié sont des situations certes difficiles, mais absolument honorables que nous défendons en Suisse. Depuis des décennies, ces qualificatifs ont été usurpés, c’est un abus de langage. Nous avons affaire à des hordes d’envahisseurs que l’on appelle des migrants, ou plus communément, des sans-papiers. Pour la gauche, qui en organise l’importation, il s’agit de chances, de jeunes génies ou de mineurs isolés qui paieront nos retraites. En réalité (le réel, c’est le mal) il s’agit d’une calamité pour nos assurances sociales et d’un risque mortel pour la population de notre pays.
Absolument vrai. Les réfugiés actuels, Ukrainiens mis à part, ne produiront jamais rien de positif en Occident.
Analphabètes , violents, idiots et paresseux pour la grande majorité , ils sont à des centaines d’ années – lumière des Hongrois, Tchécoslovaques et autres Vietnamiens accueillis dans les années 50- 80.
Jamais je n’ ai constaté un tel aveuglement de la part des bienpensants actuels.
Je connais un Français inscrit dans le système d’asile. Véridique ! L’asile en Suisse est complètement perverti, il faut le réformer de toute urgence.